Du Congrès de Vienne, Volume 1 |
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Common terms and phrases
acte de suprématie affaires alliés Anglois armées arrivée au Congrès assez auroit enfin avoient avoit barrière Belgique besoin c'étoit cent ans changemens chose civilisation Congrès de Vienne constitution côté d'autres devoit duché de Varsovie également ennemis espèce esprit établir états étoient étoit Europe européen eût existoit faisoit falloit finances foible force françois généraux de l'Europe gouvernemens gouvernement guerre Héligoland Hollande hommes inconvéniens intérêts généraux jamais l'Allemagne l'Angleterre l'Autriche l'Empire l'équilibre de l'Europe l'Espagne l'esprit l'état l'Eu l'Italie l'ordre laissoit lement logne long-temps Louis XIV ment monde n'auroit n'avoit Naples Napoléon nations Nord Norwège ordre paix de Westphalie paroît partage passé pays Pays-Bas peuples politique Pologne possessions pourroit pouvoient pouvoit princes principes Provinces-Unies Prusse Prusse avoit Prussiens puissance Radstadt reconnoître reste réunion révolution Rhin rien rope Russie s'est sance Saxe sent sentimens seroit seul siècle sion souverainetés souverains Suède sûrement système territoire tion trône trouvoit venoit Vistule voilà
Popular passages
Page 261 - une représentation, et des institutions nationales réglées d'après le mode d'existence politique que chacun des gouvernemens auxquels ils appartiennent, jugera utile et convenable de leur accorder.
Page 49 - la ville, la ville aux provinces. L'âme du souverain est un moule qui donne la forme à toutes les autres.
Page 8 - On ne discute qu'entre pairs : or, quelle parité peut se rencontrer entre celui qui a la faculté de tout prendre, et celui qui n'a pas la force nécessaire pour rien retenir ; entre celui qui a tout, ou presque tout perdu, et celui qui a tout gagné; entre celui qui défend péniblement
Page 205 - L'intérêt a passé de la conservation des petites souverainetés à leur effacement, de la complication des états à leur simplification, et de la dispersion. des souverainetés à leur concentration pour avoir de plus grandes masses à opposer aux masses par lesquelles on est menacé.
Page 206 - éloigneraient. L'un est le moyen de l'autre. ' Or, dans tout le Congrès, la France n'a travaillé qu'à aliéner d'elle la Prusse, et qu'à la forcer à se rapprocher de sa propre frontière. Ce qui
Page 61 - LA défaveur dans laquelle les idées libérales sont tombées , ne nous a pas détourné de leur rendre hommage. Si l'on a beaucoup abusé de leur nom, en revanche, on a mis une grande sobriété dans leur application ; car nous ne
Page 250 - Toute armée purement européenne est civilisée : toute armée russe l'est seulement dans ses chefs, et ne l'est pas dans le reste de ses membres. Quels que soient les progrès de la civilisation en Russie , cette distance
Page 8 - presque tout perdu, et celui qui a tout gagné; entre celui qui défend péniblement quelques débris , et celui qui commande dans la capitale de celui même avec lequel il traite, qui occupe ses états , et use de leurs ressources, d'après le seul instinct de ses besoins propres, sans ménagement comme sans crainte? C'est ce qui a caractérisé toutes les négociations qui ont eu lieu depuis vingt ans; négociations dans lesquelles
Page 7 - Depuis la première paix qui ait eu lieu entre la Convention et les puissances de l'Europe, celle que le comte Carletti signa > en 1795, au nom du grand-duc de Toscane, il n'ya pas eu de véritable négociation en Europe. On a vu des stipulations
Page 153 - De rétablir, autant que possible chacun dans ses possessions, en n'exigeant que les sacrifices commandés par le bien général, et en prenant pour base de ces restitutions, la légitimité, considérée comme le principe réparateur de l'ordre si longtemps violé en Europe, et