Les parvenus, ou Les avantures de Julien Delmours, écrites par lui-même |
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Common terms and phrases
alloit amour auroit avoient avois avoit baronne de Blimont beau belle bonheur bonne Boutet c'étoit Casilde chambre charmante cher Julien chose cœur comte Joseph connoissance conta croyoit d'Edélie d'Eusèbe Delmours devoit dîner dit-il donner donnoit duchesse de Palmis Durand Edélie enfans enfin entretien étoient étoit Eusèbe faisoit femme Florbel françois gaîté glar heures homme j'ai j'allai j'allois j'aurois j'avois j'en j'étois j'eus jamais jeune joie jolie jours l'abbé l'ame larmes lettre m'en madame d'Inglar madame de Palmis madame de Volnis mademoiselle de Versec maison mariage marquise d'Inglar Mathilde matin ment mère mille mois monde Morinville n'avoit nobles Octavie oncle parler paroles passer passion pensée personne philosophie pourroit poursuivit-il pouvoit qu'Edélie qu'une reconnoissance reste ridicule rien Robespierre salon secret sentimens seroit seul sœur soir Solmire Sophie sort souper sur-le-champ talens tête Tiburce tion trouvai trouvois Velmas venoit vicomte d'Inglar vouloit voyois yeux
Popular passages
Page 98 - ... convenu de ne jamais s'appesantir sur la raison ; de ne jamais dire une chose touchante ou sensée, sans y joindre ensuite une extravagance, un sarcasme ou une moquerie, et enfin de tour•ner en ridicule toutes les thèses sentimentales. Tiburce...
Page 28 - les défauts de votre mère. Il vous établira dans » la justice; il se souviendra de vous au jour de » l'affliction, et vos péchés se fondront comme
Page vi - ... j'ai senti toutes les douleurs qui peuvent la déchirer ! Enfin, j'ai beaucoup vécu ; j'ai joui de la sécurité de l'ancien temps; j'ai vu l'élégance et l'urbanité de cette époque ; j'ai vu les...
Page 81 - ... d'un mouvement involontaire , se réfugie dans le sein de la Divinité. Il s'écrie : « Ah mon Dieu ! » il tourne vers le ciel des mains suppliantes et des yeux baignés de larmes , pour y chercher un père. Ah ! les besoins de l'homme attestent la providence d'un Être suprême.
Page 158 - Dieu ! peut— il y avoir dans un lieu où le libertinage seul et le mépris de tout joug , lie ceux qui l'habitent ? Quel chaos , quel théâtre d'horreur et de confusion deviendroit la société générale des hommes, si les maximes du libertinage prévaloient parmi eux , et étoient érigées en lois publiques ! Quelle affreuse république , s'il pouvoit jamais s'en former une dans l'univers , toute composée d'impies , et où les hommes ne pussent mériter que par l'impiété le titre de citoyens...
Page 79 - Dans ce fatal abus du temps, Elle a consumé son printemps; La coquette d'un certain âge N'a point d'amis, n'a plus d'amants En vain de quelques jeunes gens Elle ébauche l'apprentissage : Tout est dit, L'Amour fuit, On en rit : Quel dommage ! Elmire, il fallait être sage.
Page v - Je n'ai jamais critiqué contre ma conscience, ni écrit une seule phrase contre mes sentimens ou mes opinions. J'ai fait beaucoup d'études, enfermée dans un cabinet ; j'en ai fait davantage encore, dès ma première jeunesse, à la cour, dans des châteaux, des palais, des chaumières, des villes de province, des couvens ; dans un grand nombre de voyages ; dans mes relations avec des gens de lettres, des...
Page 249 - Il résulte de tout cela que nous n'avons point d'autre conscience que celle qui nous est inspirée par le temps , par l'exemple , par notre tempérament , par nos réflexions.
Page 51 - L'homme de bien, modeste avec courage, Et la beauté spirituelle, sage, Sans bien, sans nom, sans tous ces titres vains, Sont à mes yeux les premiers des humains.
Page 290 - Coligni ont tout fait, et les livres rien. Les trompettes n'ont jamais gagné de batailles , et n'ont fait tomber de murs que ceux de Jéricho. Vous craignez les livres comme certaines bourgades ont craint les violons. Laissez lire, et laissez danser; ces deux amusements ne feront jamais de mal au monde, LIBERTÉ NATURELLE, voyez ARRÊTS NOTABLES. LIEUX COMMUNS EN LITTÉRATURE...