Page images
PDF
EPUB

Un pain croquant tendrement sous la dent.... Un longe de veau.., qui sous les dents est une vraie pâte d'amande (VIII, 158 et 159, Bourg. g. IV, 1).

LE PAUVRE. Le plus souvent je n'ai pas un morceau de pain à mettre sous les dents (V, 145, D. Juan, III, 11).

Contre de pareils coups l'ame se fortifie

Du solide secours de la philosophie (IX, F. sav. 1145).

(Les premières flammes) S'établissent des droits si sacrés sur les ames... Un beau tout-ensemble, [(ibid. 1170).

...

Où rien ne soit à l'œil mendié ni redit (IX, Val-de-Gr. 81). (La première figure) Riche d'un agrément, d'un brillant de grandeur Qui s'empare d'abord des yeux du spectateur (IX, Val-de-Gr. 94).

Pour mettre incessamment mon oreille au supplice (IX, F. sav. 516). (Un auteur) Qui des premiers venus saisissant les oreilles,

En fait le plus souvent les martyrs de ses veilles (ibid. 961).

Voy. au Lexique Sans façon, sans tant de façon, sans façons, point de façons.

E. Noms abstraits pour désigner des groupes de personnes.

La musique est accoutumée à ne point faire ce qu'on veut (IX, 328, Mal. im. I Interm.). Les musiciens sont accoutumés à....

Si l'on ne me fait retrouver mon argent, je demanderai justice de la justice (VII, 178, Av. V, 1). Qu'on me fasse justice des gens de justice. Ce n'est pas à vous à contrôler les ordonnances de la médecine (IX, 288, Mal. im. I, 11). Des médecins.

Quoi que puisse dire Aristote et toute la philosophie (V, 79, D. Juan, I, 1). Et tous les philosophes. Cf. le Parnasse (plus loin, aux Noмs PROPRES, dernier ex. et voy. au Lexique le dernier ex. de PINCEAU. MME JOURD. Depuis que vous vous mêlez de hanter la noblesse, M. J. Lorsque je hante la noblesse, je fais paroitre mon jugement, et cela est plus beau que de hanter votre bourgeoisie. MME J. Camon vraiment! il y a fort à gagner à fréquenter vos nobles (VIII, 108, Bourg. ... Ce déchaînement aujourd'hui me convie [g. III, II).

A faire une action qui confonde l'envie (IX, F. sav. 1398). ... L'esprit du monde y vaut [à la cour], sans flatterie, Tout le savoir obscur de la pédanterie (IX, F. sav. 1346).

F. Quelques exemples d'apposition.

Voy. aussi au chapitre de l'ARTICLE (I, 1, C, 2o et I, II, A, 1o et B, 1o). Un grand seigneur méchant homme est une terrible chose (V, 84, D.

« L'Amour médecin », comédie (V, 303).

« Le Silicien ou l'Amour peintre », comédie (VI, 233).

« Le Bourgeois gentilhomme », comédie-ballet (VIII, 45).

[Juan, I, 1).

Deux savants, deux philosophes vos voisins... (IV, 30, Mar. f. 1).
Les deux princesses mes sœurs (VIII, Psy. 637).
Monsieur le Comte votre fils (VIII, 586, Escarb. vII).

[Acteurs).

Maître tailleur, garçon tailleur, garçons tailleurs (VIII, 43, Bourg. g.

Un sien fils écolier, qui se nommoit Horace (I, Ét. 1320).

Quand on a passé l'onde noire, - Adieu le bon vin, nos amours (VIII, 163, Bourg. g. IV, 1, Chanson à boire).

Le corps, cette guenille, est-il d'une importance

D'un prix à mériter seulement qu'on y pense? (IX, F. sav. 539.)

G.

Valet de du Croisy [et non ges). Voy. le Lexique à DE,

Noms propres.

valet du Croisy] (II, 54, Préc. Personna18° (p. 291).

La famille des Pourceaugnacs.... Il n'y a pas un Pourceaugnac à Limoges que je ne connoisse (VII, 253, Pourc. 1, Iv).

Seigneur François, c'est une grande grâce... (VI, 260, Sic. x).

Hola! Seigneur François, cette façon de saluer n'est point d'usage en ce pays (VI, 260, Sic. x1; cf. VI, 265).

Seigneur Suisse, êtes-vous de ce logis le maître? (I, Ét. 1751 : cf. t. XI,
C'est la manière de France (VI, 260, Sic. x1).
Dans la France (IX, Val-de-Gr. 327).

Dans l'Amérique (III, Ec. d. f. 271).

En Alger: voy. plus loin aux PREPOSITIONS.

...

[p. 281, 5 al.).

Du graud Paris la magnifique vue (IX, Val-de-Gr. 4). Lorsque Naples vous vit quitter votre famille... (I, Ét. 1963). C'est moi qui suis Sosie et tout Thèbes l'avoue (VI, Amph. 396). Au nom de Jupiter, laissez-nous en repos (I, Ét. 281 : note). Per Jovem (I, Dép. a. 752).

On n'a point pour la mort de dispense de Rome (I, Ét. 538).

... Suis-je un Roland... (Ou quelque Ferragu?) (I, Dép. a. 1485, 1486.) Faisons l'Olibrius, l'occiseur d'innocents (I, Et. 1085: note).

SGAN. [à PANCRACE]: Seigneur Aristote, peut-on savoir ce qui vous met si fort en colère? (IV, 34, Mar. f. IV.)

Voy. au Lexique Un oracle, un CATON. Vous serez mon MÉCÈNE. Il mourut en CÉSAR. Un pourceau d'Epicure, un vrai SARDANAPALE.

MAGD. C'est le caractère enjoué. CATH. Je vois bien que c'est un Amilcar (II, 76, Préc. Ix note).

MASC. Le ruban est bien choisi. MAGD. C'est Perdrigeon tout pur (II, 95. ... Jules, Annibal, Raphaël, Michel-Ange, [Préc. Ix note).

Les Mignards de leur siècle, en illustres rivaux

Ont voulu par la fresque anoblir leurs travaux (IX, Val-de-Gr. 277).

[ocr errors]

Le voilà cet Argus que j'abhorre......

De votre Argus dupé je brave la puissance (II, Éc. d. m. 263, 908).
CLÉ. Que voilà qui est scélérat! Cov. Que cela est Judas! (VIII, 133,
Bourg. g. III, x.)

Quel Juif, quel Arabe est-ce là? C'est plus qu'au denier quatre (VII, 94,
Av. II, 1). Voy. au Lexique FESSE-MATHIEU.

Il est... fort comme un Ture sur ses principes (IX, 355, Mal. im. II, v ; note). Voy. au Lexique Traiter... de TURC à More.

Un Turc, un hérétique, qui ne croit ni Ciel, ni Enfer, ni loup-garou (V, 82, D. Juan, I, 1).

(Mes heures) Ne sont encor pour moi que du haut allemand (I, Dép. a. Ton jargon allemand est superflu, te dis-je (I, Ét. 1819).

(Tout s'y voyant) Assaisonné du sel de nos grâces antiques,

Et non du fade goût des ornements gothiques,

Ces monstres odieux des siècles ignorants (IX, Val-de-Gr. 84).

Et voilà qu'on la chasse avec un grand fracas,

[690).

A cause qu'elle manque à parler Vaugelas (IX, F. sav. 6o6; voy, vers 522). Voy. au Lexique Parler chrétien, Être chrétien [charitable] et divers emplois du mot CHRÉTIEN.

[ocr errors]

Hors un gros Plutarque à mettre mes rabats... (IX, F. sav. 562). Un mouchoir qu'il trouva dans une « Fleur des Saints » (IV, Tart, 208). La « Guide des pécheurs » est encore un bon livre (II, Sgan. 37).

Je vous envoie Horace, Virgile, Térence et Catulle, où vous verrez notés en marge tous les endroits qu'il a pillés (IX, F. sav. avant le v. 1395). Va, va-t'en faire amende honorable au Parnasse

D'avoir fait à tes vers estropier Horace [les vers d'Horace] (ibid. 1022).
Nous avons vu de vous des églogues d'un style

Qui passe en doux attraits Theocrite et Virgile (ibid. 973 et 974).
Vos odes ont un air noble galant et doux,

LEX. DE M.

C

Qui laisse de bien loin votre Horace après vous (ibid. 976).
Va, va restituer tous les honteux larcins

Que réclament sur toi les Grecs et les Latins (ibid. 1020).

Voy. au Lexique GREC [helléniste] de profession; Grand LATIN [latiniste]. Il lui aurait été trop glorieux de succomber..... sous les efforts de tout le Parnasse (III, 421, Impr. v).

III
ADJECTIF

A. Quelques adjectifs remarquables par leur forme
ou par leur sens.

Un vieux importun (VIII, 552, Escarb. I et III, Fách, 689). Voy. à VIEUX.
Je n'ai pas grande faim de mort ni de blessure (I, Dép. a. 1501).
Ces protestations ne coûtent pas grand chose (I, Dép. a. 483).

Grand est ainsi écrit sans apostrophe dans les premières éditions antérieures à celle de 1697. — Voy., au Lexique, CHOSE (grand chose et grand'chose), GRAND, PEINE (grand'peine et grande peine), PITIÉ.

(Peux-tu me conseiller de)... prendre ce mal-fait? (II, Sgan. 91.)

Voy. au Lexique Mal né, mal propre à..., mal sain et malsain, bienvenu, et bien venu, mal venu, mal satisfait, malfaisant, malgracieux, à la MALELe contraignant effort de ces aveux en face (F. sav. 128). [HEURE Voy. le mot, plusieurs fois relevé, dans le Lexique de la langue de Mme de Sévigné; Littré en donne un exemple de Saint-Simon. Voy. au Lexique les expressions: esprit contrariant » (V, Mis. 672).

>

« dominant chagrin » (IX, F. sav. 247) et

Toutes les muses nécessitantes (VII, 405, Am, magn. I, v : note).

(Je sais) Des hommes en amour d'une humeur si souffrante

Qu'ils vous verroient sans peine entre les bras de trente... (III, Fách. 459 note.) D'une humeur si endurante...

Je tâte votre habit: l'étoffe en est moüelleuse (IV, Tart. 917

note).

Que dit-elle de moi, cette gente assassine? (I, Ét. 220.) Voy. le Lexique. Et tandis qu'au mileu des béotiques plaines,

Amphitryon... (Commande aux troupes thebaines...) (VI, Amph. 60). [Le] port Persique (ibid. 455).

Quand même l'huissier) Vous trouveroit en face un marquis repoussable... (III, Rem. au R. 56).

...

Voy. au Lexique: BRANDI; CROTESQUE et GROTESQUE; FOURBISSIME; IGNORANTISSIME; SAOUL, SOÛL, SOû; SAVANTISSIME; LIMOSIN; PERIGORDIN; Signes PROGNOSTIQUES; A la TURQUESQUE. - Fier (cruel), [Les] sièclesévanouis (passes), [Les grâces] fertiles [de la fresque].

B. Mots employés adjectivement.

Que peu philosophe est ce qu'il vient de faire! (IX, F. sav. 1728 : note.) Cf. V, Mis. 97, 166.

Son cœur, croyez-moi, n'est point roche après tout

A quiconque la sait prendre par le bon bout (I, Et. 969).

CLE. Que voilà qui est scélérat. Cov. Que cela est Judas (VIII, 133, Bourg.
L'AMOUR. Il est temps désormais que je devienne graud.
ZÉPHIRE. (Fort bien....) Et vous entrez dans un mystère

[g. III, x).

Qui ne demande rien d'enfant (VIII, Psy. 969). Voy. ENFANT, BÈTE.
Je ne suis pas si poète que vous pourriez bien croire (VIII, 560, Escarb. 1).
Il ne se peut rien de plus marchand que ce procédé (II, 63, Préc, 1v). Cf.
BOURGEOIS.

Croyez-moi, celles qui font tant de façons n'en sont pas estimées plus femmes de bien (III, 324, Crit. III).

[ocr errors]

Pour être trop homme de bien (VI, Amph. 467).

Dès que j'en vis briller la splendeur plus qu'humaine (IV, Tart. 973).

D'un génie, à vrai dire, au-dessus de l'humain (III, Éc. d. f. 971). Ce n'est ici qu'un bal à la hate.... Mais un de ces jours nous vous en donnerons un dans les formes (II, 108, Préc. XII).

C'est un plaisir si grand, qu'il n'en est point de méme (II, Éc. d. m. 823). Jamais il ne s'est vu de surprise de méme (IV, Tart. 1393: note).

Voy, au Lexique : Le mot est bien COLLET-MONTÉ; un petit Opéra IMPROMPTU; maris LOUPS-GAROUS; les aveux EN FACE; un discours DE LA SORTE. Des choses qui vous sont de si grande importance (I, Dép. a. 356). Je pense... que vous avez eu bien des amants dans votre jeune âge, belle et d'agréable humeur comme vous étiez (VIII, 119, Bourg. g. III, v). Des choses par-dessus les maisons.... Des choses extravagantes (VIII, 457, ... Vous serez toujours... [Scap. II, v. Un envers du bon sens, un jugement à gauche (I, Ét. 888). Je ne vois rien de plus mal à propos que de la faire, cette folie... (IV, Ce début n'est pas mal (V, Mis. 583). Voy. à MAL.

[21, Mar. f. 1).

[blocks in formation]

C'est un stratagème, un surprenant secours

Que j'ai voulu tenter pour servir vos amours (IX, F. sav. 1761.) C'est une surprise secourable...

LÉL. Suis-je un sot à ton conte?

...

MASC. Non pas du tout, mais bien quelque chose approchant (I, Ét. 1377; cf. VI, Amph. 1073). Voy. à RIEN.

Psyché, Psyché la belle, aujourd'hui tient ma place (VIII, Psy. 67). ELI. Je dirai que votre âme s'explique

Un peu bien librement sur votre politique....

D. LOPE. Je pourrois désavouer sans blame

...

Ces libres vérités sur quoi s'ouvre mon âme (II, D. Garc. 441). Ces vérités sur lesquelles mon âme s'ouvre si librement.

Il est impossible qu'il ne soit pas fou, et mélancolique hypocondriaque (VII, 276, Pourc. 1, vin).

Grande, grande nouvelle et succès surprenant (I, Ét. 1929).

(Le lierre) Qui croît beau tant qu'à l'arbre il se tient bien serré (Sgan. 75). Peste soit qui premier trouva l'invention (De...) (II, Sgan. 439).

D. Quelques exemples remarquables de mots (adjectifs ou mots pris adjectivement) employés comme attribut.

Voy. quelques autres exemples au chapitre de l'ARTICLE (plus haut, p. vi et x), et plus loin à CONSTRUCTION (Apposition).

Je ne suis point battant de peur d'être battu (II, Sgan. 423).

Ayez, je vous prie, agréable

De venir... (VI, Amph. 1698). Cf. AVOIR pour agréable que....

Vous n'avez pas accoutumé de parler à des visages (IX, 405, Mal. im. Enfin les gens sensés ont leurs têtes troublées

[III, IV).

De la confusion de telles assemblées (IV, Tart. 157).
Apprenez, pour avoir votre esprit raffermi,... (II, Éc. d. m. 317).
Il a le repart brusque, et l'accueil loup-garou (II, Éc. d. m. 310).
Voilà un médecin qui a la barbe bien jeune (V, 343, Am. méd. III, v).
Ma femme bien souvent a la tête un peu chaude (IX, F. sav. 427). Cf.':

...Quand une femme a sa tête fantasque (I, Dép. a. 1281). Le tour ici est à expliquer, non par: Quand une femme a fantasque sa tête, son humeur, mais par: Quand une femme obéit à sa tête fantasque, suit son humeur fantasque, l'humeur fantasque à laquelle elle est sujette.

Dans l'exemple suivant l'adjectif libre n'a pas non plus le sens attributif, comme semble le prouver la place donnée à beau devant le second nom complément d'avoir: Vous avez le tour libre et le beau choix des mots (IX, F. sav. 971; mais voy. v. 765).

Que puissiez-vous avoir toutes choses prospères! (I, Dép. a. 869.) Voy.
CONTRAIRE, DESTINS (7° ex.); cf. IX, F. sav. 243.

(Cet amant) Crut rencontrer Lucile à ses vœux favorable (Dép. a. 44í).
Je lui crois, pour moi, le timbre un peu féle (F. sav. 614; cf. Mis. 909).
Je puis croire ces mots un artifice honnéte (Pour...) (IV, Tart. 1445).
Et je vous tiens mon véritable père (III, Éc. d. f. 1649).

On la tenoit morte.... Une femme étoit tenue pour morte (VI, 52, 66,
Méd. m. l. I, Iv et v).

A cause de votre noblesse vous me tenez [croyez] fort au-dessous de vous (VI, 546, G. D. II, 11).

Une femme qui se tient au-dessus de moi... (VI, 508, G. D. I, 1).

... Troubler leur intelligence, et rompre cet attachement, dont la délicatesse de mon cœur se tenoit offensée (V, 93, D. Juan, I, 11). Voy. TENIR et SE TENIR.

Tous les hommes sont semblables par les paroles; et ce n'est que les actions qui les découvrent differents (VII, 54, 4o. 1, 1 : note; cf. II, D. Garc. 1853, 1854). Voy. Dénoter, Garantir, Peindre (dern, ex.). L'EXEMPT. Il s'est trabi lui-même,

(Et...) S'est découvert au Prince un fourbe renommé (IV, Tart. 1923). Attendez jusqu'au bout pour voir les choses sures (IV, Tart. 1533).

Agencement,] Qui du champ du tableau fasse un juste partage, En conservant les bords un peu légers d'ouvrage (IX, Val-de-tir. 76). Ils seront bien ébaubis Quand ils nous verront partis (VIII, 218, Bourg. g. Ballet des Nat.).

Vous voyez combien de personnes tuées pour deux cents pistoles (VIII, 472, Scop. II, v11).

...

On vous a vu contre eux un diable déchaîné (III, Éc. d. f. 69). Vous m'allez voir désormais la meilleure femme du monde (VI, 582, G. D. III, vi).

Peut-être... qu'à l'heure que je parle, on l'emmène esclave en Alger (VIII, 480, Scap. II, vn). Cf. Arrêter... PRISONNIER; être reçu MÉDECIN.

Et tout ce que vous m'avez dit, je l'aime bien mieux une feinte, que non pas une vérité (IV, 214, Pr. a'É. V, 11).

Je l'aime aussi [la compagnie], mais je l'aime choisie (III, 312, Crit. 1). J'ai deux sœurs capables de plaire...,

Et l'amitié me rend leur personne assez chère,

Pour vous souhaiter leurs époux (VIII, Psy. 474, 475). Pour souhaiter de vous voir devenir leurs époux.

AR. Croyez-vous qu'elle est mal d'être avec Léonor?

SG. Non pas; mais avec moi je la crois mieux encor (II, Éc. d. m. 94). Vous avez bien voulu les choses de la sorte (IX, F. sav. 136).

E. Degrés de comparaison.

Pour l'emploi du comparatif au lieu du superlatif, voy. à PLUS, MIEUX, MEILLEUR, MOINS.

Si l'on en peut voir un plus fou, je l'irai dire à Rome (VIII, 209, Bourg. g. V, vi).

C'est me faire une plaie au plus tendre de l'âme (I, Ét. 1044).

Voy. ci-dessus (division B) des substantifs pris adjectivement et précédés de plus rien de plus mar hand estimées plus femmes de bien).

[ocr errors]

O père, le meilleur qui jamais ait été (VI, Mélic, 541).
Prends celui de tes traits le plus propre à me plaire,

[154).

Le plus empoisonné de ceux (Que tu lances dans ta colère) (Psy. 153, Elle a les yeux petits; mais elle les a pleins de feux, les plus brillants, les plus perçants du monde, les plus touchants qu'on puisse voir (VIII, 130, Bourg. g. III, 1x).

« PreviousContinue »