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est qu'il y a quelque chose d'admirable dans l'homme (V, 142, D. Juan, III, 1).

Ce que j'en ai dit n'est pas que je vous presse (I, Dép, a, 170).

Ne signifie pas que je vous presse.

La foiblesse humaine est d'avoir

Des curiosités d'apprendre

Ce qu'on ne voudroit pas savoir (VI, Amph. 1083).

Tout le regret que j'aurai,... c'est de n'avoir point un enfant de vous (IX, 317, Mal. im. I, VII).

Notre plus grand soin, notre première instance

Doit être à le nourrir (l'esprit) du suc de la science (IX, F. sav. 548). Tout le plaisir de l'amour est dans le changement (V, 87, D. Juan, I, 11). D. PED. L'offense est trop petite pour un courroux si grand. ADR, La grandeur d'une telle offense n'est pas dans l'importance des choses que l'on fait : elle est à transgresser les ordres qu'on nous donne (VI, 271, Sic. xv).

C'est, Est-ce, voy. CE (aux PRONOMS DÉMONSTRATIFS, dans l'Introd. gramm.). Etre pour... [favorable à quelqu'un ou à quelque chose]: voy. à POUR Étre pour suivi d'un infinitif : voyez POUR. [et cf. CONTRE.

Être sur...

[parler de...]: voyez à SUR.

Si j'étois que de vous ou si j'étois de vous; ce n'est pas de même, il n'en est pas de même de...: voyez DE, 3°, p. 268 et 269.

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Voir les termes où j'en suis (I, Dép. a. 1172).

ERASTE. Enfin, quand j'aime bien, j'aime fort que l'on m'aime.

VAL. Il est très naturel, et j'en suis bien de même (I, Dép. a. 206).

Comment,... vous en êtes encore là-dessus? (VI, 558, G. D. II, v11.) Vous êtes resté sur ces soupçons?

Celui-là en est à la troisième partie de son roman (II, 81, Préc. 1x).
Quand nous en serons là (II, D. Garc. 1086).
CID. Et tous les maux de la nature

Ne sont rien en comparaison.

[204).

AGL. Pour moi, j'en suis souvent jusqu'à verser des larmes (VIII, Psy. Je ne sais où j'en suis, tant ma douleur est forte (III, Éc. d. f. 1725). Sans cela, où en serions-nous tous les jours? (IX, 314, Mal. im. Í, vII.) Il n'en est pas encore où son cœur peut prétendre (IX, F. sav. 1134). Où est-ce donc que nous sommes et quelle audace est-ce là à une coquine de servante de parler de la sorte devant son maître? (IX, 304, Mal. im. I, v.)

Le sens parait bien être : Où est-ce donc que nous en sommes? La particule en a été supprimée comme aux trois exemples suivants.

Mais sachez qu'on n'est pas encore où l'on prétend (II, D. Garc. 1059). ... On n'est pas où l'on pense en me faisant injure (ÌV, Tart. 1561). Tu n'es pas où tu crois; en vain tu files doux : Ton excuse n'est point une excuse de mise; Et je me veux venger... (VI, Amph. 1182). [Fich. 8r). Ah! parbleu! j'en veux être [de ton repas], étant de tes amis (III, Ah! Monsieur, vous en étes? (V, 320, Am. méd. II, 11.) De la consultation, ou de ceux qui sont ici assemblés pour consulter.

Vous ne m'aviez pas dit que les coups en seroient aussi (II, 110, Préc. x; cf. VI, Amph. 409).

J'en suis pour mon honneur; mais à toi qui me l'ôtes... (II, Sgan. 193). MASC. Écoutez donc. MAGD. Nous y sommes de toutes nos oreilles (II, 84,

Préc. 1x).

Comme si de rien n'eût été (VI, 52, Méd. m. l. I, IV). Voyez à RIEN les expressions je ne suis pour rien dans..., cela n'est de rien.

Encore tant soit peu (VI, 262, Sic. x1).

Je suis homme pour serrer le bouton à qui que ce puisse être (VI, 523, G. D. I, IV).

Être (temps passés d') employés pour des temps passés d'aller :

Je ne reviens pas, car je n'ai pas été (I, Dép. a. 235).

Combien fûmes-nous ensemble à Rome?... Et en Hollande où vous fútes ensuite? (IV, 20, Mar. f. 1.)

THOM. DIAF. [après avoir débité son compliment]: Cela a-t-il bien été, mon père? (IX, 350, Mal. im. II, v.)

Oui, tout a bien été, ma joie est sans pareille (III, Éc. d. f. 643).

Mais par là, grâce au Ciel, tout a bien mieux été,

Et les choses en sont dans plus de sûreté (IV, Tart. 1399).

Tout a été mieux ainsi, la situation a été meilleure; ou plutôt : tout est mieux allé, a mieux tourné.

Et nous fumes coucher sur le pays exprès (III, Fách. 489).

Cf. II, 84, Préc. Ix; V, 111, D. Juan, II, 1; VIII, 171, 216, Bourg. g. IV, III, et Ballet.

A peine ai-je été les voir que trois ou quatre fois (III, 395, Impr. 1). Un laquais qui sauroit vivre auroit été parler tout bas à la demoiselle suivante (VIII, 574, Escarb. m).

Si j'avois étudié, j'aurois été songer à des choses où on n'a jamais songé (VI, 566, G. D. III, 1).

Un ignorant... vous eût été dire: « C'est ceci, c'est cela » (VI, 84, Méd. m. l. II, iv).

Nous fumes avant-hier à la même pièce (III, 321, Crit. 11).

Toutes mes études n'ont été que jusqu'en sixième (VI, 98, Méd. m. l. III, 1). Et vous n'en avez pas été jusques aux convulsions? (III, 321, Crit. 111.) ... Ceux qu'on voit toujours renchérir sur la mode,

Et qui dans ses excès, dont ils sont amoureux,

Seroient fachés qu'un autre eut été plus loin qu'eux (II, Éc, d. m. 50).
Malheureux que je suis, d'avoir dessous ce masque

Été sans y penser te faire cette frasque (I, Ét. 1231 et 1232).
Cependant vous avez été bien vite ici (I, Dép. a. 465).

Vous êtes allée, avez procédé, agi bien précipitamment, bien imprudemment, en cette affaire.

Être, substantif, existence: PANCR. (Vous voulez peut-être savoir) si la fin nous peut émouvoir par son étre réel, ou par son étre intentionnel? (IV, 42, Mar. f. Iv note.) Voy. à SUBSTANCE.

La source de mon sang et l'auteur de mon étre (I, Ét. 1984).

Ceux qui vous ont donné l'être (IX, F. sav. 164).

Étrennes ... Vous avez toujours une querelle toute prête à faire à vos valets dans le temps des étrennes,... pour vous trouver une raison de ne leur donner rien (VII, 134, Av. III, 1).

Étriller Je vous étrillerai d'un air... (VIII, 76, Bourg. g. II, 11).

Je vous rosserai.... Je vous étrillerai (VI, 40, Méd. m.

Cf. III, Éc. d. f. 1346; VI, Amph. 291, 834.

7. I, 1).

Étrivière (Moi qui ai)... reçu mille coups d'étrivière (VI, Amph. 464; cf.

VIII, 455, Scap. II, v).

Étroit... Je serois un fou de prétendre plus rien

[253).

Aux étroites [var. de 1682 secrètes] faveurs qu'il a de cette belle (Dép. a.

Voy. SOCIÉTÉ et SYMPATHIES.

Et-tant-moins: LUB. Un petit baiser seulement; en rabattant sur notre mariage. CLAUD. Je suis votre servante. LUB. Claudine, je t'en prie. sur l'et-tant-moins (VI, 544, G. D. II, 1 note).

:

Etude J'ai mis quinze ans de soins, de veilles et d'étude
A me le rendre [ce présent] précieux (VIII, Psy. 683).

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.Nos courtisans les plus légers d'étude... (IX, Val-de-Gr. 287).
Nous autres gens d'étude (I, Dép. a. 1273).

TR. La sottise dans l'un (dans l'ignorant) se fait voir toute pure. [1302).
CLIT. Et l'étude dans l'autre (dans le pédant) ajoute à la nature (F. sav.
De son étude enfin je veux qu'elle se cache

Et qu'elle ait du savoir sans vouloir qu'on le sache (F. sav. 223). Cf. PHI-

LOSOPHIE.

C'est là que va l'étude de la plupart du monde (V, 338, Am. méd. III, 1).
Le bonheur de vous plaire est ma suprême étude (IV, Tart. 1441).
Conserver tout le monde est votre grande étude (V, Mis. 1641).

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Un sot amour fait toute votre étude (II, Sgan. 246).

Je mettrois toute mon étude à rendre ce quelqu'un jaloux (VI, 248,
249, Sic. vi; cf. II, D. Garc. 452).

Et, d'un fixe regard, chercher avec étude

Ma confusion dans mes yeux (VIII, Psy. 130; cf. VI, Amph. 586).

Là, tâchez de vous composer par étude (VIII, 423, Scap. I, ш: note).
Tout ce que je fais me vient, naturellement, c'est sans étude (II, 90, Préc.
Ix; cf. V, Mis. 792).

Loin ces études d'œillades (III, Éc. d. f. 760).

Toutes mes études n'ont été que jusqu'en sixième (VI, 98, Méd. m. l.
III, 1).

Étudier: Gentilhomme limosin... qui a étudié en droit (VII, 249, Pourc. I, 111).
Ah! Que n'ai-je étudié? (VI, 87, Méd. m. l. II, Iv; cf. F. sav. 485, 572;
VIII, 86, 91, 106, Bourg. g. II, Iv et III, 111; V, 141, D. Juan, III, 1.)
... Toutes les grimaces étudiées de ces gens de bien à outrance (IV, 387,
Tart. 1o Plac.).

J'enrage que mon père et ma mère ne m'aient pas fait bien étudier dans
toutes les sciences quand j'étois jeune (VIII, 81, Bourg. g. II, IV).
Je vous étudie des yeux et des oreilles (III, 328, Crit. 11).

Une danse ornée de toutes les attitudes que peuvent exprimer des gens
qui étudient leur force (VII, 466, Am. magn. VI® Interm.).
Tout ce que des enfers la malice étudie

A-t-il rien de si noir que cette perfidie? (II, D. Garc. 1392.)

Étudiez-vous, quand je vous mènerai par la main, à bien marcher comme
une femme (VII, 322, Pourc. III, 11).

Etui (Mon jaloux) Est sorti de la chambre, et moi de mon étui (III, Éc. d.
f. 1167). Par plaisanterie : de mon armoire.

Etymologie: Tout ce qu'on peut dire de savant sur la tragédie et la co-
médie, l'étymologie de toutes deux (II, 50, Préc. Préf.)

Une... détestable orthographe, sans aucun égard d'étymologie (III, 84.
Fách. Placet de Caritidès).

Euh! exclamation servant à tenir en respect, marquant un doute, un soup-
çon, servant à interroger :

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Si tu bouges...! Je veux

Que vous me disiez... Euh!... Oui je veux que tous deux...

Quiconque remûra, par la mort! je l'assomme (III, Éc. d. f. 399).
Euh! traîtresse (VI, 563, G. D. II, viii).

Euh?... Qu'est-ce que tu parles de voler?... Euh? Je crois qu'ils se font
signe l'un à l'autre de me voler ma bourse (VII, 66, 76, Av. I, m et iv).
M. JOURD. [après avoir dansé son menuet]. Euh? M° DE MUS. Voilà qui est le
mieux du monde.... Je veux que vous me voyiez faire.... (Après sa leçon
d'armes]. Euh? M DE MUS. Vous faites des merveilles (VIII, 70 et 73
Bourg. g. II, 1 et 11; cf. III, Éc. d. f. 923, 1062).

Voy. encore III, Éc. d. f. 272; VII, 79, Av. I, iv ; IX, F. sav. 458; IX, 330,
Mal. im. Ier Interm.

Evacuer J'allois nettoyer votre corps et en évacuer entièrement les mauvaises humeurs (IX, 409, Mal. im. III, v). Voy. à EXPULSER. Je suis d'avis... de le purger [notre malade], désopiler, et évacuer par purgatifs propres et convenables (VII, 275, Pourc. I, vIII).

Évader (s'): Fourbe, tu crois par là peut-être t'évader;

Mais rien ne te sauroit sauver de ma vengeance (VI, Amph. 1722). Si je rentre chez moi, je ferai évader le drôle (VI, 556, G. D. II, vi). Je vois notre maison, et ma frayeur s'évade (VI, Amph. 189 : note). Evanouir (s'): Que les offenses d'un fils s'évanouissent vite au moindre mot de repentir! (V, 190, D. Juan, V, 1.)

... Mon cœur, aux brillants d'une telle victoire,

Vit de sa liberté s'évanouir la gloire (IV, Pr. d'É. 86).

... Oui, sa pudeur n'est que franche grimace,

Qu'une ombre de vertu qui garde mal la place,

Et qui s'évanouit, comme l'on peut savoir,

Aux rayons du soleil qu'une bourse fait voir (I, Ét. 978). ... Tous les beaux faits que nous chante l'histoire

Des siècles évanouis (IX, 267, I" Prol. du Mal. im.).

Évanouissement: Je crains ici pour vous l'évanouissement (II, Sgan. 308). Il lui prend... des évanouissements (VI, 103, Méd. m. 1. ÌII, 11).

Évaporer Voy. BILE.

:

Son fils, qui m'embarrasse, est un évaporé (I, Dép. a. 783). Voy. le dernier exemple d'EvEnter.

:

Éveiller En attendant que notre homme fût éveillé (VIII, 46, Bourg. g. I, 1). (Je n'ai point sommeillé,) Je vous parle bien éveillé (VI, Amph. 831).

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. Vos petits yeux éveillés (IV, 27, Mar. f. 11).

Événement: Jamais, certes, jamais plus beau commencement

N'eut en si peu de temps plus triste événement (Ét. 834). Plus triste issue. Adieu. L'événement trompe un peu vos souhaits (III, Éc. d. f. 1722).

...

Des événements l'incertitude est grande (I, Ét. 561).

Voy. encore III, Éc. d. f. 857; IV, Pr. d'É. 324; IX, F. sav. 1544.

La crainte d'un époux et l'amour maternelle

Firent l'événement d'une ruse nouvelle (I, Dép. a. 1594).

Firent naître une ruse nouvelle.

... L'on doit commencer par consulter ensemble

Les choses qu'on peut faire en cet événement (IV, Tart. 1575).

(Un cœur) Dont mille événements ont marqué la puissance (VIII, Psy. 605). Éventer ... N'allez pas, de grâce, éventer mon secret (III, Éc. d. f. 354).

:

Tantôt je crains de voir par la fourbe éventée

Ma famille en opprobre et misère jetée (I, Dép. a. 659).

Cf. I, Ét. 1177; II, D. Garc. 1107; III, Éc. d. f. 310.

... De ces petits chapeaux [de vos jeunes muguets],

Qui laissent éventer leurs débiles cerveaux (II, Éc. d. m. 26).

Oh! Que les femmes sont du diable bien tentées,

Lorsqu'elles vont choisir ces têtes éventées (III, Éc. d. f. 841).

(Dupe) D'une jeune innocente et d'un jeune éventé (III, Éc. d. f. 1186). Que l'on me vit connu d'un pareil éventé (III, Fach. 43). Cf. ÉVAPORÉ. Evidence [Les]... desirs qu'il met en évidence (I, Ét. 1884).

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Evident :

: ...

Ce qu'il a de tendresse évidente (II, D. Garc. 572). Éviter Son bras a repoussé le trépas que j'évite (III, Fách. 815). PIERROT, qui s'est baissé pour éviter le soufflet... (V, 124, D. Juan, III, 111, Cf. VIII, 556, Escarb. 1; IX, F. sav. 1750.

LEX. DE M.

[j. de sc.).

29

...

Elle (la chose) ne peut longtemps éviter d'être sue (I, Dép. a. 468). Exact: Une exacte connoissance de la nature des lettres et de la différente manière de les prononcer toutes (VIII, 84, Bourg. g. II, iv).

Il s'est plus attaché aux beautés et à la pompe du spectacle qu'à l'exacte régularité (VIII, 268, Psy. Le libraire au lecteur).

Prenant un soin exact que... (IX, Val-de-Gr. 96). Cf. SENTINElle.
Je veux, pour espion qui soit d'exacte vue,

Prendre le savetier du coin de notre rue (III, Éc. d. f. 1132).

... On en pourra faire (faire d'elle) une exacte poursuite (III, Ec. d. f. 1429). Pour moi, j'y suis fort exact; et quand j'ai promis à quelque poète, je crie toujours : « Voilà qui est beau », devant que les chandelles

soient allumées (II, 91, Préc. 1x).

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Cf. I, Dép. a. 740; V, 156, 200, D. Juan, III, iv et V, iv. Exactement : Trufaldin lorgnoit exactement (I, Ét. 1618; cf. Tart. 1528). Exactitude: Cette exactitude de prononciation qui appuie sur toutes les syllabes et ne laisse échapper aucune lettre de la plus sévère orthographe (III, 403, Impr. 1).

Les contrastes savants des membres agroupés,...

Tous formés l'un pour l'autre avec exactitude (IX, Val-de-Gr. 120). (Mais cette rectitude) Que vous voulez en tout avec exactitude..., La trouvez-vous ici dans ce que vous aimez? (V, Mis. 208.)

Exagérateur : Un homme... point du tout exagérateur incommode (VII, 410, Am. magn. II, II: note).

Exagérer: Il ne manqueroit pas de vous exagérer lui-même toutes les pièces du repas qu'il vous donneroit (VIII, 158, Bourg. g. IV, 1).

Il ne m'entretenoit que d'elle...; m'exagéroit à tous moments sa beauté et sa grâce (VIII, 415, Scap. I, II).

(Vénus) oblige les Divinités... de la laisser seule avec l'Amour. Elle lui exagère son dépit, et l'ayant conjuré de la venger... (VIII, 367, Psy. Livret de 1671).

(Moi)... qui, sans rien exagérer,...

Aurois besoin, plus que personne,

D'avoir de quoi me voiturer (VI, Amph. 35).

Examen Le temps viendra de faire imprimer mes remarques sur les pièces que j'aurai faites.... En attendant cet examen, qui peut-être ne viendra point... (III, 29, Fách. Avert.). Voy. à l'article suivant.

Examinateur: O fâcheux examen d'un mystère fatal,

Où l'examinateur souffre seul tout le mal! (III, Ec. d. f. 565, 566.) Examiner: Examiner les causes de la maladie (V, 328, Am. méd. II, v). Ne l'examinons point [la nature humaine] dans la grande rigueur (V, Je ne vois pas, lorsque je m'examine,

...

Où prendre aucun sujet d'avoir l'âme chagrine (V, Mis. 781). (Je)... ne suis point un choix, à tout examiner,

Que vous soyez reçus à faire condamner (II, Éc. d. m. 1022).

Mis. 147).

Exaucer: Seroit-il possible que la bonté du Ciel eût exaucé mes vœux ? (V, 189, D. Juan, V, 1.)

Excellence Poursuis, ô grand Colbert, à vouloir dans la France

Des arts que tu régis établir l'excellence (IX, Val-de-Gr. 328).

Toute l'excellence de leur art consiste en un pompeux galimatias (IX, 397, Mal. im. III, III; cf. IX, 419 et V, 334, Am. méd. II, vii; IX, Valde-Gr. 356).

Apprenez... à mieux traiter l'excellence de la musique (VIII, 74, Bourg. g. II, 1; cf. VIII, 58).

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