An Introduction to the French Language: Containing Fables, Select Tales, Remarkable Facts, Amusing Anecdotes, &c. With a Dictionary of All the Words, Translated Into English

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D. Appleton & Company, 1854 - French language - 147 pages

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Popular passages

Page 78 - LE COQ ET LA PERLE. Un jour un coq détourna Une perle qu'il donna Au beau premier lapidaire. Je la crois fine, dit-il ; Mais le moindre grain de mil Serait bien mieux mon affaire. Un ignorant hérita D'un manuscrit qu'il porta Chez son voisin le libraire. Je crois, dit-il, qu'il est bon ; Mais e moindre ducaton
Page 87 - Vit aux dépens de celui qui l'écoute : Cette leçon vaut bien un fromage, sans doute. Le corbeau, honteux et confus, Jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus. LE CYGNE. Lorsque cet oiseau vogue doucement sur l'eau, il offre
Page 104 - Enfin, Eliacin, vous avez su me plaire. Vous voyez, je suis reine, et n'ai point d'héritier : Je veux vous faire part de toutes mes richesses ; Essayez dès ce jour l'effet de mes promesses. A ma table, partout, à mes côtés assis, Je
Page 95 - de vous ? cela ne vous gênerait pas prodigieusement, puisque vous êtes seul dans votre calèche, et ménagerait mon uniforme que je mets aujourd'hui pour la première fois."—" Ménageons votre uniforme, mon brave," lui dit Joseph, " et mettez-vous là. D'où venez-vous?" — "Ah!" dit le sergent, "je viens de chez un
Page 95 - Tiré sur les plaisirs de Sa Majesté, il n'en devait être que meilleur?" — "Je vous en réponds." Comme on approchait de la ville, et que la pluie tombait toujours, Joseph demanda à son compagnon dans quel quartier il logeait, et où il voulait qu'on le descendit. —"Monsieur, c'est trop de
Page 95 - dans une calèche à deux places qu'il conduisait lui-même, faire une promenade du matin aux environs de Vienne, il fut surpris par la pluie, comme il reprenait le chemin de la ville Il en était encore éloigné, lorsqu'un piéton, qui regagnait aussi la capitale, fait signe au conducteur
Page 74 - réveil, ne pouvait manquer de le précipiter ; sa vie était entre mes mains ; j'ai pris soin de l'éveiller avec les précautions convenables, et l'ai tiré de cet endroit fatal."— " Ah ! mon fils," s'écria le bon père avec transport, et en l'embrassant tendrement, " c'est à toi, sans contredit, que le diamant est dû.
Page 103 - 1 Entre les bras de Dieu jeté dès ma naissance, Et qui de mes parents n'eus jamais connaissance. Joas. Je suis, dit-on, un orphelin, Ath. Vous êtes sans parents ! Joas. Ils m'ont abandonné.
Page 27 - à quoi sert que nous ayons retrouvé notre père, puisqu'il doit mourir dans peu de jours ?"—" Il faudra couper ses chaînes," dit Jean, " et nous nous sauverons tous les trois dans la forêt."—" Et qu'y ferons-nous, mes pauvres enfants ?" répliqua Jean Maurice ; " les sauvages nous rattraperont, ou bien il faudra mourir de faim."—
Page 67 - qu'il est dangereux de se mettre à la fenêtre ! qu'il est difficile d'être heureux dans cette vie !" Zadig vit combien il était dangereux quelquefois d'être trop savant, et se promit bien à la première occasion de ne point dire ce qu'il avait vu. PEPIN LE BREF, ROI DE FRANCE. HISTORIQUE.

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