Œuvres de J. de La Fontaine: FablesHachette, 1883 |
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Page vi
... passer pour gentilhomme 2 . Il n'était certes pas un escroqueur de titres , Lui le moins fier , lui le moins vain des hommes , Qui n'a jamais prétendu s'appuyer Du vain honneur de ce mot d'écuyer , Qui rit de ceux qui veulent le parêtre ...
... passer pour gentilhomme 2 . Il n'était certes pas un escroqueur de titres , Lui le moins fier , lui le moins vain des hommes , Qui n'a jamais prétendu s'appuyer Du vain honneur de ce mot d'écuyer , Qui rit de ceux qui veulent le parêtre ...
Page xxxix
... passer de mains en mains dans les cercles lettrés , et que , sous le couvert de sa femme , la Fontaine l'adressât à toute la nation du Parnasse , il fallait qu'il y eût au moins quelque vraisemblance à parler à Mlle de la Fontaine la ...
... passer de mains en mains dans les cercles lettrés , et que , sous le couvert de sa femme , la Fontaine l'adressât à toute la nation du Parnasse , il fallait qu'il y eût au moins quelque vraisemblance à parler à Mlle de la Fontaine la ...
Page xlii
... passer ; vous en pourriez aisément deviner la cause 2. » Ou bien c'est une plaisanterie , qui accuse encore plus sa légèreté , sur la jolie fille de l'hôte de la petite ville de Bellac3 . Voilà une franchise naïve . Mais des naïvetés de ...
... passer ; vous en pourriez aisément deviner la cause 2. » Ou bien c'est une plaisanterie , qui accuse encore plus sa légèreté , sur la jolie fille de l'hôte de la petite ville de Bellac3 . Voilà une franchise naïve . Mais des naïvetés de ...
Page lxii
... passer , avant tous autres , les amants des Muses . Tout en plaisantant , il sait , avec une juste fierté , réclamer ce qui est dû au talent , se mettre , comme il convient , au - dessus de la clientèle vulgaire , et presque traiter de ...
... passer , avant tous autres , les amants des Muses . Tout en plaisantant , il sait , avec une juste fierté , réclamer ce qui est dû au talent , se mettre , comme il convient , au - dessus de la clientèle vulgaire , et presque traiter de ...
Page lxvi
... passer au rang de son épouse , la belle Claudine avait séduit la Fontaine par ses jolis vers , plus encore par sa Jolie figure . Nous avons de lui un sonnet et un madrigal fort galants sur le portrait de Mlle Colletet , peint par Sève ...
... passer au rang de son épouse , la belle Claudine avait séduit la Fontaine par ses jolis vers , plus encore par sa Jolie figure . Nous avons de lui un sonnet et un madrigal fort galants sur le portrait de Mlle Colletet , peint par Sève ...
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Common terms and phrases
apologue assez Avianus avoit Babrius Benserade Boileau C'étoit Chamfort Champmeslé chapitre Château-Thierry chose cite Conrart conte Coray Corrozet d'Hervart d'Olivet Dictionnaire dire dit-il donne duchesse de Bouillon écrit épître Ésope étoit eût fable fable ésopique fable grecque FABLE VII fable xv Fables d'Ésope fabuliste Faërne femme Ferté-Milon Fontaine Foucquet Fourmi François François de Maucroix Furetière goût grec Grenouille Haudent Héricart Héricart de Thury Histoire de l'Académie homme Jannart Jupiter l'abbé l'Aigle l'Ane l'apologue l'édition de 1678 latin leçon lettre Lion livre Louis Louis Racine Loup maître Malherbe Manuscrit de Sainte-Geneviève Marie Maucroix Mme de Sévigné Molière morale Mythologia sopica Neveleti Noble note notice OEuvres parle Phèdre plaisir Planude poëme poésie poëte poétique première quatrain Rabelais Racine raison récit recueil Renard Richelet rien Romulus Sablière Saint-Évremond Saint-Marc Girardin satire seulement sujet taine trouve Voyez ci-dessus Voyez le Lexique Walckenaer Xantus Ysopet καὶ
Popular passages
Page xxxvii - Qu'une femme étudie et sache tant de choses. Former aux bonnes mœurs l'esprit de ses enfants, Faire aller son ménage, avoir l'œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie, Doit être son étude et sa philosophie.
Page 171 - Un Lièvre en son gîte songeait (Car que faire en un gîte, à moins que l'on ne songe ?) ; Dans un profond ennui ce Lièvre se plongeait : Cet animal est triste, et la crainte le ronge.
Page cxiii - Sous ce tombeau gisent Plaute et Térence, Et cependant le seul Molière y gît. Leurs trois talents ne formaient qu'un esprit Dont le bel art réjouissait la France. Ils sont partis, et j'ai peu d'espérance De les revoir. Malgré tous nos efforts, Pour un long temps, selon toute apparence, Térence, et Plaute, et Molière sont morts.
Page xci - Académie si leur nombre eût été plus grand, et qu'ils eussent autant regardé les Muses que le plaisir. La première chose qu'ils firent, ce fut de bannir d'entre eux les conversations réglées, et tout ce qui sent sa conférence académique.
Page cxlvii - Que les vers ne soient pas votre éternel emploi. Cultivez vos amis, soyez homme de foi : C'est peu d'être agréable et charmant dans un livre, II faut savoir encore et converser et vivre.
Page lvi - Je n'ai jamais chanté que l'ombrage des bois, Flore, Echo, les Zéphyrs, et leurs molles haleines, Le vert tapis des prés et l'argent des fontaines.
Page 102 - Je sais qu'un noble esprit peut, sans honte et sans crime, Tirer de son travail un tribut...
Page 247 - JE ne suis pas de ceux qui disent : « Ce n'est rien : C'eSt une femme qui se noie. » Je dis que c'est beaucoup; et ce sexe vaut bien Que nous le regrettions, puisqu'il fait notre joie.
Page 108 - II met bas son fagot, il songe à son malheur. Quel plaisir at-il eu depuis qu'il est au monde ? En est-il un plus pauvre en la machine ronde ? Point de pain quelquefois, et jamais de repos.
Page 204 - Beau trio de baudets ! Le meunier repartit : Je suis âne , il est vrai , j'en conviens , je l'avoue ; Mais que dorénavant on me blâme , on me loue, Qu'on dise quelque chose ou qu'on ne dise rien , J'en veux faire à ma tête.