Œuvres de J. de La Fontaine: FablesHachette, 1883 |
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Page xxiv
... coup « < il se réveilla comme d'un profond som- meil , et demanda d'un grand sérieux au docteur s'il croyoit que saint Augustin eût eu plus d'esprit que Rabelais . Le doc- teur l'ayant regardé depuis la tête jusqu'aux pieds , lui dit ...
... coup « < il se réveilla comme d'un profond som- meil , et demanda d'un grand sérieux au docteur s'il croyoit que saint Augustin eût eu plus d'esprit que Rabelais . Le doc- teur l'ayant regardé depuis la tête jusqu'aux pieds , lui dit ...
Page li
... coup à se raviser , à refaire ses calculs . Le contrat de mariage de son frère , qu'il devait cependant avoir lu avant sa dona- tion de 1649 , lui sembla décidément avoir fait de trop grands avantages à celui - ci . Dès 1652 , il fallut ...
... coup à se raviser , à refaire ses calculs . Le contrat de mariage de son frère , qu'il devait cependant avoir lu avant sa dona- tion de 1649 , lui sembla décidément avoir fait de trop grands avantages à celui - ci . Dès 1652 , il fallut ...
Page lxv
... coup d'au- torité qui l'arracha aux loisirs faits à sa muse , en frappant son protecteur : « Il fut bon pour la Fontaine , a dit Sainte - Beuve1 , que la faveur de Foucquet l'initiât à la vie du monde .... Il lui fut bon aussi que ce ...
... coup d'au- torité qui l'arracha aux loisirs faits à sa muse , en frappant son protecteur : « Il fut bon pour la Fontaine , a dit Sainte - Beuve1 , que la faveur de Foucquet l'initiât à la vie du monde .... Il lui fut bon aussi que ce ...
Page lxxvii
... coups d'œil favorables , dans les années de sa renom- mée poétique à la cour de Vaux . A quelque moment qu'il ait été admis près de la spirituelle duchesse , il la trouva bientôt très - gracieuse pour lui . Il ne manqua pas de lui ...
... coups d'œil favorables , dans les années de sa renom- mée poétique à la cour de Vaux . A quelque moment qu'il ait été admis près de la spirituelle duchesse , il la trouva bientôt très - gracieuse pour lui . Il ne manqua pas de lui ...
Page lxxxvi
... coup à l'illusion de la Fontaine . Il tenait fort à ses Contes et n'ignorait pas leur mérite , comme œuvre littéraire . Nous sa- vons , par un intéressant passage d'une lettre de Maucroix1 , quelle opinion il en avait : « Je puis ...
... coup à l'illusion de la Fontaine . Il tenait fort à ses Contes et n'ignorait pas leur mérite , comme œuvre littéraire . Nous sa- vons , par un intéressant passage d'une lettre de Maucroix1 , quelle opinion il en avait : « Je puis ...
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Common terms and phrases
apologue assez Avianus avoit Babrius Benserade Boileau C'étoit Chamfort Champmeslé chapitre Château-Thierry chose cite Conrart conte Coray Corrozet d'Hervart d'Olivet Dictionnaire dire dit-il donne duchesse de Bouillon écrit épître Ésope étoit eût fable fable ésopique fable grecque FABLE VII fable xv Fables d'Ésope fabuliste Faërne femme Ferté-Milon Fontaine Foucquet Fourmi François François de Maucroix Furetière goût grec Grenouille Haudent Héricart Héricart de Thury Histoire de l'Académie homme Jannart Jupiter l'abbé l'Aigle l'Ane l'apologue l'édition de 1678 latin leçon lettre Lion livre Louis Louis Racine Loup maître Malherbe Manuscrit de Sainte-Geneviève Marie Maucroix Mme de Sévigné Molière morale Mythologia sopica Neveleti Noble note notice OEuvres parle Phèdre plaisir Planude poëme poésie poëte poétique première quatrain Rabelais Racine raison récit recueil Renard Richelet rien Romulus Sablière Saint-Évremond Saint-Marc Girardin satire seulement sujet taine trouve Voyez ci-dessus Voyez le Lexique Walckenaer Xantus Ysopet καὶ
Popular passages
Page xxxvii - Qu'une femme étudie et sache tant de choses. Former aux bonnes mœurs l'esprit de ses enfants, Faire aller son ménage, avoir l'œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie, Doit être son étude et sa philosophie.
Page 171 - Un Lièvre en son gîte songeait (Car que faire en un gîte, à moins que l'on ne songe ?) ; Dans un profond ennui ce Lièvre se plongeait : Cet animal est triste, et la crainte le ronge.
Page cxiii - Sous ce tombeau gisent Plaute et Térence, Et cependant le seul Molière y gît. Leurs trois talents ne formaient qu'un esprit Dont le bel art réjouissait la France. Ils sont partis, et j'ai peu d'espérance De les revoir. Malgré tous nos efforts, Pour un long temps, selon toute apparence, Térence, et Plaute, et Molière sont morts.
Page xci - Académie si leur nombre eût été plus grand, et qu'ils eussent autant regardé les Muses que le plaisir. La première chose qu'ils firent, ce fut de bannir d'entre eux les conversations réglées, et tout ce qui sent sa conférence académique.
Page cxlvii - Que les vers ne soient pas votre éternel emploi. Cultivez vos amis, soyez homme de foi : C'est peu d'être agréable et charmant dans un livre, II faut savoir encore et converser et vivre.
Page lvi - Je n'ai jamais chanté que l'ombrage des bois, Flore, Echo, les Zéphyrs, et leurs molles haleines, Le vert tapis des prés et l'argent des fontaines.
Page 102 - Je sais qu'un noble esprit peut, sans honte et sans crime, Tirer de son travail un tribut...
Page 247 - JE ne suis pas de ceux qui disent : « Ce n'est rien : C'eSt une femme qui se noie. » Je dis que c'est beaucoup; et ce sexe vaut bien Que nous le regrettions, puisqu'il fait notre joie.
Page 108 - II met bas son fagot, il songe à son malheur. Quel plaisir at-il eu depuis qu'il est au monde ? En est-il un plus pauvre en la machine ronde ? Point de pain quelquefois, et jamais de repos.
Page 204 - Beau trio de baudets ! Le meunier repartit : Je suis âne , il est vrai , j'en conviens , je l'avoue ; Mais que dorénavant on me blâme , on me loue, Qu'on dise quelque chose ou qu'on ne dise rien , J'en veux faire à ma tête.