Leçons sur la physiologie générale et comparée du système nerveux: faits au Muséum d'histoire naturelle |
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Common terms and phrases
actions réflexes animaux assez atrophie avons axile Batraciens bout central bout périphérique Brown-Séquard bulbe rachidien cellules nerveuses centres nerveux cerveau proprement cervelet Chien commissure complétement considérable constaté contractions cordons corps striés côté opposé couches optiques curare d'autres déterminer effet éléments anatomiques encéphaliques excitations expériences expérimentaux façon faisceaux postérieurs fibres motrices fibres musculaires fibres nerveuses fibres nerveuses motrices fibres sensitives filament axile Flourens fonctions gaîne ganglion ganglionnaire Grenouille hémisphères cérébraux j'ai l'animal l'encéphale l'excitation l'Homme l'influence latéraux lésions ligne médiane lobes cérébraux Longet lorsqu'on Magendie Mammifères membres postérieurs ment moelle épinière motricité mouvements muscles nerf facial nerf hypoglosse nerf trijumeau nerfs moteurs nerfs optiques nerfs pneumogastriques neurilité normal noyaux nutrition observe Oiseaux organes paralysie phénomènes PHYS physiologie pince Poissons produit propriété physiologique protubérance annulaire racines antérieures racines postérieures région relativement renflements résultats rieurs Schiff section sensibilité seul siologie spinaux substance grise système nerveux tion transversales tubercules tubes nerveux Vertébrés VULPIAN
Popular passages
Page 110 - A l'égard des animaux qui ont une moelle épinière, il part de toutes les parties de leur corps des filets nerveux d'une extrême finesse qui, sans se diviser ni s'anastomoser, vont se rendre au foyer des sensations.... Quant aux nerfs qui sont destinés au mouvement musculaire, ils...
Page 287 - ... contractions musculaires. Les faibles persistent jusqu'à quatre mois et demi, contrairement à l'opinion reçue (1). Nous concluons donc : 1" Que les fibres sensibles ne peuvent être transformées en fibres motrices ; 2» Que le mouvement organique dans les fibres nerveuses, qui détermine la sensation, doit être différent de celui qui produit la contraction musculaire (-2). (1) C'est ainsi que nous lisons dans l'excellent Traité de physiologie de Ludwig (2e édit., 1858, p.