Dictionnaire de littérature, dans lequel on traite de tout ce qui a rapport à l'éloquence, à la poësie & aux belles-lettres, & dans lequel on enseigne la marche & les régles qu'on doit observer dans tous les ouvrages d'esprit, Volume 2Chez Vincent, 1770 - French literature |
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... premier nom , au moins dans le fpectacle mêlé de chants . On y appella toujours Epifodes les récits , à caufe de leur origine ; & le chant des hym- nes retint le nom de chœurs ; c'eft ce qui nous fait trouver de la confufion & de l'em ...
... premier nom , au moins dans le fpectacle mêlé de chants . On y appella toujours Epifodes les récits , à caufe de leur origine ; & le chant des hym- nes retint le nom de chœurs ; c'eft ce qui nous fait trouver de la confufion & de l'em ...
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... premier , chez les Grecs , qui ait fait de l'Epithalame un poëme : il fut depuis imité par Stéfichore , & par Sapho . L'Epithalame latin eut la même origine que l'Epithalame grec ; avec cette différence que l'acclamation des Latins ...
... premier , chez les Grecs , qui ait fait de l'Epithalame un poëme : il fut depuis imité par Stéfichore , & par Sapho . L'Epithalame latin eut la même origine que l'Epithalame grec ; avec cette différence que l'acclamation des Latins ...
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... premier qui réduifit l'Epithalame en poëme : il per- fectionna les vers Fefcenniens ; mais , s'il les rendit plus chaftes par l'expreffion , ils ne furent peut - être que plus obfcènes par le fens . Stace a fait des Epithalames ; mais ...
... premier qui réduifit l'Epithalame en poëme : il per- fectionna les vers Fefcenniens ; mais , s'il les rendit plus chaftes par l'expreffion , ils ne furent peut - être que plus obfcènes par le fens . Stace a fait des Epithalames ; mais ...
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... premier exige tout l'art du Poëte ; car il en faut infiniment pour donner des louan- ges qui foient tout enfemble ingénieuses naturelles & convenables ; & voilà , fans doute , pourquoi l'on dit fi fouvent que l'Epithalame eft l'écueil ...
... premier exige tout l'art du Poëte ; car il en faut infiniment pour donner des louan- ges qui foient tout enfemble ingénieuses naturelles & convenables ; & voilà , fans doute , pourquoi l'on dit fi fouvent que l'Epithalame eft l'écueil ...
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... premier ; Il faut que le monde l'avoue ; Car des rois que ce monde loue , L'un fut prudent , l'autre guerrier ; Celui - ci gai , doux & paifible , Joignit le myrte à l'olivier Fut indolent & familier ; Cet autre ne fut que terrible . J ...
... premier ; Il faut que le monde l'avoue ; Car des rois que ce monde loue , L'un fut prudent , l'autre guerrier ; Celui - ci gai , doux & paifible , Joignit le myrte à l'olivier Fut indolent & familier ; Cet autre ne fut que terrible . J ...
Common terms and phrases
affez aifé ainfi ajoûte auffi Auteurs avoit Boileau c'eft c'eft-à-dire c'eſt caufe chofes choifir Cicéron compofé confifte connoiffance déja dieux difcours différens diftingue dire doit Ecrivains efpece efprit Epit Epîtres eſt étoit expreffions fable fage fans fçait fçavoir fecond felon femble fenfible fens fentimens fentiment feroit fervir feul fiction fiécle fignifie figure fimple fimplicité fineffe fions foient foit font fous fouvent frape ftyle fublime fuivant fujet fur-tout fyllabes génie genre goût grace Grecs héros Homere homme idées intéreffer jufte jufteffe l'ame l'art l'efprit l'Epopée l'expreffion l'Hiftoire l'Ode l'Orateur laiffe langue latin lecteur loix lyrique maniere ment mœurs mufique n'eft n'eſt néceffaire obferver oppofé ouvrages paffe paffions parler paroît particuliere penfées penſée perfonnages perfonne philofophie plaifir ples plufieurs poëfie poëme Poëte poëtique préfente prefque premiere puiffe Quintilien raifon refte rien rimes s'eft ſtyle tems teur théatre tion tragédie ufage Voltaire Voyez
Popular passages
Page 171 - J'en puis jouir demain, et quelques jours encore; Je puis enfin compter l'aurore Plus d'une fois sur vos tombeaux. Le vieillard eut raison : l'un des trois jouvenceaux Se noya dès le port, allant à l'Amérique; L'autre, afin de monter aux grandes dignités, Dans les emplois de Mars servant la république , Par un coup imprévu vit ses jours emportés ; Le troisième tomba d'un arbre Que lui-même il voulut enter ; Et, pleures du vieillard, il grava sur leur marbre Ce que je viens de raconter.
Page 136 - L'expression la suit, ou moins nette, ou plus pure. Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement , Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Page 360 - Que la nature force à se venger eux-mêmes, Et dont les troncs pourris exhalent dans les vents De quoi faire la guerre au reste des vivants, Sont les titres affreux dont le droit de l'épée, Justifiant César, a condamné Pompée.
Page 155 - Tenez, la cour vous donne à chacun une écaille Sans dépens; et qu'en paix chacun chez soi s'en aille. » Mettez ce qu'il en coûte à plaider aujourd'hui ; Comptez ce qu'il en reste à beaucoup de familles : Vous verrez que Perrin tire l'argent à lui, Et ne laisse aux plaideurs que le sac et les quilles. FABLE X. — Le Loup et le Chien maigre. Autrefois carpillon fretin Eut beau prêcher, il eut beau dire. On le mit dans la poêle à frire.
Page 203 - Vénus la beauté. Ce n'est plus la vapeur qui produit le tonnerre, C'est Jupiter armé pour effrayer la terre...
Page 158 - Nous quittons les cités, nous fuyons aux montagnes: Nous laissons nos chères compagnes. Nous ne conversons plus qu'avec des ours affreux, Découragés de mettre au jour des malheureux, Et de peupler pour Rome un pays qu'elle opprime; Quant à nos enfants déjà nés, Nous souhaitons de voir leurs jours bientôt bornés: Vos préteurs au malheur nous...
Page 365 - Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend pas nos rois.
Page 371 - J'aime mieux un ruisseau qui, sur la molle arène, Dans un pré plein de fleurs lentement se promène, Qu'un torrent débordé qui, d'un cours orageux, Roule, plein de gravier, sur un terrain fangeux.
Page 169 - Le vent redouble fes efforts , . . Et fait fi bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel étoit voifine, £c dont les pieds touchoient à l'empire des morts.
Page 223 - Ce fut dans ces vallons où, par mille détours, Inachus prend plaisir à prolonger son. cours; Ce fut sur son charmant rivage, Que sa fille volage Me promit de m'aimer toujours.