Oeuvres complètes de Voltaire: Dictionnaire philosophiqueHachette, 1860 |
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... terre , et que tu es un mauvais écuyer . L'in- térêt de monseigneur n'est pas que je mange du pain sans levain ou levé il est que je procure à ses sujets de quoi manger , et que j'aug- mente ses revenus par mon travail . ` Je suis un ...
... terre , et que tu es un mauvais écuyer . L'in- térêt de monseigneur n'est pas que je mange du pain sans levain ou levé il est que je procure à ses sujets de quoi manger , et que j'aug- mente ses revenus par mon travail . ` Je suis un ...
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... terre . Cependant à la fin la tolérance fut si grande , et les mœurs du gouvernement si douces , que les chrétiens furent admis à tous les honneurs et à toutes les dignités . Ils ne sacrifiaient point aux dieux de CONSTANTIN . 15.
... terre . Cependant à la fin la tolérance fut si grande , et les mœurs du gouvernement si douces , que les chrétiens furent admis à tous les honneurs et à toutes les dignités . Ils ne sacrifiaient point aux dieux de CONSTANTIN . 15.
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... terre et qu'il brise en morceaux : « Je vous cas- serai , dit - il , comme cette montre . » Il y revient quelque temps après , chasse tous les membres l'un après l'autre en les faisant défiler devant lui . Chacun d'eux est obligé , en ...
... terre et qu'il brise en morceaux : « Je vous cas- serai , dit - il , comme cette montre . » Il y revient quelque temps après , chasse tous les membres l'un après l'autre en les faisant défiler devant lui . Chacun d'eux est obligé , en ...
Page 59
... terre produisait . Eh bien ! gros décimateur , allez à Cadès - Barné ; habitez les qua- rante - huit villes qui sont dans ce désert inhabitable ; prenez la dime des cailloux que la terre y produit , et grand bien vous fasse . Mais ...
... terre produisait . Eh bien ! gros décimateur , allez à Cadès - Barné ; habitez les qua- rante - huit villes qui sont dans ce désert inhabitable ; prenez la dime des cailloux que la terre y produit , et grand bien vous fasse . Mais ...
Page 67
... terre et soldat et poltron ; Puis m'enrôlai sous saint François d'Assise , Afin qu'un jour le bout de son cordon Me donnât place en la céleste Église ; Et j'y serais sans ce pape félon , Qui m'ordonna de servir sa feintise , Et me ...
... terre et soldat et poltron ; Puis m'enrôlai sous saint François d'Assise , Afin qu'un jour le bout de son cordon Me donnât place en la céleste Église ; Et j'y serais sans ce pape félon , Qui m'ordonna de servir sa feintise , Et me ...
Common terms and phrases
âme anciens animaux assez aurait avaient barbare c'était cent César chap chose chrétiens Cicéron ciel citoyens condamné corps crime croire d'autres décrétales Dieu dieux Dioclétien dire dispute divin doit donner écrit empereurs enfants Epictète ère vulgaire esprit esséniens évêque fable fanatisme femme fille François Ier gens goût gouvernement Grecs guerre hémistiche Hésiode Homère homme humain idées images j'ai jamais jésuite Jésus-Christ jours juge Juifs Jupiter Kehl l'Arioste l'article l'auteur l'Eglise l'empire l'esprit l'Esprit des Lois l'histoire l'homme langue latin livres lois Louis XIV Mahomet maître manger ment mille monde mort n'avait n'en n'était nation nature Ovide pape parler passer pays pensée père personne peuple philosophes poëme poëte premier presque prêtre prince qu'un quelquefois raison religion ridicule rien rois Romains Rome royaume s'il saint saint Augustin savants Section Seigneur sentiment serait seul siècle signifie souverain style tantôt terre Tertullien trouve vérité Voilà VOLTAIRE
Popular passages
Page 575 - Le premier qui ayant enclos un terrain s'avisa de dire Ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile. Que de crimes, de guerres, de meurtres, que de misères et d'horreurs n'eût point épargnés au genre humain celui qui, arrachant les pieux ou. comblant le fossé, eût crié à ses semblables : « Gardez-vous d'écouter cet imposteur ; vous êtes perdus si vous oubliez que les fruits sont à tous, et que la terre n'est à personne...
Page 536 - Véritablement hommes, Et meurent comme nous. Ont-ils rendu l'esprit, ce n'est plus que poussière Que cette majesté si pompeuse et si fière, Dont l'éclat orgueilleux étonnait l'univers; Et, dans ces grands tombeaux où leurs âmes hautaines Font encore les vaines, Ils sont mangés des vers.
Page 548 - En lui était la vie, et la vie était la lumière des hommes ; et la lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l'ont pas comprise.
Page 510 - Et je te donnerai les clefs du royaume des cieux ; et tout ce que tu auras lié sur la terre sera lié dans les cieux ; et tout ce que tu auras délié sur la terre sera délié dans les cieux.
Page 502 - ... est inconnu aux familles bourgeoises. où l'on est continuellement occupé du soin de sa fortune, des détails domestiques, et d'une grossière oisiveté, amusée par une partie de jeu. Toutes les places qui tiennent à la judicature, à la finance, au commerce, ferment la porte aux beaux-arts.
Page 48 - Un excellent critique serait un artiste qui aurait beaucoup de science et de goût, sans préjugés et sans envie. Cela est difficile à trouver'.
Page 326 - Aujourd'hui même encor, mon âme irrésolue Me pressant de quitter ma puissance absolue, De Maxime et de toi j'ai pris les seuls avis, Et ce sont, malgré lui, les tiens que j'ai suivis. Bien plus, ce même jour je te donne Emilie, Le digne objet des vœux de toute l'Italie, Et qu'ont mise si haut mon amour et mes soins, Qu'en te couronnant roi je t'aurais donné moins.
Page 531 - ... il y en a trois ou quatre, tout au plus, composées par un Gaulois nommé Massillon, qu'un honnête homme peut lire sans dégoût; mais dans tous ces discours, à peine en trouverez-vous deux où l'orateur ose dire quelques mots contre ce fléau et ce crime de la guerre, qui contient tous les fléaux et tous les crimes.
Page 114 - Dans le doute où nous sommes tous deux, je ne vous dis pas avec Pascal : Prenez le plus sûr. Il n'ya rien de sûr dans l'incertitude. Il ne s'agit pas ici de parier, mais d'examiner: il faut juger et notre volonté ne détermine pas notre jugement.
Page 218 - Vous le connaissez tous, le trait de ce matelot qui fit, en 1740, résoudre la guerre de l'Angleterre contre l'Espagne. Quand les Espagnols, m'ayant mutilé, me présentèrent la mort, je recommandai mon âme à Dieu et ma vengeance à ma patrie.