Oeuvres complètes de Voltaire: Dictionnaire philosophiqueHachette, 1860 |
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Voltaire. DICTIONNAIRE PHILOSOPHIQUE . CONFESSION . - Le repentir de ses fautes peut seul tenir lieu d'in- nocence . Pour paraître s'en repentir , il faut commencer par les avouer . La confession est donc presque aussi ancienne que la ...
Voltaire. DICTIONNAIRE PHILOSOPHIQUE . CONFESSION . - Le repentir de ses fautes peut seul tenir lieu d'in- nocence . Pour paraître s'en repentir , il faut commencer par les avouer . La confession est donc presque aussi ancienne que la ...
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... seul antidote dans ces maladies épidémiques . - CONFISCATION . On a très - bien remarqué dans le Dictionnaire encyclopédique , à l'article Confiscation , que le fisc , soit public , soit royal , soit seigneurial , soit impérial , soit ...
... seul antidote dans ces maladies épidémiques . - CONFISCATION . On a très - bien remarqué dans le Dictionnaire encyclopédique , à l'article Confiscation , que le fisc , soit public , soit royal , soit seigneurial , soit impérial , soit ...
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... seul homme . Confisquer le corps n'est pas mettre le corps d'un homme dans le panier de son seigneur suzerain ; c'est , dans le langage barbare du barreau , se rendre maître du corps d'un citoyen , soit pour lui ôter la vie , soit pour ...
... seul homme . Confisquer le corps n'est pas mettre le corps d'un homme dans le panier de son seigneur suzerain ; c'est , dans le langage barbare du barreau , se rendre maître du corps d'un citoyen , soit pour lui ôter la vie , soit pour ...
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... seul Dieu , et les Indiens dont la religion est plus ancienne que la juive , et les lettrés chinois , qui , depuis quatre mille ans , servent un Dieu unique sans superstition et sans fanatisme ? Voilà donc ce que tu ferais si tu étais ...
... seul Dieu , et les Indiens dont la religion est plus ancienne que la juive , et les lettrés chinois , qui , depuis quatre mille ans , servent un Dieu unique sans superstition et sans fanatisme ? Voilà donc ce que tu ferais si tu étais ...
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... seul , et compatissant pour les autres . Ce ne fut plus , depuis la mort de cet empereur vrai- ment philosophe , que tyrannie et confusion . Les soldats disposaient souvent de l'empire . Le sénat tomba dans un tel mépris , que du temps ...
... seul , et compatissant pour les autres . Ce ne fut plus , depuis la mort de cet empereur vrai- ment philosophe , que tyrannie et confusion . Les soldats disposaient souvent de l'empire . Le sénat tomba dans un tel mépris , que du temps ...
Common terms and phrases
âme anciens animaux assez aurait avaient barbare c'était cent César chap chose chrétiens Cicéron ciel citoyens condamné corps crime croire d'autres décrétales Dieu dieux Dioclétien dire dispute divin doit donner écrit empereurs enfants Epictète ère vulgaire esprit esséniens évêque fable fanatisme femme fille François Ier gens goût gouvernement Grecs guerre hémistiche Hésiode Homère homme humain idées images j'ai jamais jésuite Jésus-Christ jours juge Juifs Jupiter Kehl l'Arioste l'article l'auteur l'Eglise l'empire l'esprit l'Esprit des Lois l'histoire l'homme langue latin livres lois Louis XIV Mahomet maître manger ment mille monde mort n'avait n'en n'était nation nature Ovide pape parler passer pays pensée père personne peuple philosophes poëme poëte premier presque prêtre prince qu'un quelquefois raison religion ridicule rien rois Romains Rome royaume s'il saint saint Augustin savants Section Seigneur sentiment serait seul siècle signifie souverain style tantôt terre Tertullien trouve vérité Voilà VOLTAIRE
Popular passages
Page 575 - Le premier qui ayant enclos un terrain s'avisa de dire Ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile. Que de crimes, de guerres, de meurtres, que de misères et d'horreurs n'eût point épargnés au genre humain celui qui, arrachant les pieux ou. comblant le fossé, eût crié à ses semblables : « Gardez-vous d'écouter cet imposteur ; vous êtes perdus si vous oubliez que les fruits sont à tous, et que la terre n'est à personne...
Page 536 - Véritablement hommes, Et meurent comme nous. Ont-ils rendu l'esprit, ce n'est plus que poussière Que cette majesté si pompeuse et si fière, Dont l'éclat orgueilleux étonnait l'univers; Et, dans ces grands tombeaux où leurs âmes hautaines Font encore les vaines, Ils sont mangés des vers.
Page 548 - En lui était la vie, et la vie était la lumière des hommes ; et la lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l'ont pas comprise.
Page 510 - Et je te donnerai les clefs du royaume des cieux ; et tout ce que tu auras lié sur la terre sera lié dans les cieux ; et tout ce que tu auras délié sur la terre sera délié dans les cieux.
Page 502 - ... est inconnu aux familles bourgeoises. où l'on est continuellement occupé du soin de sa fortune, des détails domestiques, et d'une grossière oisiveté, amusée par une partie de jeu. Toutes les places qui tiennent à la judicature, à la finance, au commerce, ferment la porte aux beaux-arts.
Page 48 - Un excellent critique serait un artiste qui aurait beaucoup de science et de goût, sans préjugés et sans envie. Cela est difficile à trouver'.
Page 326 - Aujourd'hui même encor, mon âme irrésolue Me pressant de quitter ma puissance absolue, De Maxime et de toi j'ai pris les seuls avis, Et ce sont, malgré lui, les tiens que j'ai suivis. Bien plus, ce même jour je te donne Emilie, Le digne objet des vœux de toute l'Italie, Et qu'ont mise si haut mon amour et mes soins, Qu'en te couronnant roi je t'aurais donné moins.
Page 531 - ... il y en a trois ou quatre, tout au plus, composées par un Gaulois nommé Massillon, qu'un honnête homme peut lire sans dégoût; mais dans tous ces discours, à peine en trouverez-vous deux où l'orateur ose dire quelques mots contre ce fléau et ce crime de la guerre, qui contient tous les fléaux et tous les crimes.
Page 114 - Dans le doute où nous sommes tous deux, je ne vous dis pas avec Pascal : Prenez le plus sûr. Il n'ya rien de sûr dans l'incertitude. Il ne s'agit pas ici de parier, mais d'examiner: il faut juger et notre volonté ne détermine pas notre jugement.
Page 218 - Vous le connaissez tous, le trait de ce matelot qui fit, en 1740, résoudre la guerre de l'Angleterre contre l'Espagne. Quand les Espagnols, m'ayant mutilé, me présentèrent la mort, je recommandai mon âme à Dieu et ma vengeance à ma patrie.