Œuvres complètes, Volume 15Pourrat frères, 1836 |
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... soleil dans la mer . Cependant Eurynome , un flambeau à la main , pré- cédant les pas d'Ulysse et de Pénélope , les conduit à la chambre nuptiale . Les deux époux , après s'être livrés aux premiers trans- ports de leur tendresse , s ...
... soleil dans la mer . Cependant Eurynome , un flambeau à la main , pré- cédant les pas d'Ulysse et de Pénélope , les conduit à la chambre nuptiale . Les deux époux , après s'être livrés aux premiers trans- ports de leur tendresse , s ...
Page 14
... hommes . · Cependant le soleil étoit tombé au - dessous des Açores ; soit que ce premier orbe du ciel , dans son incroyable vitesse , eût roulé vers ces rivages , soit que la terre , moins rapide , se retirant dans 14 GÉNIE.
... hommes . · Cependant le soleil étoit tombé au - dessous des Açores ; soit que ce premier orbe du ciel , dans son incroyable vitesse , eût roulé vers ces rivages , soit que la terre , moins rapide , se retirant dans 14 GÉNIE.
Page 44
... soleil égaler la durée . Mais d'où vient que mon cœur frémit d'un saint effroi ? Est - ce l'esprit divin qui s'empare de moi ? C'est lui - même : il m'échauffe ; il parle ; mes yeux s'ouvrent , Et les siècles obscurs devant moi se ...
... soleil égaler la durée . Mais d'où vient que mon cœur frémit d'un saint effroi ? Est - ce l'esprit divin qui s'empare de moi ? C'est lui - même : il m'échauffe ; il parle ; mes yeux s'ouvrent , Et les siècles obscurs devant moi se ...
Page 57
... soleil vient de se lever : les armées sont en présence ; les bannières se déroulent aux vents ; les plumes flottent sur les casques ; les habits , les franges , les harnois , les armes , les couleurs , l'or et le fer étincellent aux ...
... soleil vient de se lever : les armées sont en présence ; les bannières se déroulent aux vents ; les plumes flottent sur les casques ; les habits , les franges , les harnois , les armes , les couleurs , l'or et le fer étincellent aux ...
Page 66
... soleil prêt à s'étein- dre ! Didon vole , cherche , appelle Énée : Dissimulare etiam sperasti ? etc. ' : Perfide ! espérois - tu me cacher tes desseins et t'échap- per clandestinement de cette terre ? Ni notre amour , ni cette main que ...
... soleil prêt à s'étein- dre ! Didon vole , cherche , appelle Énée : Dissimulare etiam sperasti ? etc. ' : Perfide ! espérois - tu me cacher tes desseins et t'échap- per clandestinement de cette terre ? Ni notre amour , ni cette main que ...
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Common terms and phrases
Agamemnon aime âme amour AMOUR CHAMPÊTRE anges antique avoient avoit beau idéal beauté Bible Bossuet c'étoit caractère chant CHAP CHAPITRE charmes chose christianisme ciel cœur connoissance d'Homère Démosthènes désert Didon Dieu dieux divin douleur éloquence Énée éternelle étoient étoit Eutrope Fénelon fin du volume foible forêts GÉNIE DU CHRIST GÉNIE DU CHRISTIANISME géométrie goût Grecs Hector héros Homère hommes humain Iliad Jésus-Christ Joseph jour l'âme l'amour l'antiquité l'Église l'enfer l'esprit l'histoire l'homme larmes Louis XIV malheureux Massillon ment mère merveilleux Milton modernes mœurs monde morale mort mythologie nature parle paroît paroles Pascal passions peinture Pénélope pensée père peuple philosophie Platon pleurs poëte poétique POLYEUCTE polythéisme premier prêtre Priam Racine religieux religion chrétienne reste rien rois Satan sciences sent seroit seul siècle de Louis simplicité solitude style sublime sujet tableau temple terre Tertullien tion Tite-Live tombeau Ulysse vérité vertu Virgile voilà voix Voltaire Voyez la note yeux Zaïre
Popular passages
Page 42 - De son amour pour toi ton Dieu s'est dépouillé; Ton encens à ses yeux est un encens souillé. Où menez-vous ces enfants et ces femmes * ? Le Seigneur a détruit la reine des cités, Ses prêtres sont captifs, ses rois sont rejetés ; Dieu ne veut plus qu'on vienne à ses solennités : Temple, renverse-toi ; cèdres, jetez des flammes. Jérusalem, objet de ma douleur, Quelle main en un jour t'a ravi tous tes charmes ? Qui changera mes yeux en deux sources de larmes, Pour pleurer ton malheur...
Page 334 - Il ira, cet ignorant dans l'art de bien dire, avec cette locution rude, avec cette phrase qui sent l'étranger, il ira en cette Grèce polie, la mère des philosophes et des orateurs ; et , malgré la résistance du monde, il y établira plus d'églises que Platon n'ya gagné de disciples par cette éloquence qu'on a crue divine...
Page 42 - Comment en un plomb vil l'or pur s'est-il changé? Quel est dans le lieu saint ce pontife égorgé? Pleure, Jérusalem, pleure, cité perfide, Des prophètes divins malheureuse homicide. De son amour pour toi ton Dieu s'est dépouillé. Ton encens à ses yeux est un encens souillé. Où menez- vous ces enfants et ces femmes?
Page 264 - Ce chien est à moi , disaient ces pauvres enfants; c'est ma place au soleil : voilà le commencement et l'image de l'usurpation de toute la terre.
Page 226 - Les forêts ont été les premiers temples de la Divinité et les hommes ont pris dans les forêts la première idée de l'architecture. Cet art a donc dû varier selon les climats. Les Grecs ont tourné l'élégante colonne corinthienne avec son chapiteau de feuilles sur le modèle du palmier.
Page 268 - Les sciences ont deux extrémités qui se touchent: la première est la pure ignorance naturelle, où se trouvent tous les hommes en naissant. L'autre extrémité est celle où arrivent les grandes âmes, qui, ayant parcouru tout ce que les hommes peuvent savoir, trouvent qu'ils ne savent rien, et se rencontrent en cette même ignorance d'où ils étaient partis; mais c'est une ignorance savante qui se connaît.
Page 42 - En tes serments jurés au plus saint de leurs rois, En ce temple où tu fais ta demeure sacrée, Et qui doit du soleil égaler la durée. Mais d'où vient que mon cœur frémit d'un saint effroi ? Est-ce l'esprit divin qui s'empare de moi ? C'est lui-même ; il m'échauffe ; il parle ; mes yeux s'ouvrent, Et les siècles obscurs devant moi se découvrent.
Page 68 - Et des crimes peut-être inconnus aux enfers! Que diras-tu, mon père, à ce spectacle horrible? Je crois voir de ta main tomber l'urne terrible ; Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même de ton sang devenir le bourreau. Pardonne. Un dieu cruel a perdu ta famille: Reconnois sa vengeance aux fureurs de ta fille. Hélas! du crime affreux dont la honte me suit Jamais mon triste cœur n'a recueilli le fruit: Jusqu'au dernier soupir de malheurs poursuivie.
Page 153 - Per me si va nella città dolente; per me si va nell' eterno dolore; per me si va tra la perduta gente.
Page 68 - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je? mon père y tient l'urne fatale. Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains. Minos juge aux enfers tous les pâles humains.