Histoire parlementaire de la révolution française: ou, Journal des assemblées nationales, depuis 1789 jusqu'en 1815 ...Paulin, 1835 - France |
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Page xiii
... qu'à la personne de celui qui commandait . Il y avait donc alors deux espèces d'hommes libres : les habitans des cités , qui devaient seulement le cens , et n'avaient pas le droit de serment ( 1 ) , et les habitans des camps et bourgs ...
... qu'à la personne de celui qui commandait . Il y avait donc alors deux espèces d'hommes libres : les habitans des cités , qui devaient seulement le cens , et n'avaient pas le droit de serment ( 1 ) , et les habitans des camps et bourgs ...
Page xiv
... qu'à cette époque ces gardes étaient divisées en deux catégories , les Tyrones et les Milites ou Caballeri , c'est - à - dire en français moderne les écuyers et les chevaliers . Probablement il en avait été de même dans tous les temps ...
... qu'à cette époque ces gardes étaient divisées en deux catégories , les Tyrones et les Milites ou Caballeri , c'est - à - dire en français moderne les écuyers et les chevaliers . Probablement il en avait été de même dans tous les temps ...
Page 40
... qu'à l'inflexibilité républicaine . Voyez si l'unique ob- jet de leur confédération n'est pas d'effacer insensiblement les principes de la raison et de la justice , en calomniant ceux qui les préfèrent à toutes les combinaisons des ...
... qu'à l'inflexibilité républicaine . Voyez si l'unique ob- jet de leur confédération n'est pas d'effacer insensiblement les principes de la raison et de la justice , en calomniant ceux qui les préfèrent à toutes les combinaisons des ...
Page 59
... qu'à la vérité il avait commis une erreur , mais que son intention n'avait jamais été de nuire à la chose publique . › Le sieur Dossonville s'attendait si peu au jugement rendu en sa faveur , il croyait sa mort tellement inévitable , qu ...
... qu'à la vérité il avait commis une erreur , mais que son intention n'avait jamais été de nuire à la chose publique . › Le sieur Dossonville s'attendait si peu au jugement rendu en sa faveur , il croyait sa mort tellement inévitable , qu ...
Page 76
... qu'à la défense de la révolution . Une publica- tion , qui fut répétée par tous les journaux , leur apprit qu'il s'agissait aussi de conserver l'intégrité du territoire national . Nous citons cette pièce d'après le Moniteur du 18 ...
... qu'à la défense de la révolution . Une publica- tion , qui fut répétée par tous les journaux , leur apprit qu'il s'agissait aussi de conserver l'intégrité du territoire national . Nous citons cette pièce d'après le Moniteur du 18 ...
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Common terms and phrases
10 août accusé applaudissemens applaudit armées assemblée avaient avez barre Barrère Bazire Bourbons Brissot Buzot Camille Desmoulins Chabot ci-devant citoyens comité de surveillance commissaires commission des Douze commission des Vingt-Un conseil conseil-général conspiration Constitution constitutionnel Convention nationale crimes déclare décret défenseurs délibération demande la parole dénonce départemens députés despotisme dire discussion Dossonville Dumourier ennemis exécutif faction Fayette Fermont garde général Guadet hommes j'ai Jacobins jugement justice Kersaint l'accusé l'ajournement l'assemblée nationale l'ordre du jour Legendre législative lettre liberté liste civile Louis Capet Louis XVI Louvet maire majesté mande Marat membres Merlin ministre Mirabeau motion murmures n'était nation parle patriotes Pétion Philippe Égalité pièces présenter président principes procès procès-verbal projet prononcer proposition publique Qu'avez-vous à répondre question rappeler rapport République révolution Robespierre Roland royauté s'il Sainte-Foi séance sections Septeuil sera seul sort souveraineté Suisses sûreté Tallien Thuriot tion tribunal tribune trouve tyran Valazé vention Viard voix voulait
Popular passages
Page 323 - Citoyen président , j'ignore si la Convention donnera à Louis XVI un conseil pour le défendre , et si elle lui en laissera le choix. Dans ce cas-là je déiire que Louis XVI sache que s'il me choisit pour cette fonction je suis prêt à m'y dévouer. Je ne vous demande pas de faire part à la Convention de mon offre ; car je suis bien éloigné de me croire un...
Page 52 - Louis était monté sur le trône à vingt ans; et à vingt ans, il donna sur le trône l'exemple des mœurs; il n'y porta aucune faiblesse coupable, ni aucune passion corruptrice; il y fut économe, juste, sévère; il s'y montra toujours l'ami constant du peuple. Le peuple désirait la destruction d'un impôt désastreux qui pesait sur lui : il le détruisit; le peuple demandait l'abolition de la servitude : il commença par l'abolir lui-même dans ses domaines.
Page 53 - J'avoue que les preuves multipliées que j'avais données dans tous les temps de mon amour pour le peuple, et la manière dont je m'étais toujours conduit, me paraissaient devoir prouver que je craignais peu de m'exposer pour épargner son sang, et éloigner à jamais de moi une pareille imputation.
Page 186 - ... qu'il a reçus de la nature , et par là établir entre les citoyens une égalité de fait, et rendre réelle l'égalité politique reconnue par la loi ; » Tel doit être le premier but d'une instruction nationale , et sous ce point de vue elle est pour la puissance publique un devoir de justice.
Page 159 - ... dangereux à la liberté. Louis fut roi, et la république est fondée; la question fameuse qui vous occupe est décidée par ces seuls mots. Louis a été détrôné par ses crimes; Louis dénonçait le peuple français comme rebelle; il a appelé, pour...
Page 259 - ... leur témoigner sa peine et les inviter à trouver les moyens de ramener l'ordre et le calme. Je sais qu'on a donné d'injustes préventions ; je sais qu'on a osé publier que vos personnes n'étaient pas en sûreté.
Page 210 - France, ne permet point d'admettre, dans l'instruction publique, un enseignement qui, en repoussant les enfants d'une partie des citoyens , détruirait l'égalité des avantages sociaux, et donnerait à des dogmes particuliers un avantage contraire à la liberté des opinions. Il était donc rigoureusement nécessaire de séparer de la morale les principes de toute religion particulière , et de n'admettre dans l'instruction publique l'enseignement d'aucun culte religieux.
Page 102 - J'étais réellement confondu de les entendre ! « Je leur parlai le langage austère de la loi ; je leur parlai avec le sentiment de l'indignation profonde dont j'étais pénétré : je les fis sortir tous devant moi. J'étais à peine sorti moi-même qu'ils y rentrèrent : je fus de nouveau sur les lieux pour les en chasser ; la nuit ils achevèrent leur horrible boucherie.
Page 53 - On vient de vous exposer mes moyens de défense ; je ne les renouvellerai point. En vous parlant peut-être pour la dernière fois, je vous déclare que ma conscience ne me reproche rien , et que mes défenseurs ne vous ont dit que la 1 Journ .;/ de la République frfinrafxp, n° 85.
Page 158 - En effet, quel est le parti que la saine politique prescrit pour cimenter la république naissante? c'est de graver profondément dans les cœurs le mépris de la royauté, et de frapper de stupeur tous les partisans du roi. Donc, présenter à l'univers son crime comme un problème; sa cause comme l'objet de la discussion la plus imposante, la plus religieuse, la plus difficile qui puisse occuper les...