Génie du christianisme, ou Beautés de la religion chrétienne, Volume 2 |
What people are saying - Write a review
We haven't found any reviews in the usual places.
Other editions - View all
Common terms and phrases
aime âme amour anciens anges avoit beau beauté belle Bible bonheur cæur caractère chants CHAPITRE charmes chose chrétien christianisme ciel coeur coup cour dernier descriptive désert devant Dieu dieux dire divin doit donne douleur doute élevé Enfin étoit femme fille fils fond force forme frère génie genre goût Grecs haut héros heureux Homère hommes humain j'ai jeter jeune joie Joseph jour l'âme l'amour l'autre l'enfer l'esprit l'homme laisse larmes lieu livre loin main malheur ment mère merveilleux milieu Milton monde morale mort nature nuit ouvrages parle paroles passer passions Patrocle peine pensée père peuple peut-être philosophie pieds place plein pleurs poëme poésie poëte poétique porte premier présent propre qu'un Racine raison regards religion remarquer reste rien s'il saint sais scène seconde secret semble sentiment sera seul siècle soleil sorte sublime Suite sujet tableau tendre terre tombe touchant tour traits trouve vérité vertu Virgile Voilà voix vrai yeux
Popular passages
Page 85 - Des dieux que nous servons connais la différence : Les tiens t'ont commandé le meurtre et la vengeance, Et le mien , quand ton bras vient de m'assassiner, M'ordonne de te plaindre et de te pardonner.
Page 296 - Tremble, m'at-elle dit, fille digne de moi. Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi. Je te plains de tomber dans ses mains redoutables, Ma fille." En achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser, Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser ; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de...
Page 134 - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je? mon père y tient l'urne fatale. Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains. Minos juge aux enfers tous les pâles humains. Ah ! combien frémira son ombre épouvantée , Lorsqu'il verra sa fille à ses yeux présentée , Contrainte d'avouer tant de forfaits divers , Et des crimes peut-être inconnus aux enfers ! Que diras-tu, mon père, à ce spectacle horrible?
Page 100 - Mais d'où vient que mon cœur frémit d'un saint effroi? Est-ce l'esprit divin qui s'empare de moi? C'est lui-même : il m'échauffe ; il parle ; mes yeux s'ouvrent,.
Page 202 - Les sons que rendent les passions dans le vide d'un cœur solitaire ressemblent au murmure que les vents et les eaux font entendre dans le silence d'un désert ; on en jouit, mais on ne peut les peindre.
Page 133 - Mes crimes désormais ont comblé la mesure : Je respire à la fois l'inceste et l'imposture : Mes homicides mains, promptes à me venger, Dans le sang innocent brûlent de se plonger.
Page 387 - Souvent, las d'être esclave et de boire la lie De ce calice amer que l'on nomme la vie, Las du mépris des sots qui suit la pauvreté, Je regarde la tombe, asile souhaité; Je souris à la mort volontaire et prochaine; Je me prie, en pleurant, d'oser rompre ma chaîne...
Page 72 - A la vérité , les deux scènes ne se peuvent comparer, ni pour la composition , ni pour la force du dessin , ni pour la beauté de la poésie ; mais le triomphe du christianisme n'en sera que plus grand , puisque lui seul , par le charme de ses souvenirs , peut lutter contre tout le génie d'Homère.
Page 169 - Seigneur, de vos bontés, il faut que je l'obtienne; Elle a trop de vertus p.our n'être pas chrétienne...
Page 380 - J'ai aimé la physique tant qu'elle n'a point voulu dominer sur la poésie : à présent qu'elle a écrasé tous les arts, je ne veux plus la regarder que comme un tyran de mauvaise compagnie. Je viendrai à Paris faire abjuration entre vos mains. Je ne veux plus d'autre étude que cell* qui peut rendre la société plus agréable , et le déclin de la vie plus doux.