Histoire ancienne des Egyptiens, des Carthaginois, des Assyriens, des Babyloniens, des Medes et des Perses, des Macedoniens, des Grecs, Volume 7

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freres Estienne, 1754

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Page 398 - C'est ce qui la contraint de se répandre au dehors, et de chercher dans l'application aux choses extérieures à perdre le souvenir de son état véritable. Sa joie consiste dans cet oubli ; et il suffit, pour la rendre misérable, de l'obliger de se voir et d'être avec soi.
Page 406 - ... à fa voix & à fon gefte. Le combat étant rétabli , ce furent enfin les éléphans qui décidèrent principalement du gain de la bataille. Car Pyrrhus...
Page 405 - Léonat de Macédoine perça de fa pique le cheval du Cavalier. Les deux chevaux étant tombés , Pyrrhus fut d'abord environné d'une foule de fes amis qui l'enlevèrent , & tuèrent le Cavalier Italien , qui combattit avec beaucoup de courage.
Page 66 - ... nourri dans le Prytanée aux dépens du public; et au bas de la statue ils firent graver cette...
Page 557 - ... chargés. Mais il n'ya point de si bonne ni de si sûre garde pour un commandant et pour un prince, que la ferme et vraie affection de ceux qui lui sont soumis : car lorsqu'une fois le peuple et les nobles sont...
Page 178 - ... dans ses mœurs, qui étaient également propres à étonner et à charmer. Pendant qu'il n'avait rien à faire, il était d'un commerce délicieux : rien n'égalait la somptuosité de ses festins, de son luxe, et de toute sa manière de vivre ; c'était le plus magnifique, le plus voluptueux et le plus délicat de tous les princes. D'un autre côté, malgré ces voluptés et ces délices, quand il était question de quelque entreprise, c'était le plus actif et le plus vigilant de tous les hommes....
Page 546 - ... parce qu'ils étoient enfoncés dans l'ombre ; mais eux, ils les aperçurent de fort loin à la clarté de leur lumière. Aratus et ses gens se...
Page 626 - Corinthe, hors une seule, qui était celle d'Aratus même. Et quelques prières que celui-ci fît au roi, il ne put jamais l'en empêcher. Il voyait avec une peine extrême tout ce qui se passait ; mais il n'était plus le maître, et il payait la juste peine d'en avoir donné un à sa patrie et à lui-même.
Page 591 - Déjà le peuple fçavoit qu'il étoit pris : déjà l'on s'affembloit devant les portes de la prifon , où il y avoit un grand tumulte : déjà, toute la rue étoit éclairée d'un nombre infini de flambeaux; & la mère d'Agis & fon...
Page 619 - Sparte , où il arriva de bonne heure ; et, après avoir donné quelques moments à sa douleur dans sa maison avec sa mère et ses enfants, il reprit incontinent le soin des affaires publiques. En ce temps-là Ptolémée , qui lui promettait du secours, lui envoya demander pour otages sa mère et ses enfants.

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