Notice des travaux de l'Académie du Gard

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Blachier-Belle, 1810 - Nîmes (France)
 

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Popular passages

Page 295 - L'exemple des sauvages qu'on a presque tous trouvés à ce point semble confirmer que le genre humain était fait pour y rester toujours, que cet état est la véritable jeunesse du monde, et que tous les progrès ultérieurs ont été en apparence autant de pas vers la perfection de l'individu, et en effet vers la décrépitude de l'espèce.
Page 463 - Elle indique donc , pour le sujet de l'un des prix qu'elle décernera dans sa séance publique de i8ii, la question suivante: Déterminer , d'une manière plus précise qu'on ne l'a fait jusqu'ici, et par une suite d'expériences nouvelles, les diverses lois auxquelles le phénomène de l'inflexion de la lumière, est assujetti.
Page 30 - L'impatience du roi le décida à détacher du corps de son grand ouvrage un fragment qu'il publia sous ce titre : La Cueillette de la soie par la nourriture des vers qui la font.
Page 34 - Traucat furent récompensés, après l'impression de son livre, par une pension et par l'autorisation de «planter des mûriers dans tous les endroits du royaume où il le jugerait à propos » ; c'est l'intendant Bâville qui rapporte ce fait dans ses Mémoires pour servir à l'Histoire du Languedoc.
Page 153 - Pendant cette dernière époque , l'aurore » boréale s'est fait voir plusieurs fois d'une » manière très-éclatante ». » M. Cotte a reconnu que les mois de mars, avril et mai, ensuite ceux de septembre et octobre , sont les mois de l'année où l'ap~ parition de l'aurore boréale est la plus fréquente ; ce qui s'accorde avec le système de M.
Page 19 - Les impé» ratrices qui lui succédèrent , se firent une » agréable occupation de faire éclore les che» ailles , d'en tirer la soie , et de la mettre » en œuvre de leurs propres mains. Il y avait » même , dans l'enceinte du palais impérial, » un parc destiné à la culture des mûriers. » L'impératrice , accompagnée des reines et » des premières dames de la cour, s'y rendait >, en cérémonie , et cueillait de sa main les » feuilles de trois branches qu'on abaissait a » sa portée....
Page 334 - VI, que rien ne peut accroître la population que ce qui favorise la production, et que rien ne peut la diminuer, au. moins d'une manière permanente , que ce qui attaque les sources de la production : et observez que M.
Page 465 - VINCEHS-ST-LAURENT , doyen du conseil de préfecture du département du Gard ; correspondant de l'institut et de la société d'agriculture du département de la Seine ; associé non - résidant de la société des sciences et belles-lettres de Montpellier, d'Aix , et de Valenciennes , secrétaire-adjoint.
Page 344 - Eymar en <î» nissant, je crois pouvoir en toute confiance » établir les principes suivans. » La population dépend des subsistances » Les subsistances se mettent toujours au » niveau de la population par le moyen du » travail et des échanges qui en résultent. » Tout moyen de diminuer la population » est impraticable ou dangereux. » Donc on ne doit jamais chercher à <li...
Page 264 - Mais si les théorèmes mathématiques n'ont pas rigoureusement lieu dans la nature, ils servent du moins à résoudre , avec une précision suffisante pour la pratique , les différentes questions qu'on peut se proposer sur l'étendue. Dans l'univers il n'ya point de cercle parfait ; mais plus un cercle approchera de l'être, plus il approchera des propriétés rigoureuses du cercle parfait que la géométrie démontre ; et il peut en approcher à un degré suffisant pour notre usage. Il en est...

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