Les vrais créateurs de l'opéra français, Perrin et Cambert |
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Académie acte airs années artiste assez Aubry avoit ayant ba ba ba ballets Baptiste beau belles Cambert celui-ci chanter charge choses comédie composé considérer cour d'ailleurs danse date dernier devait dire donner doute écrit effet enfin faisait forme François frères général génie genre Grecs Guichard homme italiens j'ai jouer jour juger l'Académie l'Amour l'autre l'Opéra l'un laissé lettres lieu livres loin Louis Lully lyrique machines Marie marquis ment mesme mieux mise mois Molière monde Monsieur mort musiciens musique n'avait n'était nombre nommé nouveau nouvelle œuvres opéras ouvrages parler paroles particulièrement passé Pastorale peine pendant Perrin personnes petit pièce place Pomone porte premier présent privilège public qu'à qu'un quatre raison remarquer représentations reste rien rôle royale s'il salle scène second semble sentiment sera servir seul sieur sorte Sourdéac spectacle succès sujet suppliant témoin théâtre tion titre troupe trouve venir vérité Voici voit
Popular passages
Page 35 - C'est pour elle, en un mot, que j'ai fait vœu d'écrire. Toutefois, s'il le faut, je veux bien m'en dédire, Et, pour calmer enfin tous ces flots d'ennemis, Réparer en mes vers les maux qu'ils ont commis.
Page 193 - Louis , par la grâce de Dieu, roi de France et de Navarre , à tous présens et à venir, salut.
Page 196 - Si donnons en mandement à nos âmes et féaux conseillers, les gens tenans notre cour de Parlement à Paris...
Page 196 - ... car tel est notre plaisir. Et afin que ce soit chose ferme et stable à toujours, nous y avons fait mettre notre scel. Donné à Versailles au mois de janvier, l'an de grâce mil sept cent cinquante, et de notre règne le trente-cinquième.
Page 34 - Le Moïse commence à moisir par les bords. Quel mal cela fait-il ? Ceux qui sont morts sont morts : Le tombeau contre vous ne peut-il les défendre f...
Page 35 - Bon, mon esprit ! courage ! poursuivez. Mais ne voyez-vous pas que leur troupe en furie Va prendre encor ces vers pour une raillerie ? Et Dieu sait aussitôt que d'auteurs en courroux, Que de rimeurs blessés s'en vont fondre sur vous ! Vous les verrez bientôt, féconds en impostures, Amasser contre vous des volumes d'injures, Traiter en vos écrits chaque vers d'attentat, Et d'un mot innocent faire un crime d'état.
Page 222 - En vain par sa grimace un bouffon odieux ' A table nous fait rire et divertit nos yeux : Ses bons mots ont besoin de farine et de plâtre. Prenez-le...
Page 162 - THÉSÉE Va chercher des amis dont l'estime funeste Honore l'adultère, applaudisse à l'inceste, Des traîtres, des ingrats sans honneur et sans loi, Dignes de protéger un méchant tel que toi.
Page 200 - Magistrats, je vous écris cette lettre pour vous dire que mon intention est que vous fassiez...
Page 305 - Il s'est trompé de deux ; mes amis, de leur grâce, Me les ont épargnés, l'envoyant où je croi Qu'il va bien sans eux et sans moi. Voilà l'histoire en gros : le détail a des suites Qui valent bien d'être déduites ; Mais...