| Molière - 1669 - 212 pages
...animaux, de travailler beaucoup, de manger de même. Cela me fend le cœur de les voir ainsi exténués, car enfin j'ai une tendresse pour mes chevaux, qu'il...semble que c'est moi-même, quand je les vois pâtir ; je m'ôte tous les jours pour eux les choses de la bouche, et c'est être, monsieur, d'un naturel... | |
| French drama - 1788 - 424 pages
...beaucoup , et de manger de même. Cela me fend le cceur de les voir ainsi exiénucs , car , cnrin , j'ai une tendresse pour mes chevaux qu'il me semble que c'est moi-même. Quand ¡e les vois pâtir , je ni'âte tous les lours , pour eux , les choses de la bouche ; et c'est être.... | |
| Ludwig Ideler - 1804 - 658 pages
...de travailler beaucoup, et de manger de même. Cela me fend le coeur, de les voir ainsi exténués ; car enfin, j'ai une tendresse pour mes chevaux, qu'il...semble que c'est moi-même, quand je les vois pâtir; je m'dte tous les jours, pour eux, les choses de la bouche; et c'est être, Monsieur, d'un naturel... | |
| Molière - 1809 - 480 pages
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| Molière - 1821 - 666 pages
...de travailler beaucoup, et de manger de même. Cela me fend le cœur de les voir ainsi exténués; car enfin, j'ai une tendresse pour mes chevaux, qu'il...semble que c'est moi-même quand je les vois pâtir; je m'ôte tous les jours pour eux les choses de la bouche; et c'est être, monsieur , d'un naturel... | |
| French drama - 1821 - 468 pages
...de travailler beaucotip , de manger de même. Ceja me fend |e cqenr , de les voir ainsi exténués; car enfin, j'ai une tendresse pour mes chevaux , qu'il me semble que c'est moimême, quand je les vois pà|jr ; je m'ôte tous les jours pour eux les choses de la bouche ; et c'est être, monsieur, d'un... | |
| Molière - French drama - 1822 - 342 pages
...animaux, de travailler beaucoup, de manger de même. Cela me fend le cœur , de les voir aiusi exténués, car enfin j'ai une tendresse pour mes chevaux, qu'il...semble que c'est moi-même, quand je les vois pâtir; jenTôte tous les jonrs pour eux les choses de la liouche : et cVst être, Mousieur, d'un naturel trop... | |
| French drama - 1822 - 472 pages
...travailler beaucoup , de manger de même. Cela me fend le cœur, de les voir ainsi exténués ; car enfm j'ai une tendresse pour mes chevaux, qu'il me semble que c'est moimême, quand je les vois pâtir ; je m'ôte tous les jours pour eux les choses de la bouche; et c'est être, monsieur, d'un naturel... | |
| Jean Baptiste Poquelin de Molière - 1823 - 376 pages
...animaux, de travailler beaucoup, de manger de même. Cela me fend le cœur, de les voir ainsi exténués; car enfin j'ai une tendresse pour mes chevaux, qu'il...semble que c'est moi-même, quand je les vois pâtir ; je m'ôte tous les jours pour eux les choses de la bouche: et c'est être , monsieur, d'un naturel... | |
| Molière - 1823 - 536 pages
...animaux, de travailler beaucoup, de manger de même. Cela me fend le cœur, de les voir ainsi exténués ; car enfin j'ai une tendresse pour mes chevaux, qu'il...semble que c'est moi-même, quand je les vois pâtir; je m'ôte tous les jours pour eux les choses de la bouche ; et c'est être, monsieur, d'un naturel... | |
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