L'avare: comédie en cinq actes et en prose. With a biography of the author, grammatical and explanatory notes, and a complete vocabulary. Compiled from the best sourcesGinn & Company, 1894 - 140 pages |
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... same degree that a young nobleman would keep pure and unpolluted the coat - of - arms of his ancestors . Such was indeed the hope , such was the ambition of Molière's father . He was a rich upholsterer just as his father had been , and ...
... same degree that a young nobleman would keep pure and unpolluted the coat - of - arms of his ancestors . Such was indeed the hope , such was the ambition of Molière's father . He was a rich upholsterer just as his father had been , and ...
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... same seed could not yield the same fruit . At the close of his college years , young Poquelin was forced through the old age of his father to accept the emoluments and the honors , such as they were , of his position , and he ...
... same seed could not yield the same fruit . At the close of his college years , young Poquelin was forced through the old age of his father to accept the emoluments and the honors , such as they were , of his position , and he ...
Page xii
... same time to allow them to produce one of the farces they had been in the habit of playing in the provinces . The request is granted and they play Les Trois Docteurs Rivaux , which greatly amuses the king and the court , and Molière's ...
... same time to allow them to produce one of the farces they had been in the habit of playing in the provinces . The request is granted and they play Les Trois Docteurs Rivaux , which greatly amuses the king and the court , and Molière's ...
Page xiii
... same year appear Le Mariage Forcé ( January 24 ) , La Princesse d'Élide ( May 7 ) , Tartuffe , first three acts ( May 12 ) , and the beginning of a translation of Lucretius . In 1665 Les Comédiens de Monsieur change to Troupe du Roi ...
... same year appear Le Mariage Forcé ( January 24 ) , La Princesse d'Élide ( May 7 ) , Tartuffe , first three acts ( May 12 ) , and the beginning of a translation of Lucretius . In 1665 Les Comédiens de Monsieur change to Troupe du Roi ...
Page xiv
... same year La gloire du Val de Grâce . In 1670 : Les Amants Magnifiques ( February ) , Le Bour- geois Gentilhomme ( October 13 ) . In 1671 : Psyché ( April ) , Fourberies de Scapin ( May 24 ) , La Comtesse d'Escarbagnas ( December 2 ) ...
... same year La gloire du Val de Grâce . In 1670 : Les Amants Magnifiques ( February ) , Le Bour- geois Gentilhomme ( October 13 ) . In 1671 : Psyché ( April ) , Fourberies de Scapin ( May 24 ) , La Comtesse d'Escarbagnas ( December 2 ) ...
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Common terms and phrases
20 FROSINE 20 HARPAGON amour Anchise appear argent audacity Aumale avez back become blé en herbe BRINDAVOINE cassette chose Ciel CLEANTE cœur COMMISSAIRE conj consentement denier diantre dire Dix mille écus donner draw ÉLISE êtes father fille find first FLÈCHE followed frequently FROSINE give godelureau good hand haut-de-chausses head hôtel de Bourgogne Illustre Théâtre impertinent interj j'ai j'en keep kind king know l'argent L'AVARE leave life little look love Madame MAÎTRE JACQUES MAÎTRE SIMON make manner MARIANE meaning means meddle MERLUCHE Molière Molière's money Monsieur name negation ness noun one's one's self order orge parler pendard père personne play Poquelin poss prendre prep pron pronoun raison rien s'il vous plaît same SCÈNE Seigneur Anselme seroit show take things think time tion used VALÈRE veux voilà vowel want wish word work year young ΙΟ
Popular passages
Page 77 - Ah ! c'est moi !... Mon esprit est troublé, et j'ignore où je suis, qui je suis, et ce que je fais. Hélas ! mon pauvre argent, mon pauvre argent, mon cher ami, on m'a privé de toi ! Et, puisque tu m'es enlevé, j'ai perdu mon support, ma consolation, ma joie ; tout est fini pour moi, et je n'ai plus que faire au monde ! Sans toi, il m'est impossible de vivre. C'en est fait ! je n'en puis plus, je me meurs, je suis mort, je suis enterré.
Page 77 - Au voleur ! au voleur ! à l'assassin ! au meurtrier ! Justice, juste ciel ! je suis perdu, je suis assassiné ; on m'a coupé la gorge : on m'a dérobé mon argent. Qui peut-ce être ? Qu'est-il devenu ? Où est-il ? Où se cache-t-il ? Que ferai-je pour le trouver ? Où courir ? Où ne pas courir ? N'est-il point là ? N'est-il point ici ? Qui est-ce ? Arrête.
Page 78 - N'est-il point caché là parmi vous? Ils me regardent tous, et se mettent à rire. Vous verrez qu'ils ont part, sans doute, au vol que l'on m'a fait. Allons vite, des commissaires, des archers, des prévôts, des juges, des gênes, des potences, et des bourreaux.
Page 49 - Apprenez, maître Jacques, vous et vos pareils, que c'est un coupegorge qu'une table remplie de trop de viandes; que, pour se bien montrer ami de ceux que l'on invite, il faut que la frugalité règne dans les repas qu'on donne; et que, suivant le dire d'un ancien, il faut manger pour vivre, et non pas vivre pour manger.
Page 52 - Monsieur, puisque vous le voulez, je vous dirai franchement qu'on se moque partout de vous, qu'on nous jette de tous côtés cent brocards à votre sujet, et que l'on n'est point plus ravi que de vous tenir au cul et aux chausses, et de faire sans cesse des contes de votre lésine.
Page 78 - Est-ce mon voleur qui y est? De grâce, si l'on sait des nouvelles de mon voleur, je supplie que l'on m'en dise.
Page 48 - Que diable, toujours de l'argent! Il semble qu'ils n'aient autre chose à dire : « De l'argent, de l'argent, de l'argent ». Ah ! ils n'ont que ce mot à la bouche : « De l'argent !
Page 50 - Il faudra de ces choses dont on ne mange guère, et qui rassasient d'abord ; quelque bon haricot bien gras, avec quelque pâté en pot bien garni de marrons.
Page 60 - Et moi, pour vous répondre, j'ai à vous dire que les choses sont fort égales ; et que, si vous auriez de la répugnance à me voir votre belle-mère, je n'en aurais pas moins, sans doute, à vous voir mon beau-fils.
Page 51 - Cela me fend le cœur, de les voir ainsi exténués; car enfin j'ai une tendresse pour mes chevaux, qu'il me semble que c'est moi-même quand je les vois pâtir; je m'ôte tous les jours pour eux les choses de la bouche ; et c'est être, Monsieur, d'un naturel trop dur, que de n'avoir nulle pitié de son prochain.