L'avare: comédie en cinq actes et en prose. With a biography of the author, grammatical and explanatory notes, and a complete vocabulary. Compiled from the best sourcesGinn & Company, 1894 - 140 pages |
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Page 8
... belle aucun témoignage de mon amour . ÉLISE . Oui , je conçois assez , mon frère , quel doit être votre chagrin . CLÉANTE . Ah ! ma sœur , il est plus grand qu'on ne 25 peut croire . Car enfin peut - on rien voir de plus cruel que cette ...
... belle aucun témoignage de mon amour . ÉLISE . Oui , je conçois assez , mon frère , quel doit être votre chagrin . CLÉANTE . Ah ! ma sœur , il est plus grand qu'on ne 25 peut croire . Car enfin peut - on rien voir de plus cruel que cette ...
Page 25
... belle Élise , est capable d'une fermeté ... ( Il aperçoit Harpagon . ) 7 . que la véritê fait cabrer . Why cabrer and not se cabrer ? Such was the usage in the 16th , 17th and 18th centuries . F. Godefroy says that the personal pronoun ...
... belle Élise , est capable d'une fermeté ... ( Il aperçoit Harpagon . ) 7 . que la véritê fait cabrer . Why cabrer and not se cabrer ? Such was the usage in the 16th , 17th and 18th centuries . F. Godefroy says that the personal pronoun ...
Page 32
... Belle Plaideuse , and played in 1654. Ergaste wishes to borrow a sum of money . The lender wants to give only part of the amount in cash , and the rest in goods and chattels , as in the case of maître Simon . But the servant Philippin ...
... Belle Plaideuse , and played in 1654. Ergaste wishes to borrow a sum of money . The lender wants to give only part of the amount in cash , and the rest in goods and chattels , as in the case of maître Simon . But the servant Philippin ...
Page 34
... Belle Plaideuse . Ergaste has sought the kind offices of a notary ( Barquet ) for a sum of money he needs ; a money - lender is soon on hand to make the loan and proves to be Amidor , the father of Ergaste : Quoi ! c'est là ce payeur d ...
... Belle Plaideuse . Ergaste has sought the kind offices of a notary ( Barquet ) for a sum of money he needs ; a money - lender is soon on hand to make the loan and proves to be Amidor , the father of Ergaste : Quoi ! c'est là ce payeur d ...
Page 38
... belle saison de l'homme . HARPAGON . Il est vrai ; mais vingt années de moins 10 pourtant ne me feroient point de mal , que je crois . 15 20 FROSINE . Vous moquez - vous ? Vous n'avez pas besoin de cela , et vous êtes d'une pâte à vivre ...
... belle saison de l'homme . HARPAGON . Il est vrai ; mais vingt années de moins 10 pourtant ne me feroient point de mal , que je crois . 15 20 FROSINE . Vous moquez - vous ? Vous n'avez pas besoin de cela , et vous êtes d'une pâte à vivre ...
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Common terms and phrases
20 FROSINE 20 HARPAGON amour Anchise appear argent audacity Aumale avez back become blé en herbe BRINDAVOINE cassette chose Ciel CLEANTE cœur COMMISSAIRE conj consentement denier diantre dire Dix mille écus donner draw ÉLISE êtes father fille find first FLÈCHE followed frequently FROSINE give godelureau good hand haut-de-chausses head hôtel de Bourgogne Illustre Théâtre impertinent interj j'ai j'en keep kind king know l'argent L'AVARE leave life little look love Madame MAÎTRE JACQUES MAÎTRE SIMON make manner MARIANE meaning means meddle MERLUCHE Molière Molière's money Monsieur name negation ness noun one's one's self order orge parler pendard père personne play Poquelin poss prendre prep pron pronoun raison rien s'il vous plaît same SCÈNE Seigneur Anselme seroit show take things think time tion used VALÈRE veux voilà vowel want wish word work year young ΙΟ
Popular passages
Page 77 - Ah ! c'est moi !... Mon esprit est troublé, et j'ignore où je suis, qui je suis, et ce que je fais. Hélas ! mon pauvre argent, mon pauvre argent, mon cher ami, on m'a privé de toi ! Et, puisque tu m'es enlevé, j'ai perdu mon support, ma consolation, ma joie ; tout est fini pour moi, et je n'ai plus que faire au monde ! Sans toi, il m'est impossible de vivre. C'en est fait ! je n'en puis plus, je me meurs, je suis mort, je suis enterré.
Page 77 - Au voleur ! au voleur ! à l'assassin ! au meurtrier ! Justice, juste ciel ! je suis perdu, je suis assassiné ; on m'a coupé la gorge : on m'a dérobé mon argent. Qui peut-ce être ? Qu'est-il devenu ? Où est-il ? Où se cache-t-il ? Que ferai-je pour le trouver ? Où courir ? Où ne pas courir ? N'est-il point là ? N'est-il point ici ? Qui est-ce ? Arrête.
Page 78 - N'est-il point caché là parmi vous? Ils me regardent tous, et se mettent à rire. Vous verrez qu'ils ont part, sans doute, au vol que l'on m'a fait. Allons vite, des commissaires, des archers, des prévôts, des juges, des gênes, des potences, et des bourreaux.
Page 49 - Apprenez, maître Jacques, vous et vos pareils, que c'est un coupegorge qu'une table remplie de trop de viandes; que, pour se bien montrer ami de ceux que l'on invite, il faut que la frugalité règne dans les repas qu'on donne; et que, suivant le dire d'un ancien, il faut manger pour vivre, et non pas vivre pour manger.
Page 52 - Monsieur, puisque vous le voulez, je vous dirai franchement qu'on se moque partout de vous, qu'on nous jette de tous côtés cent brocards à votre sujet, et que l'on n'est point plus ravi que de vous tenir au cul et aux chausses, et de faire sans cesse des contes de votre lésine.
Page 78 - Est-ce mon voleur qui y est? De grâce, si l'on sait des nouvelles de mon voleur, je supplie que l'on m'en dise.
Page 48 - Que diable, toujours de l'argent! Il semble qu'ils n'aient autre chose à dire : « De l'argent, de l'argent, de l'argent ». Ah ! ils n'ont que ce mot à la bouche : « De l'argent !
Page 50 - Il faudra de ces choses dont on ne mange guère, et qui rassasient d'abord ; quelque bon haricot bien gras, avec quelque pâté en pot bien garni de marrons.
Page 60 - Et moi, pour vous répondre, j'ai à vous dire que les choses sont fort égales ; et que, si vous auriez de la répugnance à me voir votre belle-mère, je n'en aurais pas moins, sans doute, à vous voir mon beau-fils.
Page 51 - Cela me fend le cœur, de les voir ainsi exténués; car enfin j'ai une tendresse pour mes chevaux, qu'il me semble que c'est moi-même quand je les vois pâtir; je m'ôte tous les jours pour eux les choses de la bouche ; et c'est être, Monsieur, d'un naturel trop dur, que de n'avoir nulle pitié de son prochain.