Commentaires [ed. by A. Petetin].

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Page 493 - de'sire que mes cendres reposent sur les bords de la Seine, au milieu de ce peuple français que j'ai tant aimé. 3° J'ai toujours eu à me louer de ma très-chère épouse Marie-Louise; je lui conserve jusqu'au dernier moment les plus tendres sentiments. Je la prie de veiller pour garantir mon
Page 505 - 1821. Longwood. Ceci est un codicille de mon testament. 1° Je désire que mes cendres reposent sur les bords de la Seine, au milieu de ce peuple français que j'ai tant aimé.
Page 493 - 1° Je meurs dans la religion apostolique et romaine, dans le sein de laquelle je suis ne' il ya plus de cinquante ans. 2° Je de'sire que mes cendres reposent sur les bords de la Seine, au milieu de ce peuple français que j'ai tant aimé.
Page 126 - nous fûmes trop généreux! nous crûmes aux protestations et aux serments des princes que nous laissâmes sur le trône! Aujourd'hui cependant, coalisés entre eux, ils en veulent à l'indépendance et aux droits les plus sacrés de la France. Ils ont commencé la plus injuste des agressions : marchons donc à leur rencontre! eux et nous ne sommes-nous plus les mêmes hommes?
Page 126 - gémissent d'être obligés de prêter leurs bras à la cause de princes ennemis de la justice et des droits de tous les peuples. Ils savent que cette coalition est insatiable. Après avoir dévoré 12 millions de Polonais, 12 millions d'Italiens, i million de Saxons, 6 millions de Belges,
Page 430 - surtout le premier de nos intérêts, celui de notre gloire. Soldats, nous allons marcher pour chasser du territoire ces princes, auxiliaires de l'étranger; la nation non-seulement nous secondera de ses vœux, mais même suivra notre impulsion. Le peuple français et moi nous comptons sur vous. Nous ne voulons pas nous
Page 494 - meurs prématurément, assassiné par l'oligarchie anglaise et son sicaire. Le peuple anglais ne tardera pas à me venger. 6° Les deux issues si malheureuses des invasions de la France, lorsqu'elle avait encore tant de ressources, sont dues aux trahisons de Marmont, Augereau. Talleyrand et de Lafayette : je leur pardonne. Puisse la postérité française leur
Page 383 - contre nous des levées en masse qui pourraient éterniser la guerre. J'ai des partisans; si je me présente en conquérant, je n'en aurai plus. «Le prince de la Paix est détesté, parce qu'on l'accuse d'avoir livré l'Espagne à la France; voilà le grief qui a servi à l'usurpation de Ferdinand. Le parti populaire est le plus
Page 383 - on n'en fasse un héros. Je ne veux pas que l'on use de violence envers les personnages de cette famille; il n'est jamais utile de se rendre odieux et d'enflammer les haines. L'Espagne a plus de 100,000 hommes sous les armes : c'est plus qu'il n'en faut pour soutenir avec avantage une guerre intérieure : divisés
Page 385 - userez de bons procédés envers le roi, la reine et le prince Godoï; vous exigerez pour eux et vous leur rendrez les mêmes honneurs qu'autrefois. Vous ferez en sorte que les Espagnols ne puissent pas soupçonner le parti que je prendrai. Cela ne sera pas difficile, je n'en sais rien moi-même.

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