Voltaire : ...Si mes principes, mon bon ami, avaient eu besoin que j'en serrasse le nœud, l'homme que j'ai vu dépérir, agoniser et mourir sous mes yeux, en aurait fait un nœud gordien et, en comparant la mort... Revue de Bretagne et de Vendée - Page 4491868Full view - About this book
| 1842 - 488 pages
...Furies of Orestes :* Furiis agitatns ob'tit" [That is, He, Voltaire, died, tormented by the furies t-\~\ vu dépérir, agoniser et mourir sous mes yeux en...comparant la mort de l'homme de bien, qui n'est que la fin d'un beau jour, à celle de Voltaire, j'aurais vu bien sensiblement la différence qu'il ya... | |
| Louis Nicolardot - France - 1854 - 626 pages
...quelques jours après la mort de Voltaire : « Si mes principes avaient eu besoin que j 'en serrasse le nœud, l'homme que j'ai vu dépérir, agoniser...comparant la mort de l'homme de bien, qui n'est que la fin d'un beau jour, à celle de Voltaire, j'aurais vu bien sensiblement la différence qu'il ya... | |
| Jean Pierre Gaberel - Geneva (Switzerland) - 1857 - 198 pages
...(manuscrits de la Bibl. publ. de Genève) : « Si mes principes avaient « besoin que j'en resserrasse le nœud, l'homme que j'ai « vu dépérir, agoniser et mourir sous mes yeux, en au« rait fait un nœud gordien ; et en comparant la mort « de l'homme de bien, qui n'est que le soir... | |
| Gaberel - Geneva (Switzerland) - 1862 - 524 pages
...qui soignait Voltaire depuis trente années : « Si mes principes avaient besoin que j'en resserrasse le nœud, l'homme que j'ai vu dépérir, agoniser...comparant la mort de l'homme de bien, qui n'est que /<- soir d'un beau jour, à celle de Voltaire, j'ai vu bien sensiblement la différence qu il ya entre... | |
| comtesse de Luçay - 1862 - 192 pages
...principes avaient besoin que j'en « serrasse le nœud, l'homme que j'ai vu dépérir, ago« niser et mourir sous mes yeux, en aurait fait un « nœud gordien. Et en comparant la mort d'un « homme de bien, qui n'est que le soir d'un beau « jour, à celle de Voltaire, j'aurais vu la... | |
| Jean-Nicolas Jager - 1870 - 590 pages
...bien dépassées, car il écrivait encore : « Si mes principes avaient besoin que j'en resserrasse le nœud, l'homme que j'ai vu dépérir, agoniser...sous mes yeux, en aurait fait un nœud gordien... Je ne me le rappelle pas sans horreur. Dès qu'il vit que tout ce qu'il avait tenté pour augmenter... | |
| Félix-Titus Courtat - 1872 - 252 pages
...Gaberel comme faisant partie des manuscrits Tronchin. Je ne l'y ai pas retrouvée. que j'en serrasse le nœud, l'homme que j'ai vu dépérir, agoniser et mourir sous mes yeux (1) en aurait fait un nœud gordien, et, en comparant la mort d'un homme de bien, qui n'est que la... | |
| Gustave Desnoiresterres - France - 1876 - 554 pages
...s'il y avait de saints mensonges. Si mes principes, mon bon ami, avoient eu besoin que j'en serrasse le nœud, l'homme que j'ai vu dépérir, agoniser et mourir sous mes yeux, en auroit fait un nœud gordien, et, en comparant la mort d'un homme de bien, qui n'est que la fin d'un... | |
| V. Bénard - 1878 - 604 pages
...niser et mourir sous mes yeux, en aurait fait un « nœudgordien, et, encomparantla mort del'homme « de bien, qui n'est que le soir d'un beau jour, à * celle de Voltaire, j'ai vu bien sensiblement la dif« férence qu'il ya entre un beau jour et une tem« pête... Je ne mêle rappelle pas sans horreur.... | |
| Antonin Roche - French literature - 1878 - 444 pages
...croire le docteur Tronchin, à qui nous devons le récit des derniers moments de sou illustre malade. « En comparant la mort de l'homme de bien, qui n'est que le soir d'un beau jour, à celle de Voltairé7 écrit Tronchin à son ami Charles Bonnet, j'ai vu bien sensiblement la différence qu'il... | |
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