Œuvres complètes de Voltaire, Volume 3G. Hasselbrink, 1829 |
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... n'était pas extraordinaire qu'Adrien , pré- cepteur et depuis ministre de Charles - Quint , né avec le génie d'un subalterne , fût entré dans la ligue qui devait rendre l'empereur maître absolu de l'Italie , et bientôt de l'Eu- rope ...
... n'était pas extraordinaire qu'Adrien , pré- cepteur et depuis ministre de Charles - Quint , né avec le génie d'un subalterne , fût entré dans la ligue qui devait rendre l'empereur maître absolu de l'Italie , et bientôt de l'Eu- rope ...
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... n'était pas encore assez puissant pour fermer le passage aux armées de France . ན་ Alors l'ancienne politique des papes se dé- ploie , et la crainte qu'inspire un empereur trop puissant , lie Clément VII avec Fran- çois Ier : il veut ...
... n'était pas encore assez puissant pour fermer le passage aux armées de France . ན་ Alors l'ancienne politique des papes se dé- ploie , et la crainte qu'inspire un empereur trop puissant , lie Clément VII avec Fran- çois Ier : il veut ...
Page 8
... n'était pas tout . Les deux fils aînés du roi doivent être livrés en otage jusqu'à l'accomplissement du traité ; il est signé le 14 janvier . Pendant que le roi de France fait venir ses deux enfants pour être captifs à sa place , Lannoy ...
... n'était pas tout . Les deux fils aînés du roi doivent être livrés en otage jusqu'à l'accomplissement du traité ; il est signé le 14 janvier . Pendant que le roi de France fait venir ses deux enfants pour être captifs à sa place , Lannoy ...
Page 11
... n'était que riche ; celui - ci était puissant . Albert de Brandebourg , son grand - maître , partage la Prusse avec les Polonais , et reste souverain de la partie qu'on appelle la Prusse ducale , en rendant hommage et payant tri- but au ...
... n'était que riche ; celui - ci était puissant . Albert de Brandebourg , son grand - maître , partage la Prusse avec les Polonais , et reste souverain de la partie qu'on appelle la Prusse ducale , en rendant hommage et payant tri- but au ...
Page 21
... n'était certainement pas à François Ier à payer les dédits de Charles - Quint ; mais il était vaincu : il fallait racheter ses en- fants . Deux millions cinq cent mille écus d'or appauvrissaient à la vérité la France , mais ne valaient ...
... n'était certainement pas à François Ier à payer les dédits de Charles - Quint ; mais il était vaincu : il fallait racheter ses en- fants . Deux millions cinq cent mille écus d'or appauvrissaient à la vérité la France , mais ne valaient ...
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Common terms and phrases
Albert de Brandebourg Allemagne armée armes assemblées avaient bataille Bathori Bohême Bourgogne Brême Brunswick c'était cardinal cardinal de Lorraine catholique cent mille chambre chancelier Charles Charles-Quint comte concile connétable conseil couronne d'Angleterre d'Espagne Danemark dauphin diète donner duc de Bavière duché électeurs empereur états évêques Ferdinand fils François de Guise François Ier Frédéric frère guerre Guise Gustave Henri Hongrie impériale Italie Jean jugé l'Allemagne l'armée l'Église l'électeur de Brandebourg l'électeur de Saxe l'électeur palatin l'em l'empe l'empereur l'Empire l'Europe landgrave landgrave de Hesse Léopold ligue ligue catholique long-temps Lorraine Louis XI Louis XII luthériens maison d'Autriche maître Mansfeld Mathias Maximilien ment Milanais mille hommes mort n'avait n'était Ottomans pairs paix pape parlement Pays-Bas pereur Philippe Pologne président prince d'Orange princes protestants provinces Quint religion reste reur Rodolphe rois Romains Rome royaume s'était secours seigneurs seul Silésie Smalcalde Soliman Suède Suédois Transylvanie Trèves troupes Turcs victoire VIII Wallenstein
Popular passages
Page 323 - ... puisque contre vérité vous nous avez voulu charger, désormais ne nous écrivez aucune chose, mais nous assurez le camp, et nous vous porterons les armes; protestant que si, après...
Page 295 - La cour prit insensiblement l'usage de déposer au greffe du parlement ses édits et ses ordonnances. Cet usage devint peu à peu une formalité indispensable; mais on ne peut savoir quel fut le premier...
Page 323 - Vous faisons entendre que si vous nous avez voulu ou voulez nous charger, que jamais nous ayons fait chose qu'un gentilhomme aimant son honneur ne doive faire, nous disons que vous avez menti par la gorge, et qu'autant de fois que vous le direz vous mentirez : étant...
Page 240 - ... de Guillaume le Conquérant que la France ne ressemble à la France du temps de Hugues Capet; et les usages, les droits, la constitution, sous Hugues Capet, n'ont rien des temps de Clovis : ainsi tout change d'un bout de la terre à l'autre. Presque toute origine est obscure, presque toutes les lois se contredisent de siècle en siècle. La science de l'histoire n'est que celle de l'inconstance; et tout ce que nous savons bien certainement, c'est que tout est incertain.
Page 75 - Charles s'embarque aussitôt pour l'Espagne, et va se retirer dans l'Estramadure , au monastère de Saint-Just , de l'ordre des hiéronymites. La commune opinion est qu'il se repentit; opinion fondée seulement sur la faiblesse humaine, qui croit impossible de quitter sans regret ce que tout le monde envie avec fureur. Charles oublia absolument le théâtre où il avait joué un si grand personnage, et le monde qu'il avait troublé, parce qu'il sentait bien, dans son affaiblissement , qu'il ne pouvait...