Le maréchal Davout, prince d'Eckmühl, Volume 1 |
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Adieu adressée affectionné aîné âme Ancy-le-Franc Annoux armée assez avez avons bataillon de l'Yonne beau-frère Beaumont bonheur bonne Aimée bonté Bourgogne Bourrienne campagne d'Égypte charmante chef cher Alexandre chère Aimée chère mère chevalier choses citoyen Claude LABBÉ cœur commandant comte DÉPARTEMENT DE L'YONNE Desaix dire donner écrit écuyer Égypte enfants envoyer esprit famille femme fille fils frère général Davout général de division général Leclerc gouvernement guerre Hambourg heureuse hommes jamais Jean jeunesse jours jugement l'an l'armée l'Empereur l'esprit l'honneur laisser LECLERC-DESESSART lettre Lieutenant-colonel en second Louis Davout MADAME CAMPAN MADAME DAVOUT malheurs maréchal Davout mari ment Messieurs mille Minard Mme Campan Mme Davout Mme Leclerc Monsieur le Maréchal mort n'ai Napoléon noble parler passer passion Pauline Bonaparte pensée père plaisir premier Consul Prey prince d'Eckmühl princesse raconter Ravières République rien Saint-Domingue santé Savigny seigneur semble sentiments sera seul sœur soldats souvent tendre tion troupes trouve trouvons
Popular passages
Page 241 - Des dieux que nous servons connais la différence: Les tiens t'ont commandé le meurtre et la vengeance; Et le mien, quand ton bras vient de m'assassiner, M'ordonne de te plaindre et de te pardonner.
Page 240 - L'opéra est un spectacle aussi bizarre que magnifique, où les yeux et les oreilles sont plus satisfaits que l'esprit, où l'asservissement à la musique rend nécessaires les fautes les plus ridicules , où il faut chanter des ariettes...
Page 63 - ... j'ai été sévère, il est vrai, mais d'une sévérité de paroles qu'il était dans mon système d'affecter dans tous les pays où j'ai commandé et dont j'ai laissé croître le bruit, bien loin de chercher à le détruire, pour m'épargner la pénible obligation de faire des exemples.
Page 242 - Et ne me forcez point, quand je suis innocent, A devenir coupable en vous obéissant. Des biens que m'a ravis la colère céleste , Ma gloire, mon honneur est le seul qui me reste; Ne m'ôtez pas ce bien dont je suis si jaloux, Et ne m'ordonnez pas d'être indigne de vous.
Page 305 - Citoyens administrateurs, Je vous envoie ci-joint l'état des volontaires qui ont été tués, ou blessés, ou faits prisonniers, depuis la formation du bataillon. Il s'est passé peu d'affaires depuis le commencement de la guerre où le bataillon ne se soit point trouvé, et aucune depuis cette campagne. Aussi n'at-il pas perdu à proportion des dangers qu'il a courus. Je puis vous assurer en son nom, citoyens...
Page 236 - L'esprit de société est le partage naturel des Français ; c'est un mérite et un plaisir dont les autres peuples ont senti le besoin. La langue française est de toutes les langues celle qui exprime avec le plus de facilité, de netteté et de délicatesse , tous les objets de la conversation des honnêtes gens ; et par là elle contribue dans toute l'Europe à un des plus grands agréments de la vie.
Page 60 - Je vous prie de prendre des informations sûres pour m'éclairer sur ce qui se passe à Hambourg, entre autres choses sur ce que fait le sieur Bourrienne, qu'on soupçonne de faire une immense fortune, en contrevenant à mes ordres.
Page 307 - Dumouriez; le voici : c'est que j'eusse été obligé de blâmer la conduite de quelques individus qui ont fait manquer en partie le projet que j'avais conçu pour sauver la République de la crise où la jetaient les trahisons de ce monstre; la vérité m'eût forcé de dire que si on n'avait pas ralenti l'ardeur des volontaires, si on n'avait pas crié : « En retraite! « nous tenions Dumouriez; son cheval avait été blessé sous lui, onze chevaux de sa suite étaient pris, l'Escaut était là...
Page 307 - Alors seulement il m'a été possible de remplir le désir de mes braves frères d'armes. Un autre motif m'a empêché de vous donner des détails sur la fusillade de Dumouriez; le voici : c'est que j'eusse été obligé de blâmer la conduite de quelques individus qui ont fait manquer en partie le projet que j'avais conçu pour sauver la République de la crise où la jetaient les trahisons de ce monstre; la vérité m'eût forcé de dire que si on n'avait pas ralenti l'ardeur des volontaires, si...
Page 382 - Si la guerre recommence ici, ce qui est possible, ce ne sera pas ma faute à moi, qui ai fait plus que mes forces physiques ne me le permettaient ; ce sera la faute du gouvernement, qui ne sera pas venu à mon secours.