histoire de la poesie1854 |
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... hélas ! une fille chérie A mes dons , à mes pleurs , au ministre sacré Du dieu , dont l'arc terrible est au loin révéré . › 9 Il dit l'or qu'il présente et les larmes d'un père , Et d'un prêtre des dieux l'auguste caractère , Font ...
... hélas ! une fille chérie A mes dons , à mes pleurs , au ministre sacré Du dieu , dont l'arc terrible est au loin révéré . › 9 Il dit l'or qu'il présente et les larmes d'un père , Et d'un prêtre des dieux l'auguste caractère , Font ...
Page 116
... Hélas ! » je vois maintenant que je n'assisterai point mon père dans » sa vieillesse ! Je suis dans les plaines de Troie et loin de ma >> patrie pour ton malheur et pour celui de ta race . J'ai appris >> que toi - même , ô vieillard ...
... Hélas ! » je vois maintenant que je n'assisterai point mon père dans » sa vieillesse ! Je suis dans les plaines de Troie et loin de ma >> patrie pour ton malheur et pour celui de ta race . J'ai appris >> que toi - même , ô vieillard ...
Page 121
... le pleure maintenant dans Ilion . Cher époux , la mort › plonge tes parents dans la tristesse , et elle me réserve à moi › des douleurs profondes ! Hélas ! tu ne m'as point tendu la > main en rendant le dernier soupir , tu ne HOMÈRE . 121.
... le pleure maintenant dans Ilion . Cher époux , la mort › plonge tes parents dans la tristesse , et elle me réserve à moi › des douleurs profondes ! Hélas ! tu ne m'as point tendu la > main en rendant le dernier soupir , tu ne HOMÈRE . 121.
Page 139
... Hélas ! » faut - il qu'après avoir vu cette terre que je ne croyais plus re- » voir , après avoir traversé les vagues de la mer , je ne trouve » aucun moyen de sortir des flots ! Tous ces rochers sont escar- » pés , et l'eau se brise ...
... Hélas ! » faut - il qu'après avoir vu cette terre que je ne croyais plus re- » voir , après avoir traversé les vagues de la mer , je ne trouve » aucun moyen de sortir des flots ! Tous ces rochers sont escar- » pés , et l'eau se brise ...
Page 221
... le dégoût émoussée , Bientôt elle s'appesantit . Hélas ! vains mortels que nous sommes , Le mérite des autres hommes En secret nous blesse et nous nuit . Qu'importe ? Poursuis ta carrière ; Héros toujours victorieux , PINDARE . 221.
... le dégoût émoussée , Bientôt elle s'appesantit . Hélas ! vains mortels que nous sommes , Le mérite des autres hommes En secret nous blesse et nous nuit . Qu'importe ? Poursuis ta carrière ; Héros toujours victorieux , PINDARE . 221.
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Common terms and phrases
Acharniens Achille Agamemnon ALCESTE âme amour Andromaque Antigone Aristophane Athènes Athéniens BACCHUS beauté caractère chants charme cher choeur chose Clytemnestre cœur comédie courage CYCLOPE d'Achille d'Athènes d'Eschyle d'Euripide d'Homère d'Ulysse déesse DICÉOPOLIS Dieu dieux divinité douleur dramatique drame drame satyrique Edipe ELECTRE enfants ennemis épouse époux Eschyle ÉTÉOCLE Euripide fable femmes fille fils frère génie genre gloire grecque Grecs guerre Hector Hécube Hélas Hélène Hercule héros Hésiode HIPPOLYTE Homère hommes infortuné IPHIGÉNIE JASON jeune Jocaste jour Jupiter l'âme l'amour l'art l'homme L'INJUSTE larmes lyrique main malheur maux MÉDÉE Ménélas ment mère mœurs morale mort mortels Oreste paroles passions pathétique patrie peinture père personnages peuple Philoctète pièce PISTHÉTÉRUS pitié pleure poème poésie poète poétique Polynice Polyxène Priam Prométhée reste rien satyrique scène sentiments seul SILÈNE sœur Sophocle sort spectateurs STREPSIADE sujet Télèphe terre terrible théâtre Thèbes Thésée tragédie tragédie grecque tragique Troie Troyens Ulysse vengeance vieillard voilà yeux
Popular passages
Page 20 - C'est lui-même; il m'échauffe, il parle : mes yeux s'ouvrent, Et les siècles obscurs devant moi se découvrent. Lévites, de vos sons prêtez-moi les accords, Et de ses mouvements secondez les transports. LE CHOEUR chante au son de toute la symphonie des instruments. Que du Seigneur la voix se fasse entendre, Et qu'à nos cœurs son oracle divin Soit ce qu'à l'herbe tendre Est, au printemps, la fraîcheur du matin.
Page 20 - En ce temple où tu fais ta demeure sacrée, Et qui doit du soleil égaler la durée. Mais d'où vient que mon cœur frémit d'un saint effroi ? Est-ce l'esprit divin qui s'empare de moi ? C'est lui-même ; il m'échauffe ; il parle ; mes yeux s'ouvrent, Et les siècles obscurs devant moi se découvrent.
Page 354 - L'homme n'est qu'un roseau le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser. Une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien.
Page 283 - Il n'est point de serpent ni de monstre odieux Qui, par l'art imité, ne puisse plaire aux yeux : D'un pinceau délicat l'artifice agréable Du plus affreux objet fait un objet aimable.
Page 271 - Le théâtre perdit son antique fureur : La Comédie apprit à rire sans aigreur, Sans fiel et sans venin sut instruire et reprendre , Et plut innocemment dans les vers de Ménandre. Chacun, peint avec art dans ce nouveau miroir, S'y vit avec plaisir, ou crut ne s'y point voir : 1 Les Nuées, comédie d'Aristophane.
Page 19 - Voilà donc quels vengeurs s'arment pour ta querelle, Des prêtres, des enfants, ô Sagesse éternelle! Mais, si tu les soutiens, qui peut les ébranler? Du tombeau, quand tu veux, tu sais nous rappeler; Tu frappes et guéris, tu perds et ressuscites.
Page 21 - Sort du fond du désert, brillante de clartés, Et porte sur le front une marque immortelle? Peuples de la terre, chantez : Jérusalem renaît plus charmante et plus belle. D'où lui viennent de tous côtés Ces enfants qu'en son sein elle n'a point portés...
Page 245 - C'est par là que Molière, illustrant ses écrits, Peut-être de son art eût remporté le prix, Si, moins ami du peuple, en ses doctes peintures II n'eût...
Page 148 - On dirait que pour plaire, instruit par la ; [nature, Homère ait à Vénus dérobé sa ceinture. ** Son livre est d'agréments un fertile trésor : Tout ce qu'il a touché se convertit en or, Tout reçoit dans ses mains une nouvelle grâce : soo Partout il divertit et jamais il ne lasse.
Page 30 - Jamais aucune main sur la corde sonore Ne guida dans ses jeux ma main novice encore ; L'homme n'enseigne pas ce qu'inspire le ciel : Le ruisseau n'apprend pas à couler dans sa pente , L'aigle à fendre les airs d'une aile indépendante , L'abeille à composer son miel.