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Alphonse Dufour. " Eh quoi les chagrins , les alarmes , Viendraient flétrir ton front si pur , Et dans l'amertume des larmes Se terniraient tes yeux d'azur ? “ Non , non , dans les champs de l'espace Avec moi tu vas t'envoler ; La ...
Alphonse Dufour. " Eh quoi les chagrins , les alarmes , Viendraient flétrir ton front si pur , Et dans l'amertume des larmes Se terniraient tes yeux d'azur ? “ Non , non , dans les champs de l'espace Avec moi tu vas t'envoler ; La ...
Page 10
... fronts . Ce vaste mont , fendu de la base à la crête , Des temps amoncelés nous trahit l'épaisseur ; Cette plante me livre une vertu secrète , La ruse de l'oiseau se transmet au chasseur . Ce pâtre industrieux nous instruit , sur les ...
... fronts . Ce vaste mont , fendu de la base à la crête , Des temps amoncelés nous trahit l'épaisseur ; Cette plante me livre une vertu secrète , La ruse de l'oiseau se transmet au chasseur . Ce pâtre industrieux nous instruit , sur les ...
Page 62
... front , le brasier dans son âme . Vos jours pleins de travail , austères , soucieux , Hors l'amour de nous deux , n'ont jamais vu de fête ; Mais vous aurez aussi , ma mère , je le veux , Du soleil et des fleurs autour de votre tête ...
... front , le brasier dans son âme . Vos jours pleins de travail , austères , soucieux , Hors l'amour de nous deux , n'ont jamais vu de fête ; Mais vous aurez aussi , ma mère , je le veux , Du soleil et des fleurs autour de votre tête ...
Page 63
... front ceint du bandeau d'épines ; Il ne m'appartient pas ce don que je vous rends : Eclose en moi , la fleur a chez vous ses racines . Si l'homme droit et pur qui lira cette page Essuie , en la tournant , une larme à ses yeux ; S'il ...
... front ceint du bandeau d'épines ; Il ne m'appartient pas ce don que je vous rends : Eclose en moi , la fleur a chez vous ses racines . Si l'homme droit et pur qui lira cette page Essuie , en la tournant , une larme à ses yeux ; S'il ...
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Common terms and phrases
absinthe Adieu âme amour avez beau belle bientôt Bossuet Brins d'osier bruit chant Charlemagne charme Chateaubriand cher Chœur choléra chose chrétien ciel cieux cœur combat consoler Corrèze coup courage Courbez-vous Dieu dire divine doigts du vannier donne douce doux Durandal encens enfant Ésope Est-ce êtes femme Fénelon fils fleurs front gémissements genoux Gérald gloire hanneton heure heureux Homère homme immortalité Israël Israelite j'ai jamais Jésus jeune jour Jourdain l'amour l'enfant l'homme laisse laniste Louis XIV Mahomet main Maître de Philosophie ment mère Messieurs monde Monsieur montagnes mort mourir noisetiers nuit NUIT EN AMERIQUE oiseaux one's one's self pain Palissy parler passer patrie pauvre père petit petits peuple pieds plaisirs pleurs poète porte prep prière Rapelle-toi regard reste rien saint Seigneur sentiment sera sœur soir soleil Soudan terre tête tombe Trissotin trouve Vadius vais veux voilà vois voix Xantus yeux
Popular passages
Page 179 - C/ELUI qui règne dans les cieux, et de qui relèvent tous les empires, à qui seul appartient la gloire, la majesté et l'indépendance, est aussi le seul qui se glorifie de faire la loi aux rois, et de leur donner, quand il lui plaît, de grandes et de terribles leçons.
Page 141 - Un mal qui répand la terreur, Mal que le ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom), Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faisait aux animaux la guerre.
Page 2 - La Cigale, ayant chanté Tout l'Été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'Oût, foi d'animal, Intérêt et principal.
Page 4 - Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le phénix des hôtes de ces bois. » A ces mots le corbeau ne se sent pas de joie ; Et, pour montrer sa belle voix, Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie.
Page 64 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs. Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs. Salut, champs que j'aimais, et vous, douce verdure, Et vous, riant exil des bois ! Ciel, pavillon de l'homme^ admirable nature, Salut pour la dernière fois ! Ah ! puissent voir longtemps votre beauté sacrée, Tant d'amis sourds à mes adieux ! Qu'ils meurent pleins de jours, que leur mort soit pleurée, Qu'un ami leur ferme les yeux.
Page 77 - Mon beau voyage encore est si loin de sa fin! Je pars, et des ormeaux qui bordent le chemin J'ai passé les premiers à peine. Au banquet de la vie à peine commencé, Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine.
Page 99 - Une heure après le coucher du soleil, la lune se montra au-dessus des arbres, à l'horizon opposé. Une brise embaumée, que cette reine des nuits amenait de l'orient avec elle, semblait la précéder dans les forêts comme sa fraîche haleine.
Page 66 - Nous cherchâmes, tant qu'il fit jour, notre chemin à travers ces bois; mais plus nous cherchions, plus nous nous perdions, et il était nuit noire quand nous arrivâmes près d'une maison fort noire. Nous y entrâmes, non sans soupçon , mais comment faire ? Là nous trouvons toute une famille de charbonniers à table, où du premier mot on nous invita.
Page 77 - S'éveillait, écoutant ces plaintes, cette voix, Ces vœux d'une jeune captive ; Et secouant le...
Page 186 - ... une sentence de grâce, ou un arrêt de mort éternelle : car vous avez beau vous flatter, vous mourrez tels que vous êtes aujourd'hui ; tous ces désirs de changement qui vous amusent, vous amuseront jusqu'au lit de la mort; c'est l'expérience de tous les siècles ; tout ce que vous trouverez alors en vous de nouveau sera peut-être un compte un peu plus grand que celui que vous auriez...