A French Reader |
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... bientĂŽt dix - huit ans . â Quel est l'aĂźnĂ© des deux ? â C'est lui ; moi , je n'ai que seize ans et demi .. - Vous ĂȘtes le plus grand , cependant . Mon frĂšre n'est pas grand pour son Ăąge . - A - t - il fini ses Ă©tudes ? Non , pas encore ...
... bientĂŽt dix - huit ans . â Quel est l'aĂźnĂ© des deux ? â C'est lui ; moi , je n'ai que seize ans et demi .. - Vous ĂȘtes le plus grand , cependant . Mon frĂšre n'est pas grand pour son Ăąge . - A - t - il fini ses Ă©tudes ? Non , pas encore ...
Page 29
... pinceau , de vous faire rien de plus juste . Veuillez vous boutonner et vous regarder dans la glace . Il fait des plis sur les cĂŽtĂ©s . - C'est l'effet du pre- â mier moment ; cela disparaĂźtra bientĂŽt . J'espĂšre que Mon- FRENCH READER . 29.
... pinceau , de vous faire rien de plus juste . Veuillez vous boutonner et vous regarder dans la glace . Il fait des plis sur les cĂŽtĂ©s . - C'est l'effet du pre- â mier moment ; cela disparaĂźtra bientĂŽt . J'espĂšre que Mon- FRENCH READER . 29.
Page 30
Alphonse Dufour. mier moment ; cela disparaĂźtra bientĂŽt . J'espĂšre que Mon- sieur sera satisfait , et voudra bien nous garder sa pratique . Au revoir . â Monsieur , votre trĂšs - humble . LA COLLATION . · Ne vous en allez donc pas ; on va ...
Alphonse Dufour. mier moment ; cela disparaĂźtra bientĂŽt . J'espĂšre que Mon- sieur sera satisfait , et voudra bien nous garder sa pratique . Au revoir . â Monsieur , votre trĂšs - humble . LA COLLATION . · Ne vous en allez donc pas ; on va ...
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... bientÎt atteint les plus beaux quartiers de la ville . En un instant , tous ces palais que nous avions admirés pour l'élégance de leur archi- tecture et le goût de leur ameublement , furent consumés par la violence des flammes . Leurs ...
... bientÎt atteint les plus beaux quartiers de la ville . En un instant , tous ces palais que nous avions admirés pour l'élégance de leur archi- tecture et le goût de leur ameublement , furent consumés par la violence des flammes . Leurs ...
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... bientĂŽt , et n'oubliez pas les bonbons . - â LE BILLARD . Voici un excellent billard , si vous voulez , nous ferons une partie . Avec plaisir . Comment . . . un billard sans blouse ? On joue ici le jeu parisien . Je commence , nous ...
... bientĂŽt , et n'oubliez pas les bonbons . - â LE BILLARD . Voici un excellent billard , si vous voulez , nous ferons une partie . Avec plaisir . Comment . . . un billard sans blouse ? On joue ici le jeu parisien . Je commence , nous ...
Contents
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Common terms and phrases
absinthe Adieu Ăąme amour avez beau belle BersabĂ© Berthe Bossuet Brins d'osier bruit chant Charlemagne charme Chateaubriand cher ChĆur chose Chour chrĂ©tien ciel cieux cĆur combat consolation coup courage Dahomey Dieu dire divine donne douce doux Durandal enfant Ăsope Est-ce ĂȘtes FĂ©nelon fils fleurs front gĂ©missements genoux GĂ©rald gloire hanneton HĂ©las heure homme Idumea iĂšre IsraĂ«l Israelite j'ai jamais JĂ©sus jeune jour Jourdain l'amour l'enfant l'homme laisse laniste Louis XIV Machaon Mahomet main MaĂźtre de Philosophie make ment mĂšre Messieurs monde Monsieur mort mourir n. m. pl nuit NUIT EN AMERIQUE oiseaux one's one's self pain parler passer patrie pauvre pĂšre petit peuple pieds plaisirs pleurs porte prep priĂšre Rapelle-toi regard reste rice rien saint sang Seigneur sentiment sera seul shiver Sion sĆur soir soleil Soudan terre tĂȘte tion tombe Trissotin trouve Vadius vais veux voilĂ vois voix Xantus yeux
Popular passages
Page 179 - C/ELUI qui rĂšgne dans les cieux, et de qui relĂšvent tous les empires, Ă qui seul appartient la gloire, la majestĂ© et l'indĂ©pendance, est aussi le seul qui se glorifie de faire la loi aux rois, et de leur donner, quand il lui plaĂźt, de grandes et de terribles leçons.â
Page 141 - Un mal qui rĂ©pand la terreur, Mal que le ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom), Capable d'enrichir en un jour l'AchĂ©ron, Faisait aux animaux la guerre.â
Page 2 - La Cigale, ayant chantĂ© Tout l'ĂtĂ©, Se trouva fort dĂ©pourvue Quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prĂȘter Quelque grain pour subsister Jusqu'Ă la saison nouvelle. Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'OĂ»t, foi d'animal, IntĂ©rĂȘt et principal.â
Page 4 - Sans mentir, si votre ramage Se rapporte Ă votre plumage, Vous ĂȘtes le phĂ©nix des hĂŽtes de ces bois. » A ces mots le corbeau ne se sent pas de joie ; Et, pour montrer sa belle voix, Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie.â
Page 64 - Au banquet de la vie, infortunĂ© convive, J'apparus un jour, et je meurs. Je meurs, et sur ma tombe, oĂč lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs. Salut, champs que j'aimais, et vous, douce verdure, Et vous, riant exil des bois ! Ciel, pavillon de l'homme^ admirable nature, Salut pour la derniĂšre fois ! Ah ! puissent voir longtemps votre beautĂ© sacrĂ©e, Tant d'amis sourds Ă mes adieux ! Qu'ils meurent pleins de jours, que leur mort soit pleurĂ©e, Qu'un ami leur ferme les yeux.â
Page 77 - Mon beau voyage encore est si loin de sa fin! Je pars, et des ormeaux qui bordent le chemin J'ai passĂ© les premiers Ă peine. Au banquet de la vie Ă peine commencĂ©, Un instant seulement mes lĂšvres ont pressĂ© La coupe en mes mains encor pleine.â
Page 99 - Une heure aprĂšs le coucher du soleil, la lune se montra au-dessus des arbres, Ă l'horizon opposĂ©. Une brise embaumĂ©e, que cette reine des nuits amenait de l'orient avec elle, semblait la prĂ©cĂ©der dans les forĂȘts comme sa fraĂźche haleine.â
Page 66 - Nous cherchĂąmes, tant qu'il fit jour, notre chemin Ă travers ces bois; mais plus nous cherchions, plus nous nous perdions, et il Ă©tait nuit noire quand nous arrivĂąmes prĂšs d'une maison fort noire. Nous y entrĂąmes, non sans soupçon , mais comment faire ? LĂ nous trouvons toute une famille de charbonniers Ă table, oĂč du premier mot on nous invita.â
Page 77 - S'Ă©veillait, Ă©coutant ces plaintes, cette voix, Ces vĆux d'une jeune captive ; Et secouant le...â
Page 186 - ... une sentence de grĂące, ou un arrĂȘt de mort Ă©ternelle : car vous avez beau vous flatter, vous mourrez tels que vous ĂȘtes aujourd'hui ; tous ces dĂ©sirs de changement qui vous amusent, vous amuseront jusqu'au lit de la mort; c'est l'expĂ©rience de tous les siĂšcles ; tout ce que vous trouverez alors en vous de nouveau sera peut-ĂȘtre un compte un peu plus grand que celui que vous auriez...â