Histoire de la philosophie morale et politique: dans l'antiquité et les temps modernes, Volume 1

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Popular passages

Page 216 - Je vous donnerai les clefs du royaume des cieux; et tout ce que vous lierez sur la terre sera lié dans le ciel, et tout ce que vous délierez sur la terre sera délié dans le ciel.
Page 348 - Et je te donnerai les clefs du • royaume des cieux; et tout ce que tu lieras sur la terre sera lié « dans le ciel, et tout ce que tu délieras sur la terre sera délié dans
Page 211 - Prenez mon joug sur vous, et apprenez de moi que je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos de vos âmes-, 30.
Page 513 - Tous les politiques sont d'accord que si les peuples étaient trop à leur aise, il serait impossible de les contenir dans les règles de leur devoir...
Page 442 - Un prince doit s'efforcer de se faire une réputation de bonté, de clémence, de piété, de fidélité à ses engagements et de justice; il doit avoir toutes ces bonnes qualités, mais rester assez maître de soi pour en déployer de contraires, lorsque cela est expédient.
Page vii - On me demandera si je suis prince ou législateur pour écrire sur la politique. Je réponds que non , et que c'est pour cela que j'écris sur la politique. Si j'étois prince ou législateur , je ne perdrais pas mon temps à dire ce qu'il faut faire ; je le ferois, ou je me tairois.
Page 217 - Il n'ya ni Gentil ni Juif, ni circoncis ni incirconcis, ni barbare ni Scythe, ni esclave ni maître, mais il ya en toutes choses et pour tous le Christ.
Page 139 - On convint de donner et de recevoir dans les échanges une matière qui , utile par elle-même, fût aisément maniable dans les usages habituels de la vie ; ce fut du fer, par exemple, de l'argent, ou telle autre substance analogue, dont on détermina d'abord la dimension et le poids , et qu'enfin , pour se délivrer des embarras de continuels mesurages, on marqua d'une empreinte particulière, signe de sa valeur.
Page 232 - Apolog. n, 2. bertéait élu domicile. Elle est, par-dessus tout, volontaire, et nul ne peut être forcé à adorer ce qu'il ne veut pas. Il peut le feindre, mais non pas le vouloir. Quelques-uns, vaincus par la crainte des supplices, ou par les tortures elles-mêmes, ont pu consentir à des sacrifices exécrables...
Page 512 - Si les lettres étaient profanées à toutes sortes d'esprits, on verrait plus de gens capables de former des doutes que de les résoudre, et beaucoup seraient plus propres à s'opposer aux vérités qu'à les défendre.

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