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Exemple où les propositions incidentes nuisent à
l'arrondissement d'une période. Exemple d'une p
riode traînante. Exemple d'une suite de phrases
mal liées. Suite de phrases bien liées. Un mot dé-
placé rend une construction vicieuse. Exemple.
Autre. Autre. Il ne suffit pas de concevoir bien
pour s'énoncer clairement.

CHAPITRE X.

Des constructions elliptiques, pag. 103.
Il faut débarrasser le discours de tout mot qui
se supplée facilement. On sous-entend un mot qu'ca
ne veut pas répéter. On le sous-entend avec des
modifications qu'il n'avoit pas. On sous-entend des
mots qui n'ont pas été énoncés. Difficultés peu
fondées des grammairiens. Règle générale.

CHAPITRE X I.

Des amphibologies, pag. 111.

Cause des amphibologies. Exemple. Règles pour
éviter les amphibologies. Les règles particulières
varient a ce sujet. Le même pronom ne peut se
rapporter au même nom, qu'autant qu'il est tor-
jours dans la même subordination. Il ne faut pas
que le genre et le nombre marquent seuls le rap
port des pronoms. Le pronom doit toujours se rap
porter à l'idée dont l'esprit est préoccupé. Cette
règle donne lieu a des tours élégans. Il est quel-
quefois bien d'employer les pronoms dans un orcre
renversé, a celui des noms auxquels ils se rap-
portent. Le pronom il doit toujours se rapporter
a un nom déterminé. De l'usage des pronoms yet,

n. Les pronoms relatifs à un même nom peuvent
Etre subordonnés différemment. Comment on pré-
ient les amphibologies des adjectifs son, sa, ses.

CHAPITRE DERNIER.
Exemples de quelques expressions qui rendent des
constructions louches ou du moins embarras-
sées, pag. 129.

Premier exemple. Second. Troisième. Qua-
crième. Cinquième. Sixième. Derniers exemples.
SECON D.

LIVRE

Des différentes espèces de tours, pag. 134.
La liaison des idées est le principe qui doit ex-
pliquer tout l'art d'écrire. En quoi consiste l'élé-
gance.

CHAPITRE I.

Des accessoires propres à développer une pensée,
pag. 136.

Il faut qu'une pensée se développe d'elle-même.
Les accessoires sont les modifications des idées
principales. Comment on les doit choisir. Règles
pour le choix des accessoires du sujet. La règle
est la même pour les accessoires de l'attribut Le
sujet et l'attribut déterminent les accessoires du
verbe. Dans tous les cas, la plus grande liaison
des idées est l'unique règle. Il ne faut pas s'ap-
pesantir sur une idée qu'on veut modifier. Pour-
quoi les critiques que je fais paroitront trop sé-
vères. Il ne faut pas employer des accessoires
étrangers. Le vague des accessoires est un autre

défaut. Il ne faut pas, en choisissant des acces-
soires, associer des idées contraires. Il faut que
tout ce qu'on dit prépare ce qu'on va dire. Le
développement d'une pensée doit faire un en-
semble où tout se trouve dans une exacte pro-
portion. Souvent les idées se lient et se dévelop-
pent par le contraste.

CHAPITRE II.

Des tours en général, pag. 156.

Une même pensée est, suivant les circons
tances, susceptible de différens accessoires. Ce
qu'on entend par tours. Différentes espèces de

tours.

CHAPITRE I I I.

Des périphrases, pag. 159.

Ce qu'on entend par périphrases. Une péri-
phrase caractérise la chose dont on parle. Le
choix n'en est pas indifférent. Les périphrases peu-
vent faire connoître le jugement que nous por-
tons d'une chose. Précaution nécessaire lorsqu'on
veut exprimer une chose par plusieurs périphrases.
Occasion où la périphrase ne doit pas être pré-
férée au terme propre. Usage des périphrases qui
sont des définitions ou des analyses.

CHAPITRE

I V.

Des comparaisons, pag. 168.

Comment les tours figurés font le charme du
style. Avec quel discernement on les doit em-
ployer. Ce qui fait la beauté d'une comparaison.

1 faut prendre garde qu'elle ne soit mal choi-
ie. Il ne faut pas comparer des choses qui ne
e ressemblent pas. Il faut bien connoître les
hoses que l'on compare. Les longueurs gatent une
comparaison. Les écarts nuisent aux comparai-
ons. Il ne suffit pas qu'une comparaison soit juste.

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Des oppositions et des antithèses, pag. 186.
Les pensées s'embellissent par le contraste. En
quoi diffèrent les oppositions et les antithèses. Cas
où l'opposition doit être préférée à l'antithèse. Cas
où l'antithèse doit être préférée à l'opposition. Abus
des antithèses.

CHAPITRE V I.

Des tropes, pag. 195.

Sens propre et sens emprunté. Les tropes sont
des mots pris dans un sens emprunté. Différence
entre le nom propre et le mot propre. Comment
les mots passent à une signification empruntée.
La nature des tropes est de faire image. Les
images doivent répandre la lumière. Elles doi-
vent donner à la chose le caractère qui lui est
propre. Comment, du propre au figuré, un mot
change de signification. Les tropes peuvent donner
de la précision. Lorsqu'ils allongent le discours, ils
peuvent être préférables au terme propre. Il faut
substituer un trope à un trope qui ne paroît plus
l'être. Comment un trope s'accommode au sujet.
Comment un trope s'accommode au jugement que
nous portons. Comment un trope s'accommode aux

sentimens que nous éprouvons. De l'usage des mé-
taphores. De l'usage de l'hyperbole. De l'usage des
symboles. Deux tropes qui se contrarient rendent
mal une pensée. Un seul trope la rend mal, lors-
qu'il n'a pas de rapport à la chose dont on parle.
Il la rend mal, lorsqu'il n'a qu'un rapport vague.
Il ne faut pas changer les accessoires établis par
l'usage. On peut quelquefois employer une figure,
quoiqu'elle fasse une image désagréable. Un trope
n'est pas à blâmer, parce qu'il est tiré de loin. Il
ne l'est pas non plus, parce qu'il n'a pas encore
été employé.

CHAPITRE VI I.

Comment on prépare et comment on soutient les
figures, pag. 219.

Exemples de figures préparées. Exemples de
figures soutenues. Exemples de figures mal prépa-
rées ou mal soutenues.

CHAPITRE VIII.

Considérations sur les tropes, pag. 228.

Deux sortes de tropes. Analogie qui fait passer
les mots par différentes acceptions. Si on ne saisit
pas cette analogie, les beautés du langage échap-
pent. C'est à l'écrivain à rendre cette analogie fa-
cile à saisir. Les mêmes figures ne réussissent pas
dans toutes les langues. Source des richesses d'une
langue. Avantages des tropes. Peut-on craindre
de les prodiguer?

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