serez cependant que vous pourriez en reil cas considérer la subordonnée et principale comme ne formant qu'une ule phrase. Car dans le vrai, l'un de

verbes n'est qu'une circonstance de autre paroît tomber, c'est tombe en parence; voir s'élever; c'est s'élève à vue. Mais il importe peu de discuter s'il a ici deux propositions, ou s'il n'y en qu'une.

3o. La subordonnée se lie à la princiale par des prépositions. Les arts et les ciences suffiroient seuls pour rendre un ègne glorieux, pour étendre la langue 'une nation peut-être plus que des conuétes, pour lui donner l'empire de l'esrit et de l'industrie, également flatteur t utile, pour attirer chez elle une mulitude d'étrangers qui l'enrichissent par

eur curiosité.

4°. Par des gérondifs. Vous étudiez une montre, et vous en découvrez le méchanisme en la décomposant, en arrangeant sous vos yeux toutes les parties, en les examinant séparément, en observant 5

comment elles s'agencent les unes a les autres, et en considérant comme le mouvement passe du premier ress jusqu'à l'aiguille : en analysant de même manière les opérations de vo ame, vous découvrirez ce qui se pas en vous, quand vous pensez. Remarqu c'est proprement la préposition en

que

lie ici les phrases.

5o. Enfin par des participes. Les homm se sont rassemblés, ont báti des ville et ont formé des sociétés: considérant malheurs d'une vie sauvage, réfléch sant sur les secours qu'ils pouvoient donner, découvrant de nouveaux moye pour soulager leurs besoins, mençant à donner naissance aux arts aux sciences.

et co

Ce sont-là des participes; car vous pou riez dire parce qu'ils ont considér qu'ils ont réfléchi, etc.

Vous sentez que ces sortes de propo tions subordonnées peuvent se transpo comme toutes les autres. Mais n'insér aucune expression qui puisse suspendre

et rendre vos constructions lanssantes. Prenez garde aux équivoques; ouvenez-vous que le rapport de chaque position subordonnée doit se faire sentir le premier mot.

Place des propositions inciden

tes.

CHAPITRE VIII.

De la construction des proposition incidentes.

LA
A place d'une proposition incidente e
après le substantif qu'elle modifie.

Les substances ont des qualités rel
tives que nous pouvons connoître,
elles en ont aussi que nous ignorero
toujours,
, parce qu'il y a des compart
sons que nous ne pouvons pas faire. Ell
ont encore des qualités absolues q
nous ne découvrirons jamais. Les p
losophes, qui se sont flattés de remon
à l'essence des choses, et qui ont c
trouver la nature de l'ame et du corp
ont dit des absurdités, ou ont pronon
des mots qui ne signifient rien. Les sen
que
la nature nous a donnés pour
au-dehors, ne nous apprennent po
pourquoi les corps sont étendus, et no
interrogeons envain cette conscience p
laquelle nous observons ce qui se pas

nous, nous ne pouvons savoir ce qui nd l'ame sensible.

Dans cet exemple, il y a des proposins incidentes qui suivent immédiatement substantif qu'elles modifient, des comraisons que; les philosophes qui. Il y a d'autres qui ne sont séparées du subsdes adjectifs des qualités 'atives que.. des qualités absolues

atif que par

:

e. Elles doivent être ainsi séparées, parce 'elles ne se rapportent pas uniquement substantif qualités; mais au substantif jà modifié par les adjectifs, relatives absolues. A ne consulter que les mots, séparation est encore plus grande dans es en ont aussi que nous ignorerons jours: mais si vous consultez le sens, as verrez que la proposition incidente t immédiatement le substantif qu'elle difie: car elles en ont aussi est la même ose qu'elles ont aussi des qualités. squ'ici les constructions ne souffrent point difficultés. Je crois cependant à propos vous arrêter sur quelques exemples. En ci:

Le microscope nous fait voir des ani