Fables, suivies de Philémon et Baucis et des Filles de Minée |
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... pense avoir justifié suffisamment mon dessein : quant à l'exécution , le public en sera juge . On ne trouvera pas ici l'élégance ni l'extrême brèveté , qui rendent Phèdre re- commandable : ce sont qualités au - dessus de ma portée ...
... pense avoir justifié suffisamment mon dessein : quant à l'exécution , le public en sera juge . On ne trouvera pas ici l'élégance ni l'extrême brèveté , qui rendent Phèdre re- commandable : ce sont qualités au - dessus de ma portée ...
Page 73
... pense . Tout babillard , tout censeur , tout pédant , Se peut connaître au discours que j'avance . Chacun des trois fait un peuple fort grand : Le Créateur en a béni l'engeance . En toute affaire , ils ne font que songer - ( 1 ) Lokman ...
... pense . Tout babillard , tout censeur , tout pédant , Se peut connaître au discours que j'avance . Chacun des trois fait un peuple fort grand : Le Créateur en a béni l'engeance . En toute affaire , ils ne font que songer - ( 1 ) Lokman ...
Page 82
... 'imprimeur . Nous avons pensé que le plus simple était de nous en rapporter au texte de La Fontaine . ( 8 ) Horace a dit : Quidquid delirant reges plectuntur Achivi , V. - La Chauve - Souris et les deux Belettes 82 FABLES .
... 'imprimeur . Nous avons pensé que le plus simple était de nous en rapporter au texte de La Fontaine . ( 8 ) Horace a dit : Quidquid delirant reges plectuntur Achivi , V. - La Chauve - Souris et les deux Belettes 82 FABLES .
Page 101
... . , IV , 5 , Poeta . ( 2 ) La Fontaine , dit Ch . Nodier , ne pense plus ici à son précepte : Il ne faut jamais dire aux gens Écoutez un bon mot , oyez une merveille . En donnant à leur mère tant , Payable quand chacune 9 . LIVRE II . 101.
... . , IV , 5 , Poeta . ( 2 ) La Fontaine , dit Ch . Nodier , ne pense plus ici à son précepte : Il ne faut jamais dire aux gens Écoutez un bon mot , oyez une merveille . En donnant à leur mère tant , Payable quand chacune 9 . LIVRE II . 101.
Page 106
... pense . Vous connaissez mon bien , mon talent , ma naissance : Dois - je dans la province établir mon séjour , Prendre emploi dans l'armée , ou bien charge à la cour ? Tout au monde est mêlé d'amertume et de charmes : La guerre a ses ...
... pense . Vous connaissez mon bien , mon talent , ma naissance : Dois - je dans la province établir mon séjour , Prendre emploi dans l'armée , ou bien charge à la cour ? Tout au monde est mêlé d'amertume et de charmes : La guerre a ses ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 213 - L'âne vint à son tour, et dit: J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue ; Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.
Page 53 - II ouvre un large bec, laisse tomber sa proie. Le renard s'en saisit, et dit : Mon bon monsieur, Apprenez que tout flatteur Vit aux dépens de celui qui l'écoute : Cette leçon vaut bien un fromage, sans doute.
Page 161 - J'oppose quelquefois, par une double image, Le vice à la vertu, la sottise au bon sens, Les agneaux aux loups ravissants, La mouche à la fourmi, faisant de cet ouvrage Une ample comédie à cent actes divers, Et dont la scène est l'univers.
Page 76 - Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. — Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel : mais quittez ce souci. Les Vents me sont moins qu'à vous redoutables; Je plie , et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos; Mais attendons la fin.
Page 158 - Les alouettes font leur nid Dans les blés quand ils sont en herbe, C'est-à-dire environ le temps Que tout aime et que tout pullule dans le monde, Monstres marins au fond de l'onde, Tigres dans les forêts, alouettes aux champs.
Page 369 - Cela même est un fruit que je goûte aujourd'hui : J'en puis jouir demain , et quelques jours encore ; Je puis enfin compter l'aurore Plus d'une fois sur vos tombeaux.
Page 212 - Le lion tint conseil, et dit : Mes chers amis, Je crois que le ciel a permis Pour nos péchés cette infortune : Que le plus coupable de nous Se sacrifie aux traits du céleste courroux ; Peut-être il obtiendra la guérison commune.
Page 56 - Le Loup déjà se forge une félicité Qui le fait pleurer de tendresse. Chemin faisant, il vit le col du Chien pelé. Qu'est-ce là ? lui dit-il. - Rien. - Quoi ?rien ?- Peu de chose. - Mais encor ? - Le collier dont je suis attaché De ce que vous voyez est peut-être la cause. - Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas Où vous voulez ? - Pas toujours, mais qu'importé ? - Il importe si bien, que de tous vos repas Je ne veux en aucune sorte, Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor.
Page 227 - Perrette, sur sa tête ayant un pot au lait Bien posé sur un coussinet, ^ Prétendait arriver sans encombre à la ville. Légère et court vêtue, elle allait à grands pas, Ayant mis ce jour-là, pour être plus agile, Cotillon simple et souliers plats.
Page 90 - J'en voulais venir à ce point. XI. LE LION ET LE RAT XII. LA COLOMBE ET LA FOURMI 11 faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde ; On a souvent besoin d'un plus petit que soi. De cette vérité deux fables feront foi, Tant la chose en preuves abonde.