Le Singe de Jupiter et l'Éléphant. | Les deux Taureaux et la Grenouille. Livre XII, fable 21. Le Singe et le Chat. IX, 17. Le Singe et le Dauphin. IV, 7. Le Singe, le Renard, et les Animaux. Livre II, fable 4. Testament expliqué par Ésope. II, 20. Le Thésauriseur et le Singe. XII, 3. Le Singe (le Loup plaidant contre le Tircis et Amarante. VIII, 13. Le Singe, le Lion, et les deux Anes. Le Singe et le Léopard. IX, 3. Le Singe et le Thesauriseur. XII, 3. Le Torrent et la Rivière. VIII, 23. La Tortue et le Lièvre. VI, 10. Le Soleil et les Grenouilles. VI, 12; Tribut envoyé par les Animaux à Le Solitaire, le Juge arbitre, et l'Hos- Les Vautours et les Pigeons. VII, 8. Le Songe d'un Habitant du Mogol. Le Vieillard et l'Ane. VI, 8. Les Souhaits. VII, 6, Le Souriceau, le Cochet, et le Chat. La jeune Souris et le vieux Chat. La Souris métamorphosée en Fille. Le Vieillard et ses Enfants. IV, 18. La Vieille et les deux Servantes. V, 6. Souris (la Querelle des) et des Chats. Les Voleurs et l'Ane. I, 13. Les Souris et le Chat-Huant. XI, 9. Le Statuaire et la Statue de Jupiter. Philémon et Baucis.. 429 436 453 Je ne sais s'il avait raison; Mais que cette humeur soit ou non XVII. La Belette entrée dans un grenier (1). Damoiselle belette, au corps long et flouet (2), Là, vivant à discrétion, La galande fit chère lie (3), Au bout de la semaine, ayant dîné son soûl, C'est, dit-elle, l'endroit: me voilà bien surprise; Un rat, qui la voyait en peine, Lui dit: Vous aviez lors la panse bien moins pleine, Ce que je vous dis là l'on le dit à bien d'autres ; (1) Esop., 12, Vulpes ventre tumefacto; 161, Vulpes esuriens.- Hcrat.. Ep., lib. I, 7. (2) Pour fluet, selon l'usage du xviie siècle. (3) Fit bonne chère. (4) Le visage bouffi Mais ne confondons pas, par trop approfondir, J'ai lu, chez un conteur de fables, Rendait ces derniers misérables : Vrai Cerbère, était craint une lieue à la ronde s N'étaient que jeux auprès de lui. Comme il voit que dans leurs tanières Qu'elles n'osaient sortir, qu'il avait beau chercher, A de certains cordons se tenait par la patte. Se promettent de rire à son enterrement, (1) Esop., 67, 28, Felis et Mures. Phæd., IV, 2, Mustela el Mures Faern., III, 14, Mures el Feles. (2) La Fontaine parle, dans la seconde fable du deuxième livre, du célèbre chat Rodilard. Celui-ci est donc Rodilard second du nom, Rodilard II. Puis ressortant font quatre pas, Mais voici bien une autre fête : Le pendu ressuscite; et, sur ses pieds tombant, Nous en savons plus d'un, dit-il en les gobant: Vous viendrez toutes au logis. Il prophétisait vrai: notre maître Mitis ('), Et, de la sorte déguisé, Se niche et se blottit dans une huche ouverte. Ce fut à lui bien avisé : La gent trotte-menu s'en vient chercher sa perte. Car, quand tu serais sac, je n'approcherais pas. Il était expérimenté, Et savait que la méfiance Est mère de la sûreté. (1) Cet adjectif latin, qui devient ici une sorte de nom propre, est bien appliqué au chat à cause de l'hypocrite douceur de sa face. (2) Les joue, dans le sens vulgaire de les refait, « Affiner un trompeur, circumventorem circumvenire » dit Nicot. Sévigné, de qui les attraits La fable au moins se peut souffrir : Du temps que les bêtes parlaient (3), (1) Esop., 110, Leo et Agricola; 225, Leo et Rusticus. il Leone inamorato, el Contadino. (2) Françoise-Marguerite de Sévigné, fille de la célèbre madame de Sévigné. Elle avait à peu près vingt ans, lorsqu'en 1668 La Fontaine fit paraître cette fable qu'il lui avait dédiée. Ce fut un an après, le 29 janvier 1669, qu'elle épousa M. de Grignan. (3) « Au temps que les bestes parloient (il n'y ha pas trois jours) un paovre lion, etc. (RABELAIS.) |