Histoire des Girondins, Volume 1 |
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... C'était un volontaire de la démocratie . Il rappelait trop par son rôle et par son attitude aux démocrates rangés derrière lui , que , depuis les Gracques jusqu'à lui - même , les tribuns les plus puissants pour servir le peuple étaient ...
... C'était un volontaire de la démocratie . Il rappelait trop par son rôle et par son attitude aux démocrates rangés derrière lui , que , depuis les Gracques jusqu'à lui - même , les tribuns les plus puissants pour servir le peuple étaient ...
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... C'était l'intelligence qu'il armait de la parole . Ces deux forces sont maîtresses de l'homme elles devaient l'être plus tard de l'hu- manité . Le monde intellectuel était né d'une inven- tion matérielle ; il avait promptement grandi ...
... C'était l'intelligence qu'il armait de la parole . Ces deux forces sont maîtresses de l'homme elles devaient l'être plus tard de l'hu- manité . Le monde intellectuel était né d'une inven- tion matérielle ; il avait promptement grandi ...
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... C'était la ré- volte de l'idéal contre la réalité . Il avait été le tribun de la nature , le Gracchus des philosophes ; il n'avait pas fait l'histoire des institutions , il en avait fait le rêve ; mais ce rêve venait du ciel et il y ...
... C'était la ré- volte de l'idéal contre la réalité . Il avait été le tribun de la nature , le Gracchus des philosophes ; il n'avait pas fait l'histoire des institutions , il en avait fait le rêve ; mais ce rêve venait du ciel et il y ...
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... continent , c'était Paris . Les plus petites choses y faisaient un grand bruit . La litté- rature était le véhicule de l'influence française ; la monarchie intellectuelle avait ses livres , son théâtre , ses LIVRE PREMIER . 27.
... continent , c'était Paris . Les plus petites choses y faisaient un grand bruit . La litté- rature était le véhicule de l'influence française ; la monarchie intellectuelle avait ses livres , son théâtre , ses LIVRE PREMIER . 27.
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... c'était l'heure de la victoire . Les deux idées en présence voulaient des combattants et non des juges elles écrasaient ces hommes en s'entre - cho- quant . Dénombrons les principaux chefs de ces divers partis et faisons - les connaître ...
... c'était l'heure de la victoire . Les deux idées en présence voulaient des combattants et non des juges elles écrasaient ces hommes en s'entre - cho- quant . Dénombrons les principaux chefs de ces divers partis et faisons - les connaître ...
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Common terms and phrases
actes applaudissements aristocratie armée assemblée avaient Bailly Barnave Bouillé Brissot C'était Camille Desmoulins Champ-de-Mars chevaux Choiseul citoyens clergé club club des Jacobins cœur comte comte de Fersen constitutionnel cour crime culte Danton décret démocratie députés devait dévouement émigrés ennemis esprit eût factieux factions famille royale fanatisme Fayette femme force foule fuite garde nationale génie Girondins gouvernement guerre Guoguelas haine heures hussards Jacobins jour l'Assem l'Assemblée constituante l'Assemblée nationale l'émigration l'empire l'esprit l'Europe l'homme Lameth législatif liberté lois Louis XVI lui-même lution madame Élisabeth mains marquis de Bouillé ment ministres Mirabeau monarchie municipalité n'avait n'était nation noblesse officiers paroles passions patrie patriotes pensée Péthion peuple philosophie politique populaire portes pouvait pouvoir prêtres prince Prusse puissance qu'un reine république reste Révo Révolution Robespierre royauté s'était Sainte-Menehould sang secret semblait sentait serait serment seul sort Stenay talent terreur tion tribune triomphe trône troupes Tuileries Varennes vices voitures Voltaire voulait
Popular passages
Page 334 - Majestés l'Empereur et le Roi de Prusse sont résolues d'agir promptement, d'un mutuel accord, avec les forces nécessaires, pour obtenir le but proposé et commun. En attendant, elles donneront à leurs troupes les ordres convenables pour qu'elles soient à portée de se mettre en activité.
Page 334 - Majestés, les moyens les plus efficaces relativement à leurs forces, pour mettre le roi de France en état d'affermir, dans la plus parfaite liberté, les bases d'un gouvernement monarchique, également convenable aux droits des souverains et au bien-être de la nation française.
Page 280 - ... de la Révolution, soient éteintes dans une réconciliation générale. Je ne parle pas de ceux qui n'ont été déterminés que par leur attachement pour moi ; pourriez-vous y voir des coupables? Quant à ceux qui, par des excès où je pourrais apercevoir des injures personnelles, ont attiré sur eux la poursuite des Lois, j'éprouve à leur égard que je suis le Roi de tous les Français.
Page 281 - ... loi; d'employer tout le pouvoir qui m'est délégué à maintenir la constitution décrétée par l'Assemblée nationale constituante, et à faire exécuter les lois. «Puisse cette grande et mémorable époque être celle du rétablissement de la paix, de l'union, et devenir le gage du bonheur du peuple et de la prospérité de l'empire!
Page 334 - Prusse, ayant entendu les désirs et les représentations de Monsieur et de M. le comte d'Artois, se déclarent conjointement qu'elles regardent la situation où se trouve actuellement le roi de France comme un objet d'un intérêt commun à tous les souverains de l'Europe.
Page 193 - Les grands ne nous paraissent grands que parce que nous sommes à genoux... Levons-nous !... » Le troisième journaliste, un médecin de quarante ans, né dans la Suisse française, à Neufchâtel, était MARAT.
Page 283 - ... arbre, traçaient, depuis la porte de l'Étoile jusqu'aux Tuileries, une avenue étincelante où se pressait la population de Paris. De distance en distance, des orchestres de musiciens faisaient retentir en accords éclatants la gloire et la joie publiques. M. de La Fayette s'y promena à cheval à la tête de son 'état-major. Sa présence semblait placer les serments du peuple et du roi sous la garde des citoyens armés. Le roi, la reine et leurs enfants y parurent en voiture à onze heures...
Page 410 - ... que si le feu du ciel était au pouvoir des hommes, il faudrait en frapper ceux qui attentent à la liberté des peuples.
Page 187 - ... ressentiment contre un homme, qu'il s'agit de prononcer. Or, je demande aujourd'hui à celui de vous tous qui pourrait avoir conçu contre le chef du pouvoir exécutif toutes les préventions , tous les...
Page 162 - Sire, Votre Majesté connaît mon attachement pour elle ; mais je ne lui ai pas laissé ignorer que, si elle séparait sa cause de celle du peuple , je resterais du côté du peuple.