Œuvres choisies |
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Popular passages
Page 350 - Qu'en un lieu, qu'en un jour, un seul fait accompli Tienne jusqu'à la fin le théâtre rempli.
Page 289 - Quel désordre ! quelle irrégularité ! Nul goût, nulle connaissance des véritables beautés du théâtre : les auteurs aussi ignorants que les spectateurs ; la plupart des sujets extravagants et dénués de vraisemblance ; point de mœurs, point de caractères ; la diction encore plus vicieuse que l'action, et dont les pointes et de misérables jeux de mots faisaient le principal ornement : en un mot toutes les règles de l'art, celles même de l'honnêteté et de la bienséance, partout violées.
Page 177 - C'est que je le garde : Voilà mon dernier mot." Ce refus effronté Avec un grand scandale au prince est raconté.
Page 176 - Sur le riant coteau par le prince choisi , S'élevait le moulin du meunier Sans-Souci. Le vendeur de farine avait pour habitude D'y vivre au jour le jour, exempt d'inquiétude , Et de quelque côté que vînt souffler le vent, II y tournait son aile et s'endormait content. Fort bien achalandé , grâce à son caractère...
Page 164 - II lit au front de ceux qu'un vain luxe environne Que la Fortune vend ce qu'on croit qu'elle donne. Approche-t-il du but? quitte-t-il ce séjour ? Rien ne trouble sa fin : c'est le soir d'un beau jour.
Page 177 - Entendez la raison, Sire, je ne peux pas vous vendre ma maison : Mon vieux père y mourut, mon fils y vient de naître ; C'est mon Potsdam, à moi.
Page 186 - Qu'on tapisse partout de fleurs, d'herbage frais; Des branches au-dessus s'arrondissent en dais ; Le bon prélat s'y place, et mille cris de joie Volent au loin ; l'écho les double et les renvoie.
Page 177 - II vous faut» est fort bon!... mon moulin est à moi... Tout aussi bien, au moins, que la Prusse est au roi. • — Allons, ton dernier mot, bonhomme, et prends-y garde ! — Faut-il vous parler clair ? — Oui. — C'est que je le [garde : Voilà mon dernier mot.
Page 175 - D'un royaume nouveau la gloire et le soutien, Grand roi, bon philosophe, et fort mauvais chrétien. Il voulait se construire un agréable asile, Où, loin d'une étiquette arrogante et futile...
Page 176 - Frédéric le trouva conforme à ses projets, Et du nom d'un moulin honora son palais. Hélas ! est-ce une loi sur notre pauvre terre Que toujours deux voisins auront entre eux la guerre, Que la soif d'envahir et d'étendre ses droits Tourmentera toujours les meuniers et les rois?