De la méthode d'observation dans son application aux sciences morales et politiques |
Other editions - View all
Common terms and phrases
absolue application Aristote arrive assurément Bacon cause certitude cesse choses circonstances civilisation conception conscience considérations Convention nationale croyance d'après d'autres définitive démocratie Descartes Destutt de Tracy Dieu dire diverses doctrine doute école écrivain effet égard éléments Émile Saisset Esprit des Lois esprits essen essentiel établi état de puissance États-Unis exemple existe fond générale gouvernement hommes idées inductions l'école l'esprit humain l'état l'étude l'expérience l'histoire l'homme l'humanité l'observation l'ordre moral législation liberté libre arbitre loi de conservation lois manifeste ment mentation métaphysique méthode d'observation monde Montesquieu montre morales et politiques nature naturel observation panthéisme parfois passé pensée peuple philosophie pouvoir présente primitive principe procéder progrès qu'un question raison rapport réalité réelle république reste résultat révolution rien s'accomplit s'est saurait sciences morales sciences physiques scientifique sentiment sera seule siècle social société sorte souvent statistique surplus syllogisme système théorie thèse Thomas Reid tion travail universelle vaine vérité Voilà Xénophane
Popular passages
Page 191 - Pour moi , je doute que l'homme puisse jamais supporter à la fois une complète indépendance religieuse et une entière liberté politique ; et je suis porté à penser que , s'il n'a pas de foi , il faut qu'il serve , et s'il est libre , qu'il croie.
Page 236 - L'esclavage proprement dit est l'établissement d'un droit qui rend un homme tellement propre à un. autre homme, qu'il est le maître absolu de sa vie et de ses biens. Il n'est pas bon par sa nature; il n'est utile ni au maître ni à l'esclave : à celui-ci, parce qu'il ne peut rien faire par vertu; à celui-là, parce qu'il contracte avec ses esclaves toutes sortes de mauvaises habitudes, qu'il s'accoutume insensiblement à manquer à toutes les vertus morales, qu'il devient fier, prompt, dur,...
Page 203 - Tu n'as pas voulu que ces doutes reçussent une claire réponse afin que la foi au bien ne restât pas sans mérite et que la vertu ne fût pas un calcul. Une claire révélation eût assimilé l'âme noble à l'âme vulgaire. L'évidence en pareille matière eût été une atteinte à notre liberté. C'est de nos dispositions intérieures que tu as voulu faire dépendre notre foi.
Page 215 - Avant qu'il y eût des lois faites, il y avait des rapports de justice possibles. Dire qu'il n'ya rien de juste ni d'injuste que ce qu'ordonnent ou défendent les lois positives, c'est dire qu'avant qu'on eût tracé de cercle, tous les rayons n'étaient pas égaux.
Page 179 - Étrange objection ! Parce que je me plais dans l'usage de ma vertu, en est-elle moins profitable, moins précieuse à tout l'univers, ou moins différente du vice, qui est la ruine du genre humain ? Le bien où je me plais change-t-il de nature ? cesse-t-il d'être bien ? Les oracles de la piété, continuent nos adversaires, condamnent cette complaisance.
Page 347 - Nos constitutions sont éparses; une de nos plus importantes occupations sera de les réunir dans un seul cadre, et de les coordonner dans une seule pensée.
Page 277 - ... imaginé une manière de constitution qui a tous les avantages intérieurs du gouvernement républicain , et la force extérieure du monarchique.
Page 356 - Sturm fut nommé professeur d'ana« lyse à l'Ecole polytechnique. Or, avoir conseillé, dans le cercle « restreint de mon influence, de préférer un illustre géomètre « au concurrent chez lequel je ne voyais de titres...
Page 53 - Tous les bons esprits répètent, depuis Bacon, qu'il n'ya de connaissances réelles que celles qui reposent sur des faits observés.
Page 42 - Il ya si loin de la manière dont on vit à celle dont on devrait vivre, que celui qui tient pour réel et pour vrai , ce qui devrait l'être sans doute , mais malheureusement ne l'est pas, court à une ruine inévitable.