 | Gotthold Ephraim Lessing - 1793 - 542 pages
...commencé l'étude de l'homme, j'ai vu que ces fciences abftraites ne lui font pas propres , & que je m'égarois plus de ma condition en y pénétrant, que les autres en les ignorant ; & je leur ai pardonné de ne s'y point appliquer. Mais j'ai crû trouver au moins bien des compagnons... | |
 | Blaise Pascal - 1812 - 334 pages
...commencé l'étude de l'homme , j'ai vu que ces sciences abstraites ne lui sont pas propres, et que je m'égarois plus de ma condition en y pénétrant que les autres en les ignorant ; et je lenr ai pardonné de ne point s'y appliquer. Mais j'ai cru trouver au moins bien des compagnons... | |
 | Blaise Pascal - Apologetics - 1844 - 518 pages
...l'étude de l'homme, j'ai vu que ces sciences abstraites ne lui sont pas propres et que je m'égarais plus de ma condition en y pénétrant que les autres en les ignorant : j'ai pardonné aux autres d'y peu savoir. Mais j'ai cru trouver au moins bien des compagnons en l'étude... | |
 | François duc de La Rochefoucauld, Blaise Pascal, Jean de La Bruyère - 1834 - 776 pages
...commencé l'étude de l'homme, j'ai vu que ces sciences abstraites ne lui sont pas propres , et que je m'égarois plus de ma condition en y pénétrant que les autres en h>s ignorant ; et je leur ai pardonné de ne point s'y appliquer. Mais j'ai cru trouver au moins bien... | |
 | Louis Auguste Delalle - Theology - 1837 - 636 pages
...l'étude de l'homme, j'ai vu que ces sciences abstraites ne lui sont pas propres, et que je m'égarais plus de ma condition en y pénétrant que les autres en les ignorant, et je leur ai pardonné de ne s'y point appliquer. Mais j'ai cru trouver au moins bien des compagnons... | |
 | Louis-Auguste Delalle - 1837 - 636 pages
...l'étude de l'homme, j'ai vu que ces sciences abstraites ne lui sont pas propres, et que je m'égarais plus de ma condition en y pénétrant que les autres en les ignorant, et je leur ai pardonné de ne s'y point appliquer. Mais j'ai cru trouver au moins bien des compagnons... | |
 | Blaise Pascal - Apologetics - 1839 - 702 pages
...commencé l'étude de l'homme, j'ai vu que ces sciences abstraites ne lui sont pas propres, et quê je m'égarois plus de ma condition en y pénétrant que les autres en les ignorant; et je leur ai pardonné de ne point s'y appliquer. Mais j'ai cru trouver au moins bien des compagnons... | |
 | Blaise Pascal - Apologetics - 1844 - 512 pages
...l'étude de l'homme, j'ai vu que ces sciences abstraites ne lui sont pas propres et que je m'égarais plus de ma condition en y pénétrant que les autres en les ignorant : j'ai pardonné aux autres d'y peu savoir. Mais j'ai cru trouver au moins bien des compagnons en l'étude... | |
 | Blaise Pascal - 1844 - 564 pages
...l'étude de l'homme, j'ai vu que ces sciences abstraites ne lui sont pas propres et que je m'égarais plus de ma condition en y pénétrant que les autres en les ignorant : j'ai pardonné aux autres d'y peu savoir. Mais j'ai cru trouver au moins bien des compagnons en l'étude... | |
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Quand j'ai commencé l'étude de l'homme, j'ai vu que ces sciences abstraites ne lui sont pas propres, et que je m'égarais plus de ma condition en y pénétrant que les autres en les ignorant; j'ai pardonné aux autres d'y peu savoir. 
