Histoire de la philosophie [t. 1-3Société Belge de Librarie, 1840 - Philosophy |
Common terms and phrases
action avez avons axiomes Biran c'est-à-dire caractère causes extérieures chose comparaison concret condition connaissance conscience de pouvoir conséquent démonstration disconvenance donne Épicure évident faculté fusible hommes Ibid idées image matérielle implique intuitive jugement comparatif jugements primitifs l'abstraction l'âme l'autre l'entendement humain l'enthousiasme l'erreur l'espace l'esprit humain l'Essai sur l'entendement l'évidence l'exis l'existence de Dieu l'idée d'existence l'idée de cause l'idée de corps l'idée générale l'idée représentative l'induction l'infini l'intelligence Leçon légitime liberté livre de l'Essai ment messieurs monde extérieur nature nerf optique objets paralogisme pensée perception d'un rapport phénomène de conscience philosophie preuve à posteriori principe de causalité propositions identiques puissance puissance physique qu'une qualités secondes quatrième livre raison rapport de convenance réelle rétine révélation sance savoir science scolastique second terme sens sensation seul terme solide sujet suppose syllogisme système système musculaire tence théorie de Locke théorie des idées tion universel et nécessaire vérité volition volonté vrai XVIIe siècle
Popular passages
Page 273 - Car les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, sont devenues visibles depuis la création du monde, par la connaissance que ses créatures nous en donnent; et ainsi ces personnes sont inexcusables : 21.
Page 258 - Pensée; mais peut-être ne serons-nous jamais capables de connaître si un être purement matériel pense ou non, par la raison qu'il nous est impossible de découvrir par la contemplation de nos propres idées, sans Révélation, si Dieu n'a point donné à quelques amas de matière disposés comme il le trouve à propos, la puissance d'apercevoir et de penser; ou s'il a joint et uni à la Matière ainsi disposée une substance immatérielle qui pense.
Page 80 - Ce qu'on appelle général et universel n'appartient pas à l'existence réelle des choses; mais c'est un ouvrage de l'entendement qu'il fait pour son propre usage, et qui se rapporte uniquement aux signes. » Vous le voyez , c'est le fond même du nominalisme. Il importe...
Page 17 - ... j'entends la puissance dans le sens plus noble que j'ay expliqué un peu auparavant, où la tendance est jointe à la faculté. Cependant je suis d'accord tousjours avec vous, que la plus claire idée de la puissance active nous vient de l'esprit : aussi n'est-elle que dans les choses qui ont de l'analogie avec l'esprit, c'est à dire dans les Entelechies, car la matière proprement ne marque que la puissance passive.] §. 5.
Page 222 - A la vérité, ma raison est en moi : car il faut que je rentre sans cesse en moi-même pour la trouver. Mais la raison supérieure qui me corrige dans le besoin, et que je consulte, n'est point à moi, et elle ne fait point partie de moi-même.
Page 20 - Et l'usage actuel que nous faisons de cette puissance en produisant ou en cessant de produire telle ou telle action, c'est ce qu'on nomme volition. La cessation ou la production de l'action qui suit d'un tel commandement de l'âme s'appelle volontaire, et toute action qui est faite sans une telle direction de l'âme se nomme involontaire.
Page 16 - ... arriver si constamment , qu'il y en aura à l'avenir de pareils dans les mêmes choses , produits par de pareils agents et par de semblables voies , il vient à considérer dans une chose la possibilité qu'il ya qu'une de ses idées simples soit changée , et dans une autre la possibilité de produire ce changement, et par là l'esprit se forme l'idée que nous nommons puissance.
Page 152 - II me semble donc que la connaissance n'est autre chose que la perception de la liaison et de la convenance , ou de l'opposition et de la disconvenance qui se trouvent entre quelques-unes de nos idées : c'est en cela qu'elle consiste.
Page 46 - Mais ce n'est point elle seule qui enseigne à l'homme la liberté, le devoir, la distinction du bien et du mal, du juste et de l'injuste...
Page 224 - ... ce qu'ils font, ils ne font, dis-je, autre chose que mettre un mode de la raison au-dessus des autres modes de cette même raison; car si l'intuition immédiate est au-dessus du raisonnement , elle n'appartient pas moins à la raison : on a beau répudier la raison , on s'en sert toujours.