The French poetical gift or Cours élémentaire de littérature, from Malherbe to Voltaire |
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Page 63
... appas . VADIUS . Cependant nous voyons qu'elle ne vous plaît pas . TRISSOTIN Vous donnez sottement vos qualités aux autres . VADIUS . Fort impertinemment vous me jetez les vôtres . TRISSOTIN . Allez , petit grimaud , barbouilleur de ...
... appas . VADIUS . Cependant nous voyons qu'elle ne vous plaît pas . TRISSOTIN Vous donnez sottement vos qualités aux autres . VADIUS . Fort impertinemment vous me jetez les vôtres . TRISSOTIN . Allez , petit grimaud , barbouilleur de ...
Page 137
... appas que le printemps nous donnr . L'Hiver vient - il ? nous les perdons . Pouvoir , trésors , grandeurs , n'en exemptent personne : On se déguise en vain ces tristes vérités : Les terreurs , les infirmités , De la froide vieillesse ...
... appas que le printemps nous donnr . L'Hiver vient - il ? nous les perdons . Pouvoir , trésors , grandeurs , n'en exemptent personne : On se déguise en vain ces tristes vérités : Les terreurs , les infirmités , De la froide vieillesse ...
Page 142
... appas Ne me rendraient point infidèle . Je ne quitterais pas Ma bergère pour elle . Non , je ne la quitterais pas . BÉLISE . Quand des riches bords de la Seine Le charmant Médor serait roi , Et me dirait , " Je te fais reine , Je quitte ...
... appas Ne me rendraient point infidèle . Je ne quitterais pas Ma bergère pour elle . Non , je ne la quitterais pas . BÉLISE . Quand des riches bords de la Seine Le charmant Médor serait roi , Et me dirait , " Je te fais reine , Je quitte ...
Page 148
... appas , Et me rendit affreuse autant que j'étais belle ; Mais l'excès étonnant de la difformité Dont me punit sa cruauté Fera connaître , en dépit d'elle , Quel fut l'excès de ma beauté . Je ne puis trop montrer sa vengeance cruelle ...
... appas , Et me rendit affreuse autant que j'étais belle ; Mais l'excès étonnant de la difformité Dont me punit sa cruauté Fera connaître , en dépit d'elle , Quel fut l'excès de ma beauté . Je ne puis trop montrer sa vengeance cruelle ...
Page 191
... appas . Du fier Polyphème Tu domptes les sens ; Et Phébus lui - même Te doit ses accents . Mais quels transports involontaires Saisisssent17 tout à coup mon esprit agité ? Sur quel vallon sacré , dans quels bois solitaires Suis - je en ...
... appas . Du fier Polyphème Tu domptes les sens ; Et Phébus lui - même Te doit ses accents . Mais quels transports involontaires Saisisssent17 tout à coup mon esprit agité ? Sur quel vallon sacré , dans quels bois solitaires Suis - je en ...
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Common terms and phrases
Acte Ægiste affreux AGAMEMNON ALCESTE âme amour ANTOINETTE DESHOULIÈRES appas ATRÉE beau beauté BÉLISE Bénissons l'amour Boileau bruit champs sans souci CHAPITRE CHAULIEU Chimène ciel Cinna cœur CORIDON Corneille coups courroux Coutel Crébillon cruel d'Atrée Despréaux dévots Dieu Dieux DORINE doux efforts esprit êtes heureux fortune foudre frémis fureur gens gloire goût haine Hélas héros homme Idoménée infortuné J'ai cru jour l'esprit l'horreur l'onde lieux lois Madame Deshoulières main Malherbe malheureux maux Médor Molière mort mortels NICOLAS BOILEAU noble nuit ombre ORGON orgueil passant pensée petits moutons PHILINTE PHILIPPE QUINAULT PIERRE CORNEILLE plaisirs pleurs Plisthène poète poétique qu'un QUINAULT Racan Racine raison Rhadamiste Rhadamiste et Zénobie Rhin rivage rois ROLAND Rome ruisseaux sage sang Seigneur séjour sentiment seul SONGE DE THYESTE sort souffre talent Tartufe THERSANDRE tragédie tranquilles TRISSOTIN triste trône VADIUS venger versification veux victoire vois vois-je voit voix Voltaire Will you stop yeux
Popular passages
Page 9 - Mais elle était du monde, où les plus belles choses Ont le pire destin ; Et rosé elle a vécu ce que vivent les rosés, L'espace d'un matin. La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles : On a beau la prier
Page 33 - Parle sans t'émouvoir. Je suis jeune, il est vrai ; mais aux âmes bien nées La valeur n'attend pas le nombre des années. LE COMTE. Te mesurer à moi ! Qui t'a rendu si vain, Toi qu'on n'a jamais vu les armes à la main ? LE CID. Mes pareils
Page 92 - fut jugée un cas pendable. Manger l'herbe d'autrui ! quel crime abominable ! Rien que la mort n'était capable D'expier son forfait. On le lui fit bien voir. Selon que vous serez puissant ou misérable, Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir. • «»M
Page 6 - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence, 1 • D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir, Et réduisit la muse aux règles du devoir, Par ce sage écrivain la langue réparée
Page 73 - Je veux qu'on soit sincère, et qu'en homme d'honneur On ne lâche aucun mot qui ne parte" du cœur. PHILINTE. Lorsqu'un homme vous vient embrasser avec joie, II faut bien le payer de la même monnoie, Répondre comme on peut à ses empressements, Et rendre offre pour offre, et serments pour serments.
Page 87 - Mes arrière-neveux me devront cet ombrage : Eh bien \ défendezvous au sage { De se donner des soins pour le plaisir d'autrui ? Cela même est un fruit queje goûte aujourd'hui : J'en puis jouir demain, et quelques jours encore ; Je puis enfin compter l'aurore Plus d'une fois sur vos tombeaux." Le vieillard eut raison : l'un des trois jouvenceaux Se noya
Page 11 - Là se perdent ces noms de maîtres de la terre. D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre ; Comme ils n'ont plus de sceptre, ils n'ont plus de flatteurs ; Et tombent avec eux, d'une chute commune, Tous ceux que leur fortune Faisait leurs serviteurs.
Page 36 - sur elle un déluge de feux ! Puisse-je de mes yeux y voir tomber la foudre, Voir ses maisons en cendre, et tes lauriers en poudre. Voir le dernier Romain à son dernier soupir, Moi seule en être cause, et mourir de plaisir ! LES HORACES, Acte IV, Se.
Page 46 - AUGUSTE. Prends un siège, Cinna, prends : et, sur toute chose, Observe exactement la loi queje t'impose. Prête, sans me troubler, l'oreille à mes discours ; D'aucun mot, d'aucun cri n'en interromps le cours. Tiens ta langue captive ; et, si ce grand silence A ton émotion fait quelque violence, Tu pourras me répondre après tout à loisir
Page 94 - portés jusque-là dans ses flancs. L'arbre tient bon ; le roseau plie. Le vent redouble ses efforts, Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine. Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts. In