 Ce refus effronté Avec un grand scandale au prince est raconté. Il mande auprès de lui le meunier indocile ; Presse, flatte, promet; ce fut peine inutile, Sans-Souci s'obstinait. " Entendez la raison, Sire, je ne peux pas vous vendre ma maison : Mon...  Autour du foyer: causeries économiques et morales - Page 14by Octave Eugène Noël - 1877 - 387 pagesFull view - About this book
 | Académie des beaux-arts - 706 pages
...promet j ce fut peine inutile : Sans-Souci s'obstinoit. « Entendez la raison , » Sire , je ne peux pas vous vendre ma maison : « Mon vieux père y mourut , mon fils y vient de naître j » C'est mon Potzdam, à moi. Je suis têtu peut-être : » Ne l'êtes-vous jamais? Tenez, mille... | |
 | Charles Constant Le Tellier - French poetry - 1815 - 302 pages
...promet : ce fut peine inutile. Sans-Soucis'obstinoit. «Entendezla raison , Sire, je ne jmis pas vons vendre ma maison : Mon vieux père y mourut, mon fils y vient de naître.. C'est mon Postdam(i), à moi. Je suis tranchant, peut-être : Ne l'êtes-vons jamais? Tenez , mille ducats, Au... | |
 | François-Guillaume-Jean-Stanislas Andrieux - French drama - 1818 - 456 pages
...promet; ce fut peine inutile : Sans-Souci s'obstinait : « Entendez la raison, » Sire ; je ne peux pas vous vendre ma maison : » Mon vieux père y mourut ; mon fils y vient de naître ; " C'est mon Postdam à moi ; je suis têtu peut-être; » Ne l'êtes-vous jamais ? Tenez , mille ducats, » Au... | |
 | François-Guillaume-Jean-Stanislas Andrieux - 1818 - 460 pages
...promet ; ce fut peine inutile : Sans-Souci s'obstinait : « Entendez la raison , » Sire ; je ne peux pas vous vendre ma maison : » Mon vieux père y mourut ; mon fils y vient de naître ; » C'est mon Postdam à moi ; je suis têtu peut-être ; » Ne l'êtes-vous jamais ? Tenez , mille ducats , » Au... | |
 | Jean-François de La Harpe - 1820 - 360 pages
...promet; ce fut peine inutile; Sans-Souci s'obstinait : « Entendez la raison , « Sire , je ne veux pas vous vendre ma maison ; « Mon vieux père y mourut...y vient de naître; « C'est mon Potsdam, à moi; je suis têtu, peut-être; « Ne l'êtes-vous jamais? Tenez, mille ducats, « Au bout de vos discours... | |
 | François Guillaume Jean Stanislas Andrieux - 1822 - 368 pages
...promet; ce fut peine inutile : Sans-Souci s'obstinait : « Entendez la raison; « Sire; je ne peux pas vous vendre ma maison : « Mon vieux père y mourut; mon fils y vient de naître; <. C'est mon Postdam à moi ; je suis têtu peut-être ; « Ne l'êtes-vous jamais? Tenez, mille ducats, « Au bout... | |
 | Authors - 1824 - 490 pages
...promet : ce fut peine inutile , Sans-Souci s'obstinait : « Entendez la raison , « Sire; je ne peux pas vous vendre ma maison : « Mon vieux père y mourut , mon fils y vient de naître ; « C'est mon Postdam , à moi. Je suis tranchant peut-être : « Ne l'êtes-vous jamais ? Tenez , mille ducats ,... | |
 | Pierre François Merlet - 1833 - 624 pages
...flatte promet ; ce fut peine inutile, Saue-Souci s'obstinait. " Entendez la raison, Sire, je ne peux pas vous vendre ma maison : Mon vieux père y mourut, mon fils y vient de naître ; C'est mon Postdam, à moi. Je suis tranchant peut-être : Xe l'êtes-vous jamais ? Tenez, mille ducats, Au bout... | |
 | 1835 - 344 pages
...flatte, promet : ce fut peine inutile, Sans-Souci s'obstinoit. " Entendez la raison, Sire, je ne peux pas vous vendre ma maison : Mon vieux père y mourut, mon fils y vient de naître ; C'est mon Postdam, à moi. Je suis tranchant peut-être : Ne l'êtes-vous jamais ? Tenez, mille ducats, Au bout... | |
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