Dictionnaire des sciences philosophiques, par une société de professeurs de philosophie [ed. by A. Franck].1847 |
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... considéré les inconvénients de la monarchie , soit de la monarchie absolue , soit de la monarchie tempérée , il conclut que cet équilibre parfait de fortune et d'influence , qui lui paraît être la première condi- tion d'un Etat bien ...
... considéré les inconvénients de la monarchie , soit de la monarchie absolue , soit de la monarchie tempérée , il conclut que cet équilibre parfait de fortune et d'influence , qui lui paraît être la première condi- tion d'un Etat bien ...
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... considère le point de départ de nos connais- sances , on devra dire : Nihil est in intellectu quin prius fuerit in sensu ; mais il ajoute que si l'on envisage l'ordre des choses prises en elles- mêmes , et que l'on réfléchisse que tout ...
... considère le point de départ de nos connais- sances , on devra dire : Nihil est in intellectu quin prius fuerit in sensu ; mais il ajoute que si l'on envisage l'ordre des choses prises en elles- mêmes , et que l'on réfléchisse que tout ...
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... considère le mouvement de la pensée en lui- même , dialectique immanente , qui part du concept vide en soi de l'être pur ou du néant logique pour aboutir à l'idée concrète absolue , dont le développement produit l'univers . La préface ...
... considère le mouvement de la pensée en lui- même , dialectique immanente , qui part du concept vide en soi de l'être pur ou du néant logique pour aboutir à l'idée concrète absolue , dont le développement produit l'univers . La préface ...
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... considéré dans son éternelle essence et indépendamment de sa réalisation physique et morale . Elle est divisée en trois parties : la science de l'être , la science de l'es- sence et la science de l'idée . La pensée , par son seul ...
... considéré dans son éternelle essence et indépendamment de sa réalisation physique et morale . Elle est divisée en trois parties : la science de l'être , la science de l'es- sence et la science de l'idée . La pensée , par son seul ...
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... considère d'abord l'esprit comme in- telligence , puis comme volonté , enfin comme esprit libre . La liberté est l'unité de l'esprit théorique et de l'esprit pratique , libre intelligence . Par là l'esprit devient objectif , et son ...
... considère d'abord l'esprit comme in- telligence , puis comme volonté , enfin comme esprit libre . La liberté est l'unité de l'esprit théorique et de l'esprit pratique , libre intelligence . Par là l'esprit devient objectif , et son ...
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Common terms and phrases
absolue Aristote attributs bouddhisme c'est-à-dire caractère cause choses chrétienne Colebrooke connaissance connaître conscience conséquent considéré corps critique croyance d'Aristote Descartes déterminer développement Dieu Diogène Laërce disciples divine doctrine dogme écrits effet éléments esprit existence facultés fond forme général Hegel Héraclite Hobbes Hutcheson Ibn-Roschd idées Jacobi Jamblique Jouffroy jugement Juifs kabbale Kant karaïtes l'âme l'amour l'auteur l'autre l'école l'entendement l'esprit humain l'être l'existence l'expérience l'histoire l'homme l'idéal l'idée l'imagination l'infini l'intellect l'intelligence l'univers Lao-tseu Leibnitz Leipzig Lessing liberté livre Locke logique lois lui-même Maimonide manière matière ment métaphysique méthode monde morale mouvement nature nécessaire notions objets ouvrages pensée perception phénomènes philo philoso philosophie physique Platon Plotin premier principe psychologie publié pure qu'un question raison rapport Raymond Lulle réalité religieux religion rien Schelling science scolastique sens sensation sensible sentiment seule siècle sorte spéculative Spinoza substance syllogisme système théologie théorie tion traité universelle védânta vérité volonté vrai XVIIe siècle Zohar
Popular passages
Page 515 - J'ai les sentiments vertueux, les inclinations belles, et une si forte envie d'être tout à fait honnête homme, que mes amis ne me sauraient faire un plus grand plaisir que de m'avertir sincèrement de mes défauts.
Page 473 - Le sage guérit de l'ambition par l'ambition même; il tend à de si grandes choses , qu'il ne peut se borner à ce qu'on appelle des trésors , des postes , la fortune , et la faveur.
Page 200 - ... pas nos connaissances qui font leurs objets, elles les supposent. Ainsi ces vérités subsistent devant tous les siècles, et devant qu'il y ait eu un entendement humain : et quand tout ce qui se fait par les règles des proportions, c'est-à-dire tout ce que je vois dans la nature, serait détruit, excepté moi , ces règles se conserveraient dans ma pensée , et je verrais clairement qu'elles seraient...
Page 473 - Les hommes, en un sens, ne sont point légers, ou ne le sont que dans les petites choses : ils changent leurs habits, leur langage, les dehors, les bienséances : ils changent de goût quelquefois ; ils gardent leurs mœurs toujours mauvaises ; fermes et constants dans le mal. ou dans l'indifférence pour la vertu.
Page 337 - ... l'examen se poursuivait, plus obstiné et plus sévère à mesure qu'il approchait du terme , et il ne s'arrêta que quand il l'eut atteint.
Page 343 - Les autres morceaux importants de ce recueil sont : 1° un mémoire sur la légitimité de la distinction de la psychologie et de la physiologie...
Page 594 - État est bien mieux réglé lorsque, n'en ayant que fort peu, elles y sont fort étroitement observées; ainsi, au lieu de ce grand nombre de préceptes dont la logique est composée, je crus que j'aurais assez des quatre suivants, pourvu que je prisse une ferme et constante résolution de ne manquer pas une seule fois à les observer.
Page 511 - Nous sommes plus près d'aimer ceux qui nous haïssent que ceux qui nous aiment plus que nous ne voulons. 322. Il n'ya que ceux qui sont méprisables qui craignent d'être méprisés. 323. Notre sagesse n'est pas moins à la merci de la fortune que nos biens.
Page 609 - Avant qu'il y eût des lois faites, il y avait des rapports de justice possibles. Dire qu'il n'ya rien de juste ni d'injuste que ce qu'ordonnent ou défendent les lois positives, c'est dire qu'avant qu'on eût tracé de cercle, tous les rayons n'étaient pas égaux.
Page 510 - La force et la faiblesse de l'esprit sont mal nommées: elles ne sont en effet que la bonne ou la mauvaise disposition des organes du corps.