L'Université catholique, Volume 71839 |
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âge âme Amphictyons Anthémius Athènes avaient Avitus avons Bottari catholicisme catholique cause Charlemagne choses chré chrétienne Christ Christianisme ciel cœur corps croix croyances Démosthènes devant Dieu divine doctrine donner écou Eginhard élémens enfans époque Eschine esprit eût événemens évêques force Gaule génie glise gloire Grèce héliastes hommes humaine idée Innocent III Jésus Jésus-Christ jour juges justice l'âme l'auteur l'Eglise l'empire l'esprit l'histoire l'homme l'humanité l'unité laisse lois long-temps Lothaire lumière main Majorien ment monde morale mort moyen âge nation nature nombre d'or pables païen panthéisme pape parole passé pensée père peuple philosophie planète poésie poète pontife porte pré premier prêtres prince principe protestantisme puissance puisse qu'une raison religieux religion reste Ricimer rien romaine Rome Russie sacré saint Saint-Siége science Seigneur semble sentiment sera seul Sidonius siècle sociale société Socrate soleil sorte spirituelle terre teur théisme tion tribunal trouve ture Védas vérité
Popular passages
Page 386 - de ses domaines, et les herbes inutiles de ses jardins ; et il avait distribué à ses peuples toutes les richesses des Lombards et les immenses richesses de ces Huns, qui avaient dépouillé l'univers (2), i Ainsi, par les lois et par la guerre, par l'ordre public et par l'économie privée,
Page 9 - d'instituer dans le mystère d'une indestructible unité, parmi les douze il en choisit un, Simon , fils de Jean , qu'il a surnommé Pierre, et il lui dit : « Tu es Pierre et « sur cette pierre je bâtirai mon Eglise , « el les portes de l'enfer ne prévaudront « point contre elle.
Page 8 - le roi des Juifs? — Mon royaume n'est pas de ce monde. Si mon royaume était de ce monde, mes ministres combattraient pour que je ne fusse pas livré aux Juifs. Mais maintenant mon royaume n'est pas d'ici. — Vous
Page 392 - avait la couleur et la force du fer. Tous ceux qui précédaient le monarque , tous ceux qui marchaient à ses côtés, tous ceux qui le suivaient, tout le gros même de l'armée, avaient des armures semblables, autant que les moyens de chacun le permettaient. Le fer couvrait les champs et les
Page 449 - liberté politique (7). i Dans les Lettres persanes il se contente de dire : < Ce sont ici les his« toriens d'Angleterre, où l'on voit la lii berté sortir sans cesse des feux de la < discorde et de la sédition, le prince (1) Lett. 156,
Page 392 - Descendons et cachons-nous dans les entrailles de la terre, loin de la face et de la fureur d'un si terrible ennemi, i Ogger, tout tremblant, qui savait par expérience ce qu'étaient la puissance et les forces de Charles, et l'avait appris par une longue habitude dans un meilleur temps, dit alors
Page 449 - plus que par habitude , ou comme un magicien qui fait croire que trois ne sont qu'unique le pain qu'on mange n'est pas du pain, ou que le vin qu'on boit n'est pas du vin, et mille
Page 389 - vous, nobles, vous, fils des principaux de la nation : vous, enfans délicats et tout gentils, vous reposant sur votre naissance et sur votre fortune, vous avez négligé mes ordres et le soin de votre propre gloire dans vos études, et préféré vous abandonner à la mollesse, au jeu, à la paresse, ou à de futiles occupations,
Page 386 - célèbres de Montesquieu : < Charlemagne mit une règle admirable dans sa dépense ; il fit valoir ses domaines avec sagesse , avec attention, avec économie ; un père de famille pourrait apprendre dans ses lois à gouverner sa maison. On voit dans ses capitulaires la source pure et sacrée d'où il tira ses richesses, Je ne dirai plus qu'un mot : il ordonnait qu'on vendît les œufs des
Page 392 - Non , pas encore, et il ne paraîtra pas de sitôt, > répliqua l'autre. « Que pourrons-nous donc faire, > reprit Didier qui commençait à s'inquiéter, s'il vient avec un plus grand nombre de guerriers? — « Vous le verrez tel qu'il est quand il arrivera, répondit Ogger ; mais pour ce qui sera de nous, je l'ignore,