Cours de littérature ancienne, moderne et étrangère à l'usage des jeunes personnes des deux sexes, Volume 1H. Bossange, 1830 - Literature |
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... Siècles de notre Littérature , desquels j'ai emprunté tout ce que j'ai cru devoir faire partie de mes leçons , ne conviennent qu'à l'éducation approfondie des hommes , Il ne faut pas qu'une femme soit assez ignorante pour faire une ...
... Siècles de notre Littérature , desquels j'ai emprunté tout ce que j'ai cru devoir faire partie de mes leçons , ne conviennent qu'à l'éducation approfondie des hommes , Il ne faut pas qu'une femme soit assez ignorante pour faire une ...
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... siècles qu'ont illustrés ces grands hommes qui ont tant de droits à notre reconnaissance et à notre admiration ? C'est dans ce but important que j'ai tracé un ouvrage qui m'a semblé manquer à l'in- a . struction des femmes . L'excellent ...
... siècles qu'ont illustrés ces grands hommes qui ont tant de droits à notre reconnaissance et à notre admiration ? C'est dans ce but important que j'ai tracé un ouvrage qui m'a semblé manquer à l'in- a . struction des femmes . L'excellent ...
Page iv
... Siècles de notre Littérature , desquels j'ai emprunté tout ce que j'ai cru devoir faire partie de mes leçons , ne conviennent qu'à l'éducation approfondie des hommes , Il ne faut pas qu'une femme soit assez ignorante pour faire une ...
... Siècles de notre Littérature , desquels j'ai emprunté tout ce que j'ai cru devoir faire partie de mes leçons , ne conviennent qu'à l'éducation approfondie des hommes , Il ne faut pas qu'une femme soit assez ignorante pour faire une ...
Page v
Anne Marie comtesse de Beaufort d'Hautpoul. INTRODUCTION AUX GRANDS SIÈCLES . La poésie naquit de la joie , du sentiment , de la reconnaissance . La première exclamation de l'homme , en sortant des mains du Créateur , fut une expression ...
Anne Marie comtesse de Beaufort d'Hautpoul. INTRODUCTION AUX GRANDS SIÈCLES . La poésie naquit de la joie , du sentiment , de la reconnaissance . La première exclamation de l'homme , en sortant des mains du Créateur , fut une expression ...
Page vii
... ce peuple que vous avez racheté ; et vous le conduirez , par votre puissance , jusqu'au lieu de votre demeure sainte . Les peuples l'apprendront , et en seront consternés ; les babitans de la Palestine en se- ront AUX GRANDS SIÈCLES . VII.
... ce peuple que vous avez racheté ; et vous le conduirez , par votre puissance , jusqu'au lieu de votre demeure sainte . Les peuples l'apprendront , et en seront consternés ; les babitans de la Palestine en se- ront AUX GRANDS SIÈCLES . VII.
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 160 - Nulle science n'est pour elles trop profonde, Et céans, beaucoup plus qu'en aucun lieu du monde, Les secrets les plus hauts s'y laissent concevoir; Et l'on sait tout chez moi, hors ce qu'il faut savoir. On y sait comme...
Page 114 - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence, D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir. Et réduisit la muse aux règles du devoir. Par ce sage écrivain la langue réparée N'offrit plus rien de rude à l'oreille épurée.
Page 115 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles : On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos Rois. De murmurer contre elle et perdre patience II est mal à propos ; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Page 129 - Je suis maître de moi comme de l'univers; Je le suis, je veux l'être. 0 siècles ! ô mémoire ! Conservez à jamais ma dernière victoire ; Je triomphe aujourd'hui du plus juste courroux De qui le souvenir puisse aller jusqu'à vous. Soyons amis, Cinna, c'est moi qui t'en convie...
Page 114 - Dont l'éclat orgueilleux étonnait l'univers; Et, dans ces grands tombeaux où leurs âmes hautaines Font encore les vaines, Ils sont mangés des vers. Là se perdent ces noms de maîtres de la terre, D'arbitres de...
Page 150 - Que vous dit cette loi ? JOAS. Que Dieu veut être aimé ; Qu'il venge tôt ou tard son saint nom blasphémé ; Qu'il est le défenseur de l'orphelin timide ; Qu'il résiste au superbe, et punit l'homicide.
Page 190 - Le roi pleurera, le prince sera désolé, et les mains tomberont au peuple de douleur et d'étonnement &.
Page 190 - Le matin elle fleurissait ; avec quelles grâces, vous le savez : le soir, nous la vîmes séchée...
Page 167 - Leur talent dans l'oubli demeurerait caché ; Et qui saurait sans moi que Cotin a prêché? La satire ne sert qu'à rendre un fat illustre : C'est une ombre au tableau , qui lui donne du lustre.
Page 140 - Mon sang fût le premier que vous dussiez verser. Non que la peur du coup dont je suis menacée Me fasse rappeler votre bonté passée : Ne craignez rien : mon cœur, de votre honneur jaloux...