Dictionnaire de leçons et exemples de littérature Chretienne en prose et en vers, Volume 36Chez J.P. Migne, editeur, 1864 - Christian literature |
From inside the book
Results 1-5 of 100
Page 113
... mère qui supplie et qui intercède pour lui , ôte au père le mérite de la clémence ; car , d'une part , nous sentons trop bien que partout où il s'agit d'aimer un fils et de lui pardonner , c'est à la mère qu'appartient la prééminence et ...
... mère qui supplie et qui intercède pour lui , ôte au père le mérite de la clémence ; car , d'une part , nous sentons trop bien que partout où il s'agit d'aimer un fils et de lui pardonner , c'est à la mère qu'appartient la prééminence et ...
Page 125
... mère du Rédemp- tear , ce type auguste d'abnégation complète et d'ineffable charité ! Mais , nous le répétons , la Nouvelle Mes- siade renferme d'heureuses pages : nous citerons notamment les six premières stan- ces du livre sixième ...
... mère du Rédemp- tear , ce type auguste d'abnégation complète et d'ineffable charité ! Mais , nous le répétons , la Nouvelle Mes- siade renferme d'heureuses pages : nous citerons notamment les six premières stan- ces du livre sixième ...
Page 141
... mère ! Le jour franchit trois fois les limites des cieux , La nuit lance trois fois son char mystérieux , Depuis que le chagrin , sonnant une même heure , Lai fait de ce tombeau son unique demeure : Son cœur est étranger même à son ...
... mère ! Le jour franchit trois fois les limites des cieux , La nuit lance trois fois son char mystérieux , Depuis que le chagrin , sonnant une même heure , Lai fait de ce tombeau son unique demeure : Son cœur est étranger même à son ...
Page 143
... mère appelle : ô Dieu ! c'est la voix de sa mère ! ... .. Viens , viens , ô mon cher fils ! ramène mon Abel ! Fayez tous deux , fuyez la tempête du ciel . › Caïn reste plongé dans un affreux silence ; Sa mère étend les bras , vers sa ...
... mère appelle : ô Dieu ! c'est la voix de sa mère ! ... .. Viens , viens , ô mon cher fils ! ramène mon Abel ! Fayez tous deux , fuyez la tempête du ciel . › Caïn reste plongé dans un affreux silence ; Sa mère étend les bras , vers sa ...
Page 159
... mère jalouse , Usurpe insolemment tous les droits d'une épouse . L'Eternel de Sara console les vieux ans : Un fruit maculeux tressaille dans ses flancs ; O bonheur ineffable ! ô joie inespérée ! Voilà le rejeton d'une tige sacrée , Qui ...
... mère jalouse , Usurpe insolemment tous les droits d'une épouse . L'Eternel de Sara console les vieux ans : Un fruit maculeux tressaille dans ses flancs ; O bonheur ineffable ! ô joie inespérée ! Voilà le rejeton d'une tige sacrée , Qui ...
Contents
1155 | |
1181 | |
1185 | |
1187 | |
1213 | |
1279 | |
1293 | |
1343 | |
379 | |
401 | |
467 | |
523 | |
561 | |
609 | |
753 | |
817 | |
835 | |
915 | |
981 | |
1011 | |
1075 | |
1113 | |
1125 | |
1139 | |
1357 | |
1395 | |
1415 | |
1433 | |
1437 | |
1439 | |
1455 | |
1463 | |
1475 | |
1505 | |
1513 | |
1515 | |
1517 | |
1519 | |
1521 | |
1523 | |
Common terms and phrases
adore Alexandre GUIRAUD âme amour anges ATHALIE autels beauté bénit bonheur bonté bras brillant brise bruit cantiques céleste chants charme Châteaubriand cher CHOEUR chrétien Christ ciel cieux cœur console couronne crime croix déserts Dieu divin douce douleurs doux éclat encens enfants esprit Esprit-Saint éternel féconde feux fils flambeau flamme fleurs flots front gémit gloire grandeur hameau Hélas heureux humains HYDASPE immortelle Israël jamais Jean RACINE Jean REBOUL Jean-Baptiste ROUSSEAU Jérusalem Jésus jour l'âme l'amour l'ange l'aurore l'enfant l'esprit l'Eternel l'éternité l'homme l'ombre l'onde l'univers LAMARTINE larmes Louis RACINE lumière main malheureux maux mère monde mort mortels mourir Notre-Dame du Laus nuit paix père peuple pieds Pierre CORNEILLE plaisirs pleurs poëme poésie poëte prière psaume qu'un rayons regards rois sacré saint sang SAPINAUD Saül Seigneur seul soleil sombre soupirs splendeur sublime suprême temple terre tombe tombeau tremblant trépas trésors triste trône vertu Vierge voile vois voix yeux zéphyre
Popular passages
Page 451 - Le Seigneur a détruit la reine des cités, Ses prêtres sont captifs, ses rois sont rejetés ; Dieu ne veut plus qu'on vienne à ses solennités : Temple, renverse-toi ; cèdres, jetez des flammes. Jérusalem, objet de ma douleur, Quelle main en un jour t'a ravi tous tes charmes ? Qui changera mes yeux en deux sources de larmes, Pour pleurer ton malheur...
Page 451 - Quelle Jérusalem nouvelle Sort du fond du désert brillante de clartés, Et porte sur le front une marque immortelle? Peuples de la terre, chantez. Jérusalem renaît plus charmante et plus belle. D'où lui viennent de tous côtés Ces enfants qu'en son sein elle n'a point portés?
Page 633 - Ne sait-on pas au moins quel pays est le vôtre? JOAS Ce temple est mon pays : je n'en connais point d'autre. ATHALIE Où dit-on que le sort vous a fait rencontrer? JOAS Parmi des loups cruels prêts à me dévorer.
Page 789 - Cependant mon amour pour notre nation A rempli ce palais de filles de Sion : Jeunes et tendres fleurs, par le sort agitées, Sous un ciel étranger comme moi transplantées. Dans un lieu séparé de profanes témoins, Je mets à les former mon étude et mes soins; Et c'est là que , fuyant l'orgueil du diadème , Lasse de vains honneurs, et me cherchant moi-même , Aux pieds de l'Éternel je viens m'humilier, Et goûter le plaisir de me faire oublier.
Page 979 - Et qui donne aux petits enfants Une âme aussi pour te connaître. On dit que c'est toi qui produis Les fleurs dont le jardin se pare ; Et que sans toi, toujours avare, Le verger n'aurait point de fruits. Aux dons que ta bonté mesure Tout l'univers est convié ; Nul insecte n'est oublié A ce festin de la nature.
Page 683 - TIRCIS, il faut penser à faire la retraite ; La course de nos jours est plus qu'à demi faite , L'âge insensiblement nous conduit à la mort : Nous avons assez vu sur la mer de ce monde Errer au gré des flots notre nef vagabonde ; II est temps de jouir des délices du port.
Page 1019 - Pour moi, quand' je verrais dans les célestes plaines Les astres, s'écartant de leurs routes certaines, Dans les champs de l'éther l'un par l'autre heurtés, Parcourir au hasard les cieux épouvantés; Quand j'entendrais gémir et se briser la terre ; Quand je verrais son globe errant et solitaire, Flottant loin des soleils, pleurant l'homme détruit.
Page 447 - O mont de Sinaï , conserve la mémoire De ce jour à jamais auguste et renommé , Quand, sur ton sommet enflammé, Dans un nuage épais le Seigneur enfermé Fit luire aux yeux mortels un rayon de sa gloire. Dis-nous pourquoi ces feux et ces éclairs , Ces torrents de fumée, et ce bruit dans les airs, Ces trompettes et ce tonnerre : Venait-il renverser l'ordre des éléments ? Sur ses antiques fondements Venait-il ébranler la terre?
Page 439 - Arme-toi , viens nous défendre : Descends, tel qu'autrefois la mer te vit descendre. Que les méchants apprennent aujourd'hui A craindre ta colère. Qu'ils soient comme la poudre et la paille légère Que le vent chasse devant lui.
Page 445 - En vain l'injuste violence Au peuple qui le loue imposerait silence ; Son nom ne périra jamais. Le jour annonce au jour sa gloire et sa puissance. Tout l'univers est plein de sa magnificence...