Dictionnaire de leçons et exemples de littérature Chretienne en prose et en vers, Volume 36Chez J.P. Migne, editeur, 1864 - Christian literature |
From inside the book
Results 1-5 of 64
Page 15
... bénit ; et ce Dieu est le père des hommes , et les pères des hommes sont ses représen- tants en ce monde . Le froid déiste pourra trouver cette poésie exagérée , mais il sera forcé de convenir qu'elle est nécessaire à la faiblesse ...
... bénit ; et ce Dieu est le père des hommes , et les pères des hommes sont ses représen- tants en ce monde . Le froid déiste pourra trouver cette poésie exagérée , mais il sera forcé de convenir qu'elle est nécessaire à la faiblesse ...
Page 147
... bénit une compagne sûre , Une épouse fidèle et dont la voix rassure , Bénissez la douleur . La coupe de mélancolie Précède la coupe de micl ; Ne rejetez pas cette lie , Baisez la chaîne qui vous lie , Car un des anneaux touche au ciel ...
... bénit une compagne sûre , Une épouse fidèle et dont la voix rassure , Bénissez la douleur . La coupe de mélancolie Précède la coupe de micl ; Ne rejetez pas cette lie , Baisez la chaîne qui vous lie , Car un des anneaux touche au ciel ...
Page 191
... bénit sa famille . Un père , toutefois avec austérité , Tempère son amour par la sévérité ; Il étend sur ses fils sa longue prévoyance : La mère sait aimer , c'est toute sa science . J'en atteste un seul mot par le cœur inspiré : Une ...
... bénit sa famille . Un père , toutefois avec austérité , Tempère son amour par la sévérité ; Il étend sur ses fils sa longue prévoyance : La mère sait aimer , c'est toute sa science . J'en atteste un seul mot par le cœur inspiré : Une ...
Page 239
... bénit , la veuve désolée T'implore en soupirant près du noir mausolée , Quand vient la nuit , quand naft le jour . Parmi les verts buissons , sous l'épine sauvage , Ton image est propice au pieux pèlerin ; Blanche étoile des mers ...
... bénit , la veuve désolée T'implore en soupirant près du noir mausolée , Quand vient la nuit , quand naft le jour . Parmi les verts buissons , sous l'épine sauvage , Ton image est propice au pieux pèlerin ; Blanche étoile des mers ...
Page 257
... bénit , adore , Qui dans la nuit des temps jamais ne s'évapore Et ne s'éteindra pas quand les cieux s'éteindront ... Et l'aveugle raison demande quels miracles De cette loi vieillie attestent les oracles . Ah ! le miracle est là ...
... bénit , adore , Qui dans la nuit des temps jamais ne s'évapore Et ne s'éteindra pas quand les cieux s'éteindront ... Et l'aveugle raison demande quels miracles De cette loi vieillie attestent les oracles . Ah ! le miracle est là ...
Contents
1155 | |
1181 | |
1185 | |
1187 | |
1213 | |
1279 | |
1293 | |
1343 | |
379 | |
401 | |
467 | |
523 | |
561 | |
609 | |
753 | |
817 | |
835 | |
915 | |
981 | |
1011 | |
1075 | |
1113 | |
1125 | |
1139 | |
1357 | |
1395 | |
1415 | |
1433 | |
1437 | |
1439 | |
1455 | |
1463 | |
1475 | |
1505 | |
1513 | |
1515 | |
1517 | |
1519 | |
1521 | |
1523 | |
Common terms and phrases
adore Alexandre GUIRAUD âme amour anges ATHALIE autels beauté bénit bonheur bonté bras brillant brise bruit cantiques céleste chants charme Châteaubriand cher CHOEUR chrétien Christ ciel cieux cœur console couronne crime croix déserts Dieu divin douce douleurs doux éclat encens enfants esprit Esprit-Saint éternel féconde feux fils flambeau flamme fleurs flots front gémit gloire grandeur hameau Hélas heureux humains HYDASPE immortelle Israël jamais Jean RACINE Jean REBOUL Jean-Baptiste ROUSSEAU Jérusalem Jésus jour l'âme l'amour l'ange l'aurore l'enfant l'esprit l'Eternel l'éternité l'homme l'ombre l'onde l'univers LAMARTINE larmes Louis RACINE lumière main malheureux maux mère monde mort mortels mourir Notre-Dame du Laus nuit paix père peuple pieds Pierre CORNEILLE plaisirs pleurs poëme poésie poëte prière psaume qu'un rayons regards rois sacré saint sang SAPINAUD Saül Seigneur seul soleil sombre soupirs splendeur sublime suprême temple terre tombe tombeau tremblant trépas trésors triste trône vertu Vierge voile vois voix yeux zéphyre
Popular passages
Page 451 - Le Seigneur a détruit la reine des cités, Ses prêtres sont captifs, ses rois sont rejetés ; Dieu ne veut plus qu'on vienne à ses solennités : Temple, renverse-toi ; cèdres, jetez des flammes. Jérusalem, objet de ma douleur, Quelle main en un jour t'a ravi tous tes charmes ? Qui changera mes yeux en deux sources de larmes, Pour pleurer ton malheur...
Page 451 - Quelle Jérusalem nouvelle Sort du fond du désert brillante de clartés, Et porte sur le front une marque immortelle? Peuples de la terre, chantez. Jérusalem renaît plus charmante et plus belle. D'où lui viennent de tous côtés Ces enfants qu'en son sein elle n'a point portés?
Page 633 - Ne sait-on pas au moins quel pays est le vôtre? JOAS Ce temple est mon pays : je n'en connais point d'autre. ATHALIE Où dit-on que le sort vous a fait rencontrer? JOAS Parmi des loups cruels prêts à me dévorer.
Page 789 - Cependant mon amour pour notre nation A rempli ce palais de filles de Sion : Jeunes et tendres fleurs, par le sort agitées, Sous un ciel étranger comme moi transplantées. Dans un lieu séparé de profanes témoins, Je mets à les former mon étude et mes soins; Et c'est là que , fuyant l'orgueil du diadème , Lasse de vains honneurs, et me cherchant moi-même , Aux pieds de l'Éternel je viens m'humilier, Et goûter le plaisir de me faire oublier.
Page 979 - Et qui donne aux petits enfants Une âme aussi pour te connaître. On dit que c'est toi qui produis Les fleurs dont le jardin se pare ; Et que sans toi, toujours avare, Le verger n'aurait point de fruits. Aux dons que ta bonté mesure Tout l'univers est convié ; Nul insecte n'est oublié A ce festin de la nature.
Page 683 - TIRCIS, il faut penser à faire la retraite ; La course de nos jours est plus qu'à demi faite , L'âge insensiblement nous conduit à la mort : Nous avons assez vu sur la mer de ce monde Errer au gré des flots notre nef vagabonde ; II est temps de jouir des délices du port.
Page 1019 - Pour moi, quand' je verrais dans les célestes plaines Les astres, s'écartant de leurs routes certaines, Dans les champs de l'éther l'un par l'autre heurtés, Parcourir au hasard les cieux épouvantés; Quand j'entendrais gémir et se briser la terre ; Quand je verrais son globe errant et solitaire, Flottant loin des soleils, pleurant l'homme détruit.
Page 447 - O mont de Sinaï , conserve la mémoire De ce jour à jamais auguste et renommé , Quand, sur ton sommet enflammé, Dans un nuage épais le Seigneur enfermé Fit luire aux yeux mortels un rayon de sa gloire. Dis-nous pourquoi ces feux et ces éclairs , Ces torrents de fumée, et ce bruit dans les airs, Ces trompettes et ce tonnerre : Venait-il renverser l'ordre des éléments ? Sur ses antiques fondements Venait-il ébranler la terre?
Page 439 - Arme-toi , viens nous défendre : Descends, tel qu'autrefois la mer te vit descendre. Que les méchants apprennent aujourd'hui A craindre ta colère. Qu'ils soient comme la poudre et la paille légère Que le vent chasse devant lui.
Page 445 - En vain l'injuste violence Au peuple qui le loue imposerait silence ; Son nom ne périra jamais. Le jour annonce au jour sa gloire et sa puissance. Tout l'univers est plein de sa magnificence...