A. ABRA, fille de saint Hilaire, évêque de Poiliers, 103. Accidents funestes. Supportés sans peine par certaines per- Accointances domestiques. Ce qu'il y faut rechercher, 86. ACHAIENS. Détestaient toute sorte de tromperies dans les Action. L'utilité d'une action ne la rend pas honorable, ÆLIUS VÉRUS. Ce qu'il répondit à sa femme, qui lui re- EMILIUS RÉGILLUS (L.). Ne peut empêcher ses soldats Age. Quel est l'âge où l'homme est capable des plus gran- AGÉSILAUS. Ce qu'il était d'avis d'apprendre aux enfants, 60. Comment allait vêtu, 107. Par trop d'ardeur, il manque l'occasion de défaire les Bootiens, 139. Sa réponse aux AGIS, roi de Sparte. Sa réponse remarquable à un ambas- AGRIGENTINS. Élevaient des monuments à l'honneur des ALBE (le duc d'). Ċruautés qu'il exerça à Bruxelles, 12. ALBUCILLA. Mort de cette Romaine, 313. ALCIBIADE. Donna un soufflet à un grammairien qui lui dé- clara n'avoir pas un Homère, 388. Sa vie est une des plus riches et des plus désirables, au gré de Montaigne, 390. Pourquoi il coupa la queue et les oreilles à un fort bean chien qu'il avait, 432. Ne voulait point de musique à ALCMÉON. quelles choses il attribuait la divinité, 261. ALEXANDRE LE GRAND. Sa cruauté envers Bétis, gouver- neur de Gaza, 2; et contre la ville de Thèbes, 3. Pour- quoi refusa de combattre la nuit, 12. En quel cas son intrépidité parut le plus, 53. Blâmé par son père Philippe de ce qu'il chantait trop bien, 118. Comment il se mo- qua de ses flatteurs, qui voulaient lui faire accroire qu'il était fils de Jupiter, 133. Profondément endormi un peu avant sa dernière bataille contre Darius, 138. De son cheval Bucéphale, 146. Pourquoi ne doit être jugé ni à table ni au jeu, 153. Digne récompense qu'il donne à l'extrême adresse d'un art inutile, 157. Quelle odeur exhalait son corps, 158. Sa valeur n'était point parfaite et universelle, 168. Jugement général sur Alexandre, préférable à Cé- sar même, 388 et suiv. En quoi il est bien inférieur à ALEXANDRE, tyran de Phères. Pourquoi ne voulait pas ALLEMANDS. Quoique ivres, sont malaisés à vaincre, 170. Boivent également de tout vin avec plaisir, 171. ALPHONSE XI, roi de Castille. En quoi trouvait les ânes ALVIANE (Barthélemy d'), général vénitien. Pourquoi AMASIS, roi d'Égypte. Épouse une belle Grecque, mais Ambition. Plus difficile à dompter que l'amour, à en ju- ger par l'exemple de César, 375. L'exemple de Ladislas, roi de Naples, semble prouver le contraire, 376. N'est pas un vice de petits compagnons, 534. Ame. Doit avoir quelque objet vrai ou faux dont elle puisse cuper, 9. Ne regarde pas les choses d'un même biais, He se découvre en tous ses mouvements, 153. Donne aux choses telle forme qu'il lui plaît, ibid. Ce que la raison nous apprend de sa nature, 276. Grande diversité d'opinions sur l'endroit du corps où réside notre âme, 277. Différents sentiments sur l'origine de l'âme, 279. L'opinion de la préexistence des âmes, avant que d'être unies à nos corps, réfutée, 280. Raisons d'Épicure, pour prouver que l'âme naît, se fortifie et s'affaiblit avec le corps, 281. L'âme de l'homme le plus sage sujette à de- venir l'âme d'un fou, ibid. L'immortalité de l'âme fai- blement soutenue par les plus hardis dogmatistes, 282. Sur quoi est fondée l'opinion de l'immortalité des âmes, ibid. Transmigration de l'âme d'un corps dans un autre, soutenue par Platon; comment réfutée par Épicure, 284. Si les facultés et les inclinations de nos âmes dépendent de l'air, du climat et du terroir où nous vivons; quelle est la conclusion qu'on peut tirer de là, 295, 296. En quoi consiste le véritable prix de l'âme, 418. En quoi paraît sa AMÉRICAINS. Ce fut leur candeur et leur vertu qui les livra à la perfidie et à la férocité des Espagnols, 473. Magnifi- cence des jardins de leurs rois, ibid. Par quels moyens les Américains furent subjugués, ibid. Comment ils ont été traités par les Espagnols, 474. Réponse vigoureuse et sensée que certains peuples d'Amérique firent aux Es- pagnols, qui les voulaient rendre tributaires, ibid. Hor- rible boucherie que les Espagnols firent en Amérique de leurs prisonniers de guerre, 475. Les richesses des Amé- ricains moins considérables qu'on n'avait cru d'abord, et AMÉRIQUE. Quel compliment certains peuples d'Amérique firent à Fernand Cortez, 94, 95. En quel sens les sau- vages de l'Amérique sont barbares, 97. Excellence de leur police, ibid. Qualité de leur climat, ibid. Leurs bâtiments, leurs lits, ibid. Leurs repas, leur boisson, leur pain, 98. Comment ils passent le temps, ibid. Où ils logent les âmes après la mort, ibid. Leurs prêtres et prophètes; en quoi consiste leur morale; comment trai- tés si leurs prophéties se trouvent fausses, ibid. Leurs guerres, leurs armes, leurs combats, ibid. Pourquoi ils mangent leurs prisonniers, ibid. Leurs guerres nobles et généreuses, 99. Leur modération, leur cordialité, et comment ils usent de la victoire, ibid. Quelle est la jalousie de leurs femmes, 101. (Voyez Sauvages.) AMESTRIS, femme de Xerxès. Inhumainement pieuse, 264. Amitié. Le fruit le plus parfait de la société, 82. Quatre espèces de liaisons entre les hommes, auxquelles le nom d'amitié ne convient pas proprement, ibid. Ami- tié contre nature, fort en usage chez les Grecs : ce qu'en jugeait Montaigne, 83. Idée de l'amitié la plus accomplie, 84. En quoi se résout la vraie amitié, ibid. Idée des ami- tiés communes, 85. Dans une amitié parfaite, c'est à celui qui reçoit que celui qui donne est obligé, ibid. L'amitié parfaite est indivisible, 86. Les amitiés ordi- naires peuvent être partagées entre plusieurs personnes, ibid. Amitié unique et principale dénoue toutes autres obligations, ibid. Amitié des maris envers leurs femmes, restreinte par la théologie, 93. Le vrai but de l'amitié, Amour. Comment se guérit, au jugement de Cratès, 250. à mettre en jeu cette passion, 444. Ce que c'est que l'a- bêtes, 456. Ne doit point être condamné, puisqu'il nous est inspiré par la nature, ibid. Parler discrètement de l'amour, c'est le rendre plus piquant, 457. L'amour des Espagnols et des Italiens, plus respectueux et plus ti- mide, n'en est que plus agréable, ibid. L'amour doit être conduit par degrés et sans précipitation, 458. Pour- quoi, en amour, les hommes ont tort de blâmer la légè- reté et l'inconstance des femmes, 460. Pouvoir injuste que des amants favorisés s'attribuent sur leurs maitresses, 462. Avantages qu'on pourrait retirer de l'amour dans un âge avancé, 464. Quel est l'âge auquel l'amour con- vient proprement et naturellement, 466. Amour conjugal. Doit être accompagné de respect, 93. Amours dénaturées. Vrai moyen de les décréditer, 46. AMURAT. Immole six cents jeunes Grecs à l'âme de son AMYOT (Jacques). Loué de ce que, dans sa traduction de ANACHARSIS. Quel est, à son avis, le gouvernement le plus ANAXAGORAS. Le premier philosophe qui ait reconnu que toutes choses ont été faites et sont gouvernées par un ANAXARCHUS. Mis en pièces par le tyran Nicocréon; sa fermeté dans la douleur, 125 et 173. ANAXIMANDER. Son opinion sur la nature de Dieu, 261. Et ANAXIMÈNES. Son opinion sur la nature de Dieu, 261. ANDRODUS. Par quelle aventure il échappa à la mort qu'il ANDRON, Argien. Traversait la Libye sans boire, 566. ANGLAIS. Vou fort particulier de quelques gentilshommes anglais réflexions à ce sujet, 354. ANTIGONUS. Comment se moque d'un poëte qui l'avait ap- pelé fils du soleil, 133. Comment punit les soldats d'Eumènes, son ennemi, après qu'ils le lui eurent livre entre les mains, 412. Comment il se dispensa de rien donner à un philosophe cynique, 541. ANTIOCHUS. Dépouillé de ses conquêtes par une lettre du ANTISTHENES. Sa réponse à ceux qui lui reprochaient sa conversation avec les méchants, 112. Sa maxime sur la constance dans le malheur, 113. Quel était, selon lui, le meilleur apprentissage, 214. Sa réponse au prêtre qui, l'initiant aux mystères d'Orphée, l'assurait que ceux qui se vouaient à cette religion jouiraient d'un bonheur éternel et parfait après la mort, 221. Pourquoi il con- seillait aux Athéniens d'ordonner que les ânes fussent employés au labourage comme les chevaux, 487. ANTISTHÈNES OU ANTISTHÉNIUS, surnommé Hercule. Ce qu'il commandait à ses enfants, 481. APOLLODORE, tyran de Potidée. Torturé par le souvenir Apparences. Dans la vie, le sage est déterminé par elles, 256. Philosophes qui ont soutenu qu'il se trouvait dans un même sujet des apparences contraires, 301. On ne 324. ARACUS, amiral de Sparte, 50. ARCESILAS. Louable de ce qu'il savait bien user de ses Architecte. Courte harangue d'un architecte au peuple 289. ARÉTIN (Pierre). S'il mérite le nom de divin, 155. ARIOSTE. A quel âge Montaigne cessa de prendre goût à ARISTIPPE. Sa réponse à celui qui Ini disait qu'il devait ARISTODEMUS, roi des Messéniens. Ce qui le détermine ARISTON. Comment il définit la rhétorique, 154. Son opi- ARISTOTE. Comment conduisit l'instruction d'Alexandre, ARIUS. On ne peut rien conclure contre lui de la manière ARMÉNIE. Ses montagnes sont quelquefois toutes couver- Armes. Mauvaise coutume de ne les prendre que sur le Armoiries. Incertaines, 141. ARRAS. Étrange obstination de plusieurs de ses habitants, ARTAXERXES. Comment adoucit la rigueur de quelques lois ARTIBIUS, général de l'armée de Perse. Comment son ASIATIQUES. Pourquoi ils menaient en leurs guerres fem- 143. ASINIUS POLLIO. Ce qu'il trouvait à reprendre dans les Com- Assassin. Deux assassins de Guillaume I, prince d'Orange, ASSASSINS, peuple dépendant de la Phénicie. Comment ASSYRIENS. Comment ils domptaient les chevaux dont ils ASTAPA, ville d'Espagne. Avec quelle fureur ses habitants ATALANTE. Par quel moyen elle fut vaincue à la course, Ataraxie des pyrrhoniens. Ce que c'est, 254 et 297. cruelle et puérile, 8. Comment ils en sont punis, ibid. ATHLÈTES. Leur force est plutôt vigueur de nerfs que de cœur, 66. Qui se sont privés des plaisirs de l'amour, pour ATTICES (Pomponius). Sa mort volontaire, 314. Aveugle. Histoire d'un gentilhomme aveugle-né, 303. Exem 238. AUGUSTIN (saint). Miracles attestés par lui, 81. Quel dom- mage c'eût été que ses écrits eussent été perdus, 201. Autruches. Attelées à un coche, 469. 290. Trouvent à toutes causes assez de biais pour les B. Bains. Les anciens en usaient tous les jours avant le re- pas, 150. Leur utilité, 401. Chaque nation en fait un Baisers. Comment ont été avilis, 458. BAJAZET Ia. Fit éventrer un soldat, accusé d'avoir pris Barbare. Ce qu'emporte ce mot dans la bouche de chaque peuple, 97. Il y a plus de barbarie à manger un homme Bataille. Si, dans une bataille, il faut attendre l'ennemi, BAYARD. Sa fermeté sur le point de rendre l'esprit, 7. Quel Beauté du corps. En quoi elle consiste, 243. Si, sur cet BEAUVAIS (l'évêque de). Vainqueur de plusieurs ennemis à la bataille de Bouvines, il les donnait à d'autres pour les tuer ou les faire prisonniers, 131. Pourquoi il ne se servait que d'une massue dans le combat, ibid. BEBIUS (juge). Particularité remarquable de l'heure de sa BÉDOINS. L'opinion qu'ils avaient d'une nécessité inévita- BELLAY (Guillaume du). Jugement sur ses Mémoires, 210. BELLAY (Joachim du). Excellent poëte français au juge- BERTHEVILLE, lieutenant du comte de Brienne, 12. Bétes. Petites bêtes qui ne vivent qu'un jour, 33. Les bêtes sont sujettes à la force de l'imagination, 40. Certains égards qu'on doit avoir pour les bêtes, 218. Exemples remarquables de cette espèce de respect, ibid. Se com- muniquent leurs pensées aussi bien que les hommes, 226. Habileté qu'on remarque dans leur conduite, 227. Elles ont un langage naturel, 229. Suivent librement leurs inclinations, 230. Leur subtilité dans leur chasse, 231. Elles discernent ce qui peut les soulager dans leurs maladies, ibid. Sont capables d'instruction, 232. Ont de l'équité, 236. Leur amitié est plus vive et plus constante que celle des hommes, ibid. Il y a des bêtes qui sont bizarres et extravagantes dans leurs amours comme les hommes, 237. Bêtes qui paraissent entachées d'avarice, ibid. Autres qui sont fort ménagères, ibid. Autres qui ont la passion de la guerre, 238. Société qui s'observe entre les bêtes, 240. Pourquoi Moïse défendit de man- BÉTIS, gouverneur de Gaza. Fait prisonnier par Alexan- BEZE. Mis par Montaigne au rang des meilleurs poëtes la- BIAS. Ce qu'il dit à des gens qui, se trouvant avec lui dans Bibliothèque ou librairie de Montaigne. Sa situation et lorsque les Goths ravageaient la Grèce, 61. Bien. Nous le désirons avec d'autant plus d'ardeur que nous avons plus de peine à l'obtenir, 315. Le bien et le mal moral se trouvent en nous mêlés ensemble, 347 et Bien-être (le). En quoi il consiste pour l'homme; opinions Bien-faire (le). Se juge par la seule intention, 167 et suiv. au choix qu'ils font des héritiers de leurs biens, ibid. Selon Platon, c'est par les lois que doit être réglée la dis- BION. Ce qu'il dit d'un roi qui, dans le deuil, s'arrachait les cheveux, 9. Philosophe faux esprit fort, 222. Avec choses pour son ami, très-raisonnable en un certain BOCCACE. Son Décaméron, mis par Montaigne au rang des livres simplement plaisants, 204. BODIN. Réfuté sur ce qu'il a dit de Plutarque, 209, 371. Bœuf. Porté par une femme, qui s'y était accoutumée en 232. BOIOCALUS. Réponse généreuse qu'il fit aux Romains, 174. Boire. Plaisir de boire, le dernier dont l'homme est ca- Boiteux et boiteuse. Sur quoi est fondé un proverbe qui. court depuis longtemps sur leur compte, 540. BOLESLAS III, roi de Pologne. Trahi, 411. BOLESLAS IV, roi de Pologne, dit le Pudique, 443. BONIFACE VIII, pape. Son caractère, 165. BONNES (Barthélemy de), au siége de Commercy, 11. BORGIA (César), duc de Valentinois, 104. Borgne. Exemple d'un homme qui devint borgne pour avoir fait semblant de l'être, 354. BORROMÉE, cardinal. Austérité de sa vie, 127. BOUCHET, auteur des Annales d'Aquitaine, 80. Bouffons qui ont plaisanté en mourant, 121. Bourreaux. De ceux qui ont consenti à être les bourreaux de leurs propres parents, 412. BRÉSIL. Par qui cette contrée fut surnommée la France BRIENNE (le comte de), 12. BROUSSE (le sieur de la), frère de Montaigne, 182. BRUTUS. Regrets de Montaigne sur la perte du livre qu'il BUCEPHALE, cheval d'Alexandre, 146. BUCHANAN. Mis par Montaigne au rang des meilleurs poëtes latins de son temps, 341. Bulle. Formulaire d'une bulle qui accorde à Montaigne la BUNEL (Pierre), 218. BURES (le comte de), 25. C CALIGULA. Ruine une belle maison; pourquoi, 9. CANNIBALES, Ou sauvages de l'Amérique. Voy. AMÉRIQUE. CARNÉADES. Trop passionné pour l'étude, 72. A soutenu CARO (Annibal). Éloge de ses lettres, 119. CARTHAGINOIS. Leur barbare superstition qui les portait à CASTALIO (Sébastien). Savant homme en Allemagne, CATENA. Supplice de ce brigand italien, 216. CATON l'ancien, ou le censeur. Sa parcimonie, 156. Re- CATON le jeune. Comment il tourna en ridicule les plai- CATULLE. En quoi supérieur à Martial, 205 et suiv. CAUNIENS. Bannissaient de leur pays les dieux étrangers, CAUPÈNE, en Chalosse (le baron de), 402. CEA, ile de Négrepont. Histoire singulière d'une femme Cerfs. Attelés à un coche, 469. CÉSAR, excellent capitaine, eut l'ambition de se faire con- histoire, 117. De combien il s'endetta pour arriver au CESTIUS. Comment il fut traité pour avoir méprisé l'élo- CHALCONDYLE, historien grec, 361. Charges. Désignées par des titres trop éclatants, 155. CHARILLUS, Lacédémonien. Sa retenue dans un accès de CHARLES V, empereur. Ce qu'il disait des capitaines et des soldats de François 1, 23. Quelle fut la plus belle de CHARLES VIII, roi de France. Quelle fut, en partie, la cause de la rapidité de ses conquêtes en Italie, 61. Ser- Chasteté. Devoir qu'il est difficile aux femmes d'observer |