-

-

Concours institué par M. Isaac Péreire. Données du programme
sur l'instruction, le crédit, la prévoyance et les impôts. Carac-
tère général des idées saint-simoniennes.

-

Le sublime.

Gervaise et Coupeau.

-

Les conditions de l'ouvrier
parisien à ses différents âges. Les workhouses en Angleterre.

CHAP. III - LE PAUPÉRISME ET LE SOCIALISME.

13

23

Importance

Le paupérisme agricole en Irlande. Définition du paupérisme.—
Impuissance sociale aggravée par le sccialisme.

déjà grande du collectivisme dans la société moderne.

-

Palliatifs l'assistance, le dégrèvement, l'obligation de la pré-
voyance. Remèdes véritables : l'épargne, l'association, le cré-
dit, l'organisation du travail, la réforme de l'enseignement.
Facilité relative des réformes si l'on s'adresse à l'élite des travail-
leurs.

34

L'épar-

L'épargne-

vail du paysan, de l'ouvrier, de l'homme d'étude, etc.
gne en numéraire avec emploi mobilier ou immob.lier.
placement et l'épargne à fonds perdu.

-

Les longs baux et le droit du fermier sortant, la sécurité du chep-

tel.

Les caisses d'épargne et l'épargne anticipée. La Caisse

d'épargne postale et les institutions libres.

Les banques popu-

laires; les agents provocateurs de l'épargne.

Titres amortissables; valeurs à lots; actions d'une banque populaire;

obligations hypothécaires ou immobilières conférant promesse de

vente et droit d'occupation.

109

Caisse de retraites pour la vieillesse administrée par l'État. Pro-

jet de loi instituant une caisse nationale pour les vieux ouvriers.

Règlements des employés de l'État et des Compagnies de chemins

de fer. Caisses de prévoyance avec ou sans conditions suspen-

sives. Danger de toutes ces combinaisons qui exonèrent le tra-

vailleur de la prévoyance personnelle.

-

Associations de personnes et associations de capitaux. - Mutualités

passives et mutualités actives. La liberté de l'association et

l'association pour la liberté. Série des associations de per-

sonnes à étudier.

CHAP. XII. LES SOCIÉTÉS DE SECOURS MUTUELS.

Origine et législation des sociétés de secours.

Statistique fran-

-

çaise fin 1878.- Triple caractère des sociétés existantes. Dé-

veloppements à leur donner. Le prêt d'honneur substitué à

l'aumône.

-

125

134

CHAP. XIII.

-

--

LES SOCIÉTÉS DE CONSOMMATION EN ANGLETERRE.

Société des équitables pionniers de Rochdale. Le truck shop. ·

La coopération anglaise et le socialisme.

de la Société de Rochdale.

-

Créations accessoires

CHAP. XIV. LA COOPÉRATION DE CONSOMMATION.

-

La coopération, la division du travail et la concurrence. - Principe

et fonctionnement des sociétés de consommation anglaises.

Infériorité des sociétés de prévoyance italiennes qui vendent à

prix coûtant.

159

172

Roubaix.

-

Le mouvement coopératif depuis 1848. - La Société coopérative de
Comment on devient propriétaire sans bourse délier.
L'avenir de la coopération : magasins auxiliaires, fourneaux
coopératifs, garantisme, économat des loyers, etc.

-

CHAP. XVI. LA MUTUALITÉ DE CRÉDIT EN ALLEMAGNE

-

M. Schulze-Delitzsch. - Les sociétés d'achat de matières premières.
Comment on pense les transformer en manufactures coopéra-
tives. Les sociétés d'avances ou banques populaires libres et
les banques officielles ou philanthropiques. Fonctionnement

des sociétés d'avances.

CHAP. XVII. LA MUTUALITÉ DE CREDIT EN FRANCE ET DANS LES

-

AUTRES PAYS.

-

-

-

La coopération anglaise hostile aux banques populaires; les socié-
tés de prêt (loan societies). Le crédit populaire en Belgique et
en Italie. Les prêts du gouvernement français à la coopération
en 1848. Le projet de MM Péreire pour l'organisation du crédit
mu uel en 1833. -La Société de crédit au travail en 1863.--La Caisse
d'escompte des associations populaires et 1865 e le Comptoir
d'avances sur factures en 1867. - La Société du prince impérial.
La mutualité de crédit est une préparation au crédit véritable.

-

CHAP. XVIII.

-

-

Les luddites.

-

LES TRADE-UNIONS » EN ANGLETERRE.
Historique des trade-unions.
Les crimes de
Sheffield; l'enquête et l'amnistie. - Importance des trade-unions.
Leur puissance pour le bien.

CHAP. XIX.

-

1

LE FONCTIONNEMENT NORMAL DES UNIONS OUVRIÈRES.
Attributions multiples des trade-unions; inconvénients et avantages.
Principe de la séparation des fonctions et des pouvoirs.
Peut-onssurer contre le chômage? L'efficacité des unions
ouvrières ne tient pas à leur puissance materielle. Efficacité
des unions tant qu'elles restent dans la vérité économique.
Concours qu'elles peuvent apporter aux patrons pour la garantie
du travail. Les vices des trade-unions sont transitoires et
disparaissent avec la liberté. Du correctif qu'elles trouvent
dans la coopération.

CHAP. XX.

-

-

LES SYNDICATS PROFESSIONNELS ET LEURS TROIS FONC-

Pages

185

199

216

238

251

Placement et garantie du travail; défense des droits reconnus ;
initiative des progrès à réaliser. Nécessité d'une association
et d'un budget. La loi de 1791, les modifications successives
du code pénal, la déclaration imperiale de 1868, la tolérance
républicaine. Linéamen s d'une legislation nouvelle : la Société
civile à capital variable et à responsabilité limitée.

34

269

Le crédit est le couronnement de l'épargne et de l'association; il
met fin à l'antagonisme du travail et du capital. - Le mécanisme
du crédit. Difficultés spéciales du crédit populaire. - Nécessité
croissante de les surmonter. Comment l'Écosse a résolu le
problème.

CHAP. XXII.

-

-

L'EXEMPLE DES BANQUES D'ÉCOSSE.

La transformation de l'Écosse par ses banques. Leur fonctionne-
ment succursales, dép ts, capital, rapports avec le public, cré-
dits par caisse.— D'une organisation du crédit combinant l'action
des banques d'Allemagne avec celle des banques d'Écosse.

-

-

CHAP. XXIII. LE CRÉDIT POPULAIRE.
Importance de la petite production. Ce qu'on réclame du crédit
populaire. Exemple chiffré d'une entreprise industrielle; la
banque ne peut fournir que du capital circulant. On peut
transformer les commandes en argent comptant; d'un titre qui
serait comme le connaissement du travail. Opérations d'une
banque de dépôts et de crédit populaire.

295

305

QUATRIÈME PARTIE: L'ORGANISATION DU TRAVAIL

CHAP. XXIV.

-

L'ORGANISATION DU TRAVAIL EN MODE COLLECTIF.
L'organisation du crédit appelle une organisation du travail con-
gruente. Des solutions sociales autres que l'organisation du
crédit la participation dans les bénéfices (système de M. de
Courcy); le partage entre le capital et le travail; exemples
divers. Deux types de phalanstère : la commune de Villeneu-
vette, le familistère de Guise. L'association fondée par M. Le-
claire à Paris. La coopération appliquée à la grande industrie
n'est qu'un déguisement du salariat.

CHAP. XXV.

-

-

-

329

353

L'ORGANISATION DU TRAVAIL EN MODE INDIVIDUEL.
Le vice du système de la participation dans les bénéfices généraux.
Le travail à la tâche, ses inconvénients, ses perfectionnements.
De la transformation du salarié en entrepreneur; faits partiels
qui semblent promettre cette solution. La mine de Rancié, les
ouvriers de Saint-Étienne, les tisseurs de Lyon, les diamantistes
d'Amsterdam, les constructeurs de la Tamise, les mécaniciens de
Cail et de Fives-Lille. La future organisation du travail; l'ou-
vrier réconcilié avec les machines.

-

CINQUIÈME PARTIE: L'IMPOT

CHAP. XXVI. LES IMPÔTS SUR LE REVENU.

-

Obstacles au progrès social.

-

-

-

Les

L'énorme charge du budget.
cinq systèmes financiers de la France. Applications pratiques
de l'impôt sur le revenu: les contributions directes et les taxes
somptuaires. Inégalité et réforme de la contribution foncière.—
Perfectionnement des contributions personnelle et mobilière en
tant qu'impôts sur le revenu général. Qu'il est prudent de ne
pas exagérer ces taxes directes.

CHAP. XXVII. LES IMPÔTS SUR LA CIRCULATION.

-

La série des impôts sur la circulation." Postes et télégraphes. -
Chemins de fer. L'impôt sur les valeurs mobilières.

CHAP. XXVIII.

-

LES IMPÔTS SUR LA CIRCULATION (suite), LE TIMBRE
ET L'ENREGISTREMENT.

Droits fixes et improportionnels.

Droits progressifs à rebours
sur les ventes judiciaires d'immeubles; écrasement de la petite
propriété. Successions et donations; on impose non les capi-

Pages

371

391

400

CHAP. XXX. LA RÉFORME GÉNÉRALE DES IMPÔTS ET LE LEVIER DE

Vœux populaires en faveur de l'égalité devant l'enseignement.
L'obligation légale nécessitée par le ralentissement des progrès
scolaires et l'insuffisante fréquentation des écoles. Le Code la
prescrit sans lui donner de sanction; l'exemple des pays d'Eu-
rope. Conséquences de l'obligation: la multiplication des écoles,
la surveillance des enfants dans les manufactures, l'assistance
des enfants abandonnés.

439