On peut dire qu'il se méprit un peu dans cette dernière pièce et qu'il ne se contint pas dans les bornes du pouvoir de la comédie; car, au lieu de se contenter de blâmer les mauvais médecins, il attaqua la médecine en elle-même, la traita de science... Œuvres - Page 239by Jean Baptiste Poquelin de Molière - 1749Full view - About this book
| Charles Perrault - Engraving, French - 1701 - 458 pages
...peut dire qu'il le méprit un peu dans cette derniere piece, & qu'il tpu ont font en Franse? ï 7 1 qu'il ne fe contint pas dans les bornes du pouvoir de la Comedie; car au Heu de fe contenter de blâmer les mauvais Medecins, il attaqua la Medecine en elle-même,... | |
| Molière - 1725 - 578 pages
...méprit un peu dans cette dernière Pièce, &qu'ilne fe contint pas dans les bornes du pouvoir delà Comédie: car au lieu de fe contenter de blâmer les mauvais Médecins , il attaqua la Médecine en eHe-même, la traita de Science frivole. & pofa pour principe, qu'il eft ridicuh à un homme d'en vouloir... | |
| François Parfaict, Claude Parfaict - French drama - 1747 - 530 pages
...peut dire qu'il fe méprit un peu dans » cène dernière Pièce , & qu'il ne le contînt pas dans n les bornes du pouvoir de la Comédie : car au lieu...fe contenter de blâmer les mauvais Médecins , il atia» qua la Médecine en elle-même , la traita de Science i> frivole , & pofa pour principe , qu'il... | |
| Molière - 1809 - 410 pages
...qu'il en porta : " On peut dire qu'il se méprit un peu dans cette dernière " pièce, et qu'il ne se contint pas dans les bornes du pouvoir "• de la comédie; car au lieu de se contenter de blâmer les " mauvais médecins, il attaqua la médecine en elle-même, " la traita... | |
| Molière - 1821 - 610 pages
...pièce, et qu'il ne se contint pas dans les « bornes du pouvoir de la comédie; car au lieu de se « contenter de blâmer les mauvais médecins, il attaqua « la médecine en elle-même, la traita de science fri« vole, et posa pour principe qu'il est ridicule à un « homme d'en vouloir guérir un... | |
| Molière - 1886 - 654 pages
...Imaginaire) et qu'il ne se contint pas dans les bornes du pouvoir de la comédie ; car au lieu de se contenter de blâmer les mauvais médecins, il attaqua la médecine en elle-même, la traita de science frivole et posa pour principe qu'il est ridicule à un homme de vouloir en guérir un antre,... | |
| Molière - 1886 - 698 pages
...peut dire qu'il se méprit un peu dans cette dernière pièce (le Malade imaginaire) et qu'il ne se contint pas dans les bornes du pouvoir de la comédie ; car au lieu de se contenter de blâmer les mauvais médecins, il attaqua la médecine en elle-même, la traita (le... | |
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