Œuvres complètes de Voltaire, Volume 10 |
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anciens années appelle Arabes assez aujourd'hui aurait avaient avant avons ayant barbares bientôt c'était cent changé CHAPITRE Charlemagne Chine chose chrétiens commence comte concile croire d'autres devait Dieu dieux divinité donner doute écrit effet empereurs enfants enfin établi états évêques faisait femme fille fils fond forme frère gouvernement Grecs guère guerre hommes humain jours juger Juifs jusqu'à l'Eglise l'empereur l'empire l'histoire l'Inde l'Italie lettres livre lois long-temps Louis mains maître Marozie ment mille monde mort n'avait n'en n'était nations nature nombre nommé Normands Othon pape paraît parle passe pays peine pendant père Perses petits peuple Pierre porte pouvait premier presque prêtres princes puissant qu'un quatre raison regardé règne religion rendit reste rien rois Romains Rome royaume s'était s'il sacré sage saint savants seigneurs semble serait servir seul Sicile siècle temple terre tête tions trouve usages venir vérité ville villes voit Voyez vrai
Popular passages
Page 82 - les usages les plus consacrés chez un peuple paraissent aux autres ou extravagants ou haïssables. Les rites établis divisent aujourd'hui le genre humain, et la morale le réunit. -» La chute de l'homme dégénéré' est le fondement de la théologie de presque toutes les anciennes nations. Le penchant naturel de l'homme à se plaindre du présent,
Page 538 - leur avaient données. Tous ces seigneurs, ducs, comtes, marquis, évêques, abbés, rendaient hommage au souverain. On a long-temps cherché l'origine de ce gouvernement féodal : il est à croire qu'il n'en a point d'autre que l'ancienne coutume de toutes les nations, d'imposer un hommage et un tribut au plus faible. On sait qu'ensuite les
Page 102 - sacrée: les Égyptiens eurent cette coutume. On offrait aux dieux des prémices; on leur immolait ce qu'on avait de plus précieux: il paraît naturel et juste que les prêtres offrissent une légère partie de l'organe de la génération à ceux par qui tout s'engendrait. Les Éthiopiens, les Arabes, circoncirent aussi leurs- filles, en coupant
Page 332 - serait-ce point parce que les musulmans eurent le plus grand soin de soumettre les vaincus à leur religion, tantôt par la force, tantôt par la persuasion ? Les Hébreux, au contraire, associèrent rarement les étrangers à leur culte. Les musulmans arabes incorporèrent à eux les autres nations; les Hébreux s'en tinrent toujours séparés. Il paraît enfin que
Page 68 - soit un des noms les plus communs aux anciens peuples de l'Asie. Les Indiens, que nous croyons une des premières nations, font de leur Brama un fils de Dieu, qui enseigna aux brames la manière de l'adorer. Ce nom fut en vénération de proche en proche. Les Arabes, les Chaldéens , les Persans, se l'approprièrent, et
Page 25 - patrie, ils l'aiment, ils la défendent; ils font des traités; ils se battent avec courage, et parlent souvent avec une énergie héroïque. Y at-il une plus belle réponse dans les grands hommes de Plutarque, que celle de ce chef de Canadiens à qui une nation européenne proposait de lui céder son patrimoine?
Page 360 - depuis le déluge. Il faut avouer que l'histoire, ainsi que la physique, n'a commencé à se débrouiller que sur la fin du seizième siècle. La raison ne fait que de naître. Ce qui est encore certain, c'est que le génie du sénat ne fut jamais de persécuter personne pour sa croyance; que jamais aucun
Page 160 - enseignait la magie à Tolède, à Salamanque et à Séville, les Espagnols- peuvent reprocher aux Français le nombre prodigieux de leurs sorciers. La France est peut-être de tous les pays celui qui a le plus uni la cruauté et le ridicule. Il n'ya point de tribunal en, France qui n'ait fait brûler beaucoup de magiciens.
Page 202 - Produis le foin pour les bêtes, et »l'herbe pour l'homme. Tu fais sortir le »pain de la terre, et le vin qui réjouit le »cœur ; tu donnes l'huile qui répand la joie »sur le visage.* »***) . Juda est une marmite remplie de «viandes; la montagne du Seigneur est une «montagne coagulée, une montagne grasse.