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Apollonius de Thyane. Prédiction qu'on lui prête, V. 43. n. b.

Arabes. Occupation de la plupart d'eux, IV. 160.

n. m.

Ardivilliers. Découverte du prétendu Esprit qui habitoit ce Château, II. 69. n. c.

Ariftoméne, Capitaine Meffenien. Son ftratagême contre les Lacédémoniens, II. 97. Arimmius. Aromafdes Divinités des Chaldéens & des Perfes, IV. 21. n. p.

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Armoife. Vertus qu'on attribue à cette herbe, IV. 142. n. f.

Arnauld de Villeneuve. Ce qui lui a acquis le nom de faire la Pierre philofophale, IV. 159. n. l.

Afpics. Apparition d'un, II. 31, n. p. Folle ima gination, 53.

Afpilcouette (Marie d') Sorciere, V, iss. n. s. Altres produifent des Spectres, II. 9. & n. a. Opinion extravagante, 49. s'ils peuvent rendre les hommes guerriers, &c. S'ils peuvent donner au monde les grands mouvemens que nous y remarquons, III. 36-386°

Aftrologie judiciaire. Ce que c'eft, III. 4, 29. C'eft une erreur de prétendre que les connoiffances qu'elle donne, fe tirent de l'expérience, 83-88. Vanité & contradictions de cette fcience, 90-93. Inconvéniens qu'elle peut produire non par elle-même, mais par la crédulité en fes menaces ou en fes promeffes, 106-109. Ses chimeres & impertinences, 150-154. ABrologues. Gens qui fe font moqués d'eux, III. 57-64. On te reilouvient de leurs prédictions véritables & non de leurs bévues & menfonges, 65, 66. Fauffeté de leurs prédictions qu'ils Mannoncent comme véritables, 67-76. Eavain

veulent-ils faire croire que les Cieux font un Livre où l'Hiftoire du monde eft écrite, 80-83. Ils prétendent mal-à-propos que les Aftres operent feulement dans le moment de la naiffance, 83. Pourquoi ceux qui reçoivent leurs Oracles prennent ordinairement autant de foin de les vérifier qu'eux, 109-111. Leur fameufe Sentence Le fage donne la loi aux Aftres, n'eft qu'une feule leurre, 111-112.

Aubain, Aubainage. D'où nous viennent ces mots, JI. 43. n.

Aventure étonnante arrivée à Hamelen fur le Wefer, V. 45. n. c.

Autel. Apparition d'un dans l'air, II. 31, 32. n. r. Auteurs. Vue de la plupart dans les Ouvrages qu'ils donnent, IV. 113.

Autum. (Jacques d') Jugement fur fon Livre, L'incrédulité fçavante &la crédulité ignorante, &c. I. 23.

B.

BAaras. Prétendue vertu qu'on attribue à cette

racine, IV. 137. n. a.

Bacon (Roger) V. 97. n. b.

Balfarena (Martia) Sorciere, V. 172. n. Baram, Roi de Bulgarie, pourquoi il prenoit différentes figures d'animaux, I. 36, n. l.

Bardé (Jean) Orfévre à Anvers, poffede un pied des corps morts qui apparoiffent au Caire, II. 36. n.

Bafile, Empereur. Son fils lui apparoît, II. 27.

n. 1.

Beker Jugement fur fon Livre, le Monde enchanté, I. 19.

Belor. Quel étoit ce prétendu de Ruzine, III,

7-9. Ce qui l'a engagé à produire le Livre dont il eft Auteur, 8.

Benthamelion, Diables, IV. 42. n. K.

Beratide. Prétendu effet de cette pierre, I. 90.

n. g.

Bêtes qui ont paffé pour Sorcieres, II. 105. n. x. 106, 107. Leurs preffentimens plus furs que les fpéculations divinatrices des Aftrologues, III. 63, 64.

Bodin. Jugement fur la Démonomanie, I. 19, 20, Bragadin. Tromperie de ce Chymiste, IV. 159. n. I.

Bramines. Siamois. Leur opinion fur les ames féparées des corps, IV. 16. n. g.

Brioché regardé comme Magicien, II. 96. Bruits qu'on entendoit dans un lieu où s'eft donnée une bataille, H. 36. n. b.

Bruits populaires fur le Lougarouifme, I. 75-78. Brutus. Trait de ce Romain, IV. 159. n. l. Bulgarie. (Simon de) Prétendue caufe de fa mort, V. 51. n.

Baveurs. Imaginations de ceux qui ont trop bu II. 78. n.

C.

CAbalites, voyez Juifs.

Caiffe. Il n'y en a point de fi petite qui ne renferme une pierre philofophale. Plaifanterie fondée fur une verité, IV. 171. n. x.

Camele. Caractere de cette fille aînée de M. Ou fle, 1. 14, 41, IV. 125, 127, 128. Ce que portoit fon horofcope. III- 5, 6.

Caraibes Opinion de ces peuples fur les ames, II,

16. n. m.

Cayer dit avoir contradé avec Satan, V. 103. 8. i,

Cham, prétendu inventeur de la Magie, V. 5. n. d.

Chantocorena, Sorciere, V. 124. m. c.

Charlatans. Leur maniere d'abuser de la crédulité & fimplicité des bonnes gens, II. 93-96. n. a. Charlemagne. Prétendue cause de sa passion pour une femme, V. 99,n.

Chaudronnier de Balle, prétendu efprit, II. 77. n. Chemife de néceffité, V. 93. n. t.

Chiens (les) défignoient quelquefois les Démons, IV. 123. n. a. 124, 126. Idée qu'on en a eue, 124, 130. Chymiftes. Leur langage ordinaire, IV. 154, fur les Fables de la Mythologie paienne, 155. n. i. Ridiculité d'écouter ces impofteurs, 157. n. x. Il y en a qui par leur recherche n'en deviennent ni plus riches ni plus pauvres, 158.n. Ils prennent ordinairement plaifir à faire les mêmes fcurberies qu'on leur a faites, 159.n.l. Cimon, Athenien. Comment il réduifit & jouit d'une fille, II. 101. n. g.

Cométer. Prétendues effets qu'on leur attribue, II. 93. Fauffement les craint-on, 94-96. Origine des erreurs fur les Cométes, 97. Il est trèsincertain qu'auffi éloignées de la terre qu'elles le font, elles puiffent y envoyer quelque matiere capable d'une grande action, 97100. Si une Cométe qui parcoure chaque jour le tour du monde, peut en vouloir plutôt à une nation qu'à une autre, 100, 101. Il eft faux qu'elles foient les fignes de maux à venir, Bos

106.

Conftantin le Grand, V. 77. n. h.

Conteurs. Ceux aufquels ils reflemblent, IV. 114

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Coquettes. Leur conduite ordinaire, I. 135, 136, à l'égard de leurs Amans riches, 141. Leur grande maxime, 137.

Corps des morts. Pourquoi les Anciens étoient fi exacts à les bruler, ou à en recueillir les cendres, II. 10 n. e. Quand au Caire il en fort infenfiblement de terre, 35, n. z.

Cortin (Georges) Orfévre de la Rochelle, pof féde une tête entiere de celles qui paroiffent au Caire, II. 36. n.

Croire. Ce que c'est, IV. 67. Ce qui eft requis pour croire, 87, 88.

Curion, Orateur, pourquoi il impute à sa Partie adverfe le fortilege, V. 29 n. b.

D.

Daguerre (Petri) Sorcier, V. 160. #. f. I

Dards magiques, V. o. n. h.

De Lancre. Jugement fur fon Tableau de l'incon→ ftance des mauvais Anges & Démons, I. 19. fur fon incrédulité & mécréance du fortilége,

21.

T

Delrio. Jugement fur fes Difquifuiones Magica, I. 21. Ce qu'il dit fur la Clavicule de Salomon,

23, 24.

Démarque de Pharrafe, changé en Loup, I. 330 n. d.

Démocrite. Conftance de ce Philofophe, II. 81. n. i.

Démoniaques. Ceux qu'on nomme ainfi, IV. 40; 41. Quand plus ou moins tourmentés, 4L. n. i. Raifons de douter de tout ce qu'on raconte d'eux, 102, 8. K. Moyen de les guérir, 1of. I n. l.

Démon Barbu, IV. 146, 162, 163, 165. n. D

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