ORESTE Vous ne les voyez pas, vous, mais, moi, je les vois. Elles me pourchassent, je ne puis plus rester. LE CORYPHÉE Adieu donc, et qu'un dieu, te suivant de ses regards propices, te garde pour des jours meilleurs. Théâtre d'Eschyle - Page 297by Aeschylus - 1870 - 387 pagesFull view - About this book
| Paul Stapfer - 1880 - 732 pages
...Puissant Apollon! leur foule augmente; un sang horrible dégoutte de leurs yeux... Vous ne les voyez pas, mais moi je les vois Elles me poursuivent, je ne puis plus rester! » Voilà un cas unique, je pense, dans l'histoire du théâtre, d'apparition objective qui pourtant... | |
| Paul Stapfer - 1888 - 390 pages
...Apollon ! leur foule augmente ; un sang horrible dégoutte de leurs yeux... Vous ne les voyez pas, mais moi je les vois... Elles me poursuivent, je ne puis plus rester ! • Voilà un cas unique, je pense, dans l'histoire du théâtre, d'apparition objective qui pourtant... | |
| Aeschylus - 1889 - 268 pages
...le palais tu peux te purifier. Va te prosterner devant Loxias, et il te délivrera de ton supplice. ORESTE. Vous ne les voyez pas, vous, mais moi je les...vois; elles me poursuivent, je ne puis plus rester. LE CHŒUR. Puisses-tu être heureux! puisse un dieu favorable jeter sur toi ses regards et te préserver... | |
| Aeschylus - 1903 - 306 pages
...LE CORYPHÉE Dans le palais tu te purifieras. Va toucher Loxias, il te délivrera de ton supplice. ORESTE Vous ne les voyez pas, vous, mais, moi, je les vois. Elles me pourchassent : je ne puis rester. Il sort, éperdu, parla gauche. LE CORYPHÉE Adieu donc, et qu'un... | |
| Aeschylus - Agamemnon (Greek mythology) - 1925 - 380 pages
...CORYPHÉE. — II est un moyen de te purifier : va tou1060 cher Loxias, il te délivrera de ton tourment. ORESTE. — Vous ne les voyez pas, vous, mais, moi, je les vois. Elles me pourchassent, je ne puis plus rester. Il sort, éperdu, par la gaucho. LE CORYPHÉE. — Adieu donc,... | |
| Anne Bouvier Cavoret - Drama - 2005 - 200 pages
...qui fourmillent ! De leurs yeux goutte à goutte coule un sang répugnant. (Choéphores, 1057-1058) Vous ne les voyez pas, vous, mais, moi, je les vois. Elles me pourchassent, je ne puis plus rester. (Choéphores, 1061-1062) Aussi ne peut-on accepter l'interprétation... | |
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